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Orsay, notre ville n°31 mai 2011

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DOSSIERLE DYNAMISMEdu commerce de proximité à <strong>Orsay</strong><strong>Orsay</strong>, c’est 200 commerces, 5 jours de marché par se<strong>mai</strong>ne, 3 quartiers à vocation commerciale, et uneassociation de commerçants, «Comm’<strong>Orsay</strong>». L’occasion de se remémorer <strong>notre</strong> histoire mercantile,d’un siècle à l’autre, et d’aller sonder nos nouveaux commerçants.est réputée, et enviée, des <strong>ville</strong>svoisines, pour ses qualités de produits«<strong>Orsay</strong>et de service. La quantité, c’est bien,parce que ça crée du flux, <strong>mai</strong>s la qualité, c’est mieux»soutient Sylvie Guillaumond, «Citycoach»,relais dynamique depuis 2007 entre la <strong>mai</strong>rieet les acteurs économiques. Tordons lecoup aux idées reçues. Notre <strong>ville</strong>, ce n’estpas seulement des agences immobilières, desopticiens, des coiffeurs, ou des banques.Certes, il y en a (les agences immobilièresreprésentent 7% de l’offre commerciale, l’optiqueseulement 2%, la coiffure 5% et lesbanques et assurances 10,5%). Mais c’estaussi une offre commerciale très variée. Commercesde bouche et restauration font partiesdes commerces à hauteur de 26% et 35%d’entre eux sont «divers», c’est-à-dire d’activitéexclusive : luthier, toiletteur, magasin dedécoration…Une <strong>ville</strong>, deux marchés<strong>Orsay</strong>, c’est deux marchés couverts, celui duCentre les mardis, vendredis et les dimanchesle marché bio, et celui de Mondétour les jeudiset dimanches. Et pourtant aux environs,la concurrence est rude. Laurent, commerçanttextile, est le «plus vieux non alimentaire dumarché», ça fait 22 ans que ça dure. Pour lui,l’activité du marché est «limite». «C’est la criseen général, la concurrence des grandes surfaces», énumère-t-il.Pour Jean-Paul et Josianne Canet,tripiers, «ça marche bien, on a du travail !»Une <strong>ville</strong>, trois quartiers<strong>Orsay</strong> est historiquement centralisée <strong>mai</strong>sc’est trois zones de chalandise. La concurrence,les commerçants de Mondétour doiventaussi y faire face coincés entre les Uliset la zone de Courtabœuf. Voilà pourquoile quartier est le moins pourvu (9% de l’offrecommerciale avec 17 commerces). Sanssurprise, le Centre est le mieux pourvu avec149 commerçants et 74% des enseignes dela <strong>ville</strong>. Quant au Guichet, avec ses34 adresses, le quartier rassemble 17% del’offre commerciale.■ LA MAIRIE MET UNE RESSOURCEÀ DISPOSITION DESCOMMERÇANTS.CITYCOACH : 01 60 92 80 06 -citycoach@<strong>mai</strong>rie-orsay.frNouveaux commerçants : Pourquoi s’installer à <strong>Orsay</strong> ?Arnaud Schneider,«Les trouvailles d’Epicure» - Epicerie fine : 15 rue de Paris,depuis novembre 2010“C’est une <strong>ville</strong> agréable, qui possède un centre-<strong>ville</strong> attractif, assez dynamique,et une zone de chalandise intéressante. On propose des produits salés,sucrés, de très bonne qualité. Notre objectif est de rendre un peu plus visibleles produits d’exception des artisans français.”Annabelle Gomarin,«AnnaModica» - Décoration : 12 rue Archangé, depuis septembre2010“J’habite <strong>Orsay</strong> et je m’y sens bien. J’ai envisagé d’autres <strong>ville</strong>s et évalué lespotentiels <strong>mai</strong>s j’ai choisi <strong>Orsay</strong>. L’ambiance entre commerçants est bonne.J’ai eu un accueil génial, et lorsque l’on démarre, c’est primordial, sinon lesdoutes s’installent.”12Thavy Ratsamy,«La papaye verte» - Restaurant thaïlandais : 4 bis rueArchangé, depuis septembre 2010“J’ai été attiré par la <strong>ville</strong>. J’aime bien <strong>Orsay</strong>, c’est une <strong>ville</strong> agréable. Lesgens sont fort sympathiques. C’est une <strong>ville</strong> commerçante, il y a beaucoup decommerces. Je n’ai pas de concurrence par ici donc ça marche bien.Nadia Choquet,«Rêves d’ailleurs» - Artisanat du monde : 18 rue de Paris,depuis décembre 2010“Le centre-<strong>ville</strong> m’a plu. J’aime bien le principe du petit village. C’est rare detrouver un cœur de <strong>ville</strong> avec une telle diversité. Dans la <strong>ville</strong> où j’habite, iln’y a plus de commerces, c’est mort ! Ici, il y a de la vie, l’offre est diversifiée.””MAI <strong>2011</strong>

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