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Annexe aux comptes consolidés<br />
(LES MONTANTS SONT EXPRIMÉS EN MILLIERS D’EUROS)<br />
Note 1. Principes comptables<br />
Les comptes consolidés ont été établis suivant les principes<br />
et méthodes définis par la loi du 3 janvier 1985 et le décret<br />
du 17 février 1986. Les nouvelles dispositions du règlement<br />
n°99-02 du Comité de Réglementation Comptable homologué<br />
par l’arrêté interministériel du 22 juin 1999 avaient été<br />
appliquées pour la première fois pour l’exercice 2000.<br />
A – Méthodes de consolidation<br />
Les sociétés significatives dans lesquelles <strong>Vicat</strong> exerce<br />
directement ou indirectement un contrôle exclusif sont<br />
consolidées par intégration globale.<br />
Les sociétés dont le contrôle est partagé et qui font l’objet<br />
d’une exploitation en commun par un nombre limité d’actionnaires<br />
sont intégrées proportionnellement, quel que soit le<br />
pourcentage de participation.<br />
Celles dans lesquelles <strong>Vicat</strong> exerce une influence notable<br />
sont consolidées par mise en équivalence.<br />
Certaines sociétés de faible importance sont, en raison de<br />
leur incidence non significative, exclues du périmètre.<br />
La consolidation est réalisée à partir des comptes <strong>annuel</strong>s<br />
des sociétés arrêtés au 31 décembre et retraités, le cas<br />
échéant, en harmonisation avec les principes comptables du<br />
Groupe. Toutes les transactions internes significatives sont<br />
éliminées en consolidation. Les résultats des sociétés acquises<br />
en cours d’exercice sont retenus dans le compte de<br />
résultat consolidé pour la période postérieure à la date d’acquisition.<br />
B – Détermination des écarts d’acquisition<br />
Les écarts d’acquisition représentent la différence entre le<br />
coût d’acquisition des titres des sociétés acquises et l’évaluation<br />
totale des actifs et passifs identifiés à la date d’acquisition.<br />
Ces écarts d’acquisition sont amortis sur une durée de 40<br />
ans pour les activités cimentières et sur une durée n’excédant<br />
pas 20 ans pour les autres activités.<br />
En cas de perte de valeur, un amortissement plus important<br />
peut être pris en compte.<br />
C – Conversion des comptes des sociétés étrangères<br />
Les postes du bilan sont convertis au cours de change de fin<br />
d’exercice, ceux du compte de résultat et du tableau de flux<br />
de trésorerie au cours moyen de l’exercice. Les écarts de<br />
conversion en résultant sont inscrits directement en capitaux<br />
propres.<br />
Pour les sociétés opérant dans les pays à forte inflation, les<br />
éléments de l’actif immobilisé ainsi que leur contrepartie au<br />
compte de résultat sont maintenus à leurs valeurs d’origine<br />
et convertis aux taux historiques ; les écarts de conversion<br />
sur éléments monétaires sont imputés au compte de résultat<br />
dans le poste “frais financiers nets”. Le compte de résultat<br />
est, quant à lui, converti aux cours de change moyens mensuels<br />
à l’exception des éléments afférents aux postes du<br />
bilan comptabilisés à leur valeur historique.<br />
Les cours de change moyens et de clôture sont ceux communiqués<br />
par les organes officiels.<br />
Note 2. Méthodes et règles<br />
d’évaluation<br />
A – Dépenses de recherche et développement<br />
Elles sont comptabilisées en charges de l’exercice où elles<br />
sont encourues.<br />
B – Immobilisations incorporelles autres que les<br />
écarts d’acquisition<br />
Cette rubrique inclut principalement d’une part les logiciels<br />
ainsi que les concessions, brevets et droits similaires qui<br />
sont amortis sur les durées pendant lesquelles ils sont juridiquement<br />
protégés et d’autre part les fonds de commerce<br />
acquis. Ceux-ci sont généralement amortis sur des durées<br />
de 10 ou 15 ans.<br />
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