20.01.2015 Views

lyon people janvier 2015

Malheureusement, ceux qui réagissent sont traités de réactionnaires par le progressisme triomphant loué par les médias bien-pensants. Des médias alimentés par une AFP omniprésente. Quand vous lisez sur votre tablette, les applications du Monde ou du Figaro, du Parisien ou de Libération ou encore du Progrès, regardez bien, vous vous apercevrez que plus de la moitié des infos sont signées AFP. Une Agence France Presse dont les journalistes sont, pour la plupart, de vieux militants trotskistes ou leurs enfants. Des trots-kystes malheureusement cancéreux dont les métastases se diffusent insidieusement dans l’ensemble de la presse avec les conséquences que l’on imagine sur l’opinion publique et sur notre société qu’ils haïssent et ont décidé de détruire. Et si nous réagissions ! Méfions-nous cependant des démagogues populistes qui, par réaction justement, pourraient nous entraîner vers pire encore. Bonne année, quand même !

Malheureusement, ceux qui réagissent sont traités de réactionnaires
par le progressisme triomphant loué par les médias bien-pensants.
Des médias alimentés par une AFP omniprésente. Quand vous lisez
sur votre tablette, les applications du Monde ou du Figaro, du Parisien ou
de Libération ou encore du Progrès, regardez bien, vous vous apercevrez
que plus de la moitié des infos sont signées AFP. Une Agence France Presse
dont les journalistes sont, pour la plupart, de vieux militants trotskistes ou leurs
enfants. Des trots-kystes malheureusement cancéreux dont les métastases se
diffusent insidieusement dans l’ensemble de la presse avec les conséquences
que l’on imagine sur l’opinion publique et sur notre société qu’ils haïssent et
ont décidé de détruire.
Et si nous réagissions ! Méfions-nous cependant des démagogues populistes
qui, par réaction justement, pourraient nous entraîner vers pire encore.
Bonne année, quand même !

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

NICOLAS<br />

FAFIOTTE<br />

Le Guy Degrenne<br />

de la couture<br />

Dans son précieux show-room de la rue du Plat,<br />

nul portant de robes alignées. Seules quelques<br />

silhouettes de rouge vêtues, ornées de dentelles<br />

et paillettes nous rappellent que nous sommes<br />

dans l’antre du couturier.<br />

Par Sophie Guivarch - Photos : Saby Maviel<br />

D<br />

errière de blanches tentures, se cache le bureau de<br />

Nicolas Fafiotte, tout aussi dénudé. « Je ne crée pas<br />

de collection et expose donc très peu de modèles. Tout<br />

est dans mes tiroirs : crayons, papier et tissus… A partir<br />

de là tout est possible. Sur-mesure, à la carte, je réalise<br />

la robe qui vous ressemble ». Et rien ne lui échappe. Au premier coup<br />

d’œil, le créateur <strong>lyon</strong>nais décrypte la personnalité, définit d’emblée<br />

le style, et son intuition est parfois déroutante et partagée sans détour.<br />

« Je suis très franc, simple et direct dans mes relations c’est peut-être aussi<br />

ce qu’apprécie ma clientèle. » Une clientèle qu’il affectionne pour sa<br />

diversité et la richesse des rencontres. « Dans une même journée je peux<br />

voir entrer dans ma boutique une jeune fille bohème hippie-chic décalée<br />

puis une catholique ancrée dans les traditions, une bimbo ou une celle<br />

qui se remarie pour la 3 ème fois ! » Nicolas les accompagne du choix<br />

de la robe à la coiffure, toujours présent lors des essayages. « Même<br />

si j’aime les hommes (mais ça tout le monde le sait!), j’adore mettre les<br />

femmes en valeur, sublimer leurs formes et surtout créer la robe qui collera<br />

le mieux à leurs personnalités. » Le « Guy Degrenne » de la couture,<br />

comme il se surnomme lui-même, éternel dernier de la classe, peut se<br />

féliciter d’habiller aujourd’hui Miss France ou encore Amel Bent.<br />

« Je détestais l’école et séchais pour aller dessiner. Lorsque je me suis<br />

retrouvé en BEP à Oyonnax, j’ai vite réalisé qu’il fallait que je fasse autre<br />

chose ! »<br />

« CHEZ UNGARO,<br />

on m’appelait<br />

LE PERROQUET DE L’AVENUE<br />

MONTAIGNE ! »<br />

Lyon<strong>people</strong> / Janvier <strong>2015</strong><br />

37

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!