Catalogue Bouticycle 2020

Fabrice et Simon SOBOLEWSKI - Bouticycle NICE
TRANSMISSION
INTÉGRALE
Un affaire de famille
Entre un père et un fils, la transmission du vélo est souvent une affaire de
famille, de tradition et de respect. Mais lorsque cela débouche sur un projet
professionnel commun, c’est un peu plus original. Fabrice et Simon SO-
BOLEWSKI ont ainsi créé ensemble leur magasin BOUTICYCLE, il y a un peu
plus d’an, à Nice. Cette belle saga est aujourd’hui une affaire qui roule où
l’enthousiasme et la passion d'un fils, Simon, ont rejoint les compétences
et le savoir-faire managérial de son Père, Fabrice. Et tout cela tient la
route, de l’avis des clients qui ont aujourd’hui franchi la porte de leur très
beau magasin, situé à 2 pas de la promenade des Anglais.
SIMON to FABRICE
LA QUALITÉ QUE VOUS LUI AVEZ TRANSMISE ?
SS: Pas facile, c’est mon père… Celle que je lui apporte aujourd’hui en tout
cas, c’est mon savoir-faire technique et ma rigueur à le mettre en oeuvre. Ce
n’est pas forcément non plus le dynamisme qui aurait pu venir de la différence
de génération. L’énergie nécessaire à l’animation du magasin est une force
commune. On s’auto-challenge tous les deux, c’est stimulant.
LE SECRET DE VOTRE COMPLÉMENTARITÉ
SS: Chacun son domaine et respect mutuel. Nous avons notre autonomie de
décision dans les domaines dont nous sommes responsables. Par exemple, je
m’occupe seul des commandes, ce qui n’exclu pas la concertation si je sens
qu’elle est nécessaire. Nous avons chacun nos compétences et responsabilités
dans le magasin. On a un but commun, des valeurs que nous partageons
depuis longtemps. Si nous conseillons un client, l’un à la suite de l’autre, nos
arguments seront les mêmes pour mettre en avant les qualités d’un vélo.
Simon SOBOLEWSKI
" UNE TRANSMISSION
BIEN RÉGLÉE, C’EST
TOUT CE QUE
J’AIME… "
COMMENT LES CLIENTS VOIENT-ILS VOTRE COMPLICITÉ ?
SS: Elle ne se remarque pas forcément, simplement parce qu’elle est naturelle.
C’est la qualité du conseil et du travail qui ressort. Pas notre mode opératoire
de management. Tout est fluide entre nous. Je n’appelle pas mon père Papa,
au magasin, bien sûr. Mais lorsque la relation devient un peu plus intime avec
certains clients, nous n’hésitons pas à nous présenter comme un duo père-fils
passionné et qui travaille dans le même sens. La saga familiale, on ne la met
pas nécessairement en vitrine… !
VOUS SERIEZ-VOUS LANCÉ DANS UN PROJET PROFESSIONNEL
COMME CELUI -LÀ AVEC QUELQU’UN D’AUTRE ?
SS: Je ne sais pas ce qu’en pense mon père, ni ce qu’il a répondu. Mais ma
réponse est non. On a beaucoup fonctionné en duo. Et le vélo a été un des liens
qui nous a uni. C’était inenvisageable de faire ça sans lui. Il a été la bonne personne,
au bon moment pour notre projet professionnel autour d’une passion.
LE PROCHAIN CHALLENGE FAMILIAL ?
SS: Je ne sais pas encore concrètement. Ce qui est à peu près certain, c’est
que l’aventure va se poursuivre et que les idées sont là. Ce sera professionnel
assurément et la transmission va continuer de fonctionner entre nous, c’est
aussi une certitude et je m’en réjouis.
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