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Bulletin 2004 - Schweizerische Gesellschaft für ...

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EditorialIn den Geisteswissenschaften war das Thema «Kulturen» bis vor 15 Jahren kaum einernstzunehmender Fachbereich. Das Thema «Religionen» wurde damals nochspontan der Theologie zugeordnet. Dem ist <strong>2004</strong> nicht mehr so. Der gesellschaftsunduniversitätspolitische Kontext hat sich auch diesbezüglich in der vergangenenDekade radikal verändert. Das belegen nicht nur die in diesem SGR-<strong>Bulletin</strong> <strong>2004</strong>vorgelegten Sektionsberichte, sondern auch die zahlreichen internationalenFachtagungen, welche im Verlauf dieses Berichtsjahres zum Thema «Religionen undGlobalisierung» national und international stattgefunden haben. Oft ist dabei dieRede vom «Islam». Noch viel mehr aber vom «Faktor Religion» in derwirtschaftlichen und politischen, aber auch in der persönlichen Zukunftsgestaltung –lokal, europaweit, global. Ich freue mich sehr, dass die Mitglieder der<strong>Schweizerische</strong>n <strong>Gesellschaft</strong> für Religionswissenschaft mit viel Fachkompetenz undEngagement an dieser Zukunft arbeiten. Daraus entsteht das Netzwerk«Religionswissenschaft Schweiz». Ausdruck davon sind interuniversitäreVereinbarungen, Masterprogramme und Doktoranden-Werkstätten, die im Momentaufgebaut werden. Viele Mitglieder der SGR/SSSR sind dabei engagiert.Prof. Dr. Richard Friedli, Präsident SGR-SSSRIl y a une quinzaine d'années, le terme «cultures» n'était pas pris au sérieux par lesSciences humaines qui peinaient à en faire une matière indépendante. Le thème «religions»était, lui, spontanément considéré comme faisant partie de la théologie. En<strong>2004</strong>, il en va autrement. La société en général ainsi que la politique universitaire ont,lors de cette dernière décade, radicalement changé leur point de vue à ce sujet. Preuvesen sont non seulement les différents chapitres du rapport présentés dans ce bulletinde la SSSR 2003-<strong>2004</strong>, mais aussi les nombreux colloques scientifiques internationaux,qui ont eu lieu pendant cette même année sur le thème «religions et globalisation»tant sur le plan national qu'international. Si on a souvent parlé d'«Islam» lorsde ces réunions, c'est surtout de la présence du «facteur religion» dans les perspectivesfutures – locales, européennes, globales - au niveau de l'économie, de la politique,mais aussi sur un plan personnel dont il a été question. Je suis heureux de constaterque les membres de la Société Suisse pour la Science des Religions font preuved'un grand engagement et contribuent à ce futur en mettant à disposition toutes leurscompétences. C'est de ce travail commun qu'est issu le réseau «Science des religionsen Suisse». Cette collaboration se concrétise également à travers les conventions interuniversitaires,les programmes de Master et les travaux de doctorants qui sont missur pieds en ce moment. Nombreux sont les membres de la SSSR qui se sont engagésdans ces projets.4Prof. Dr. Richard Friedli, Président de la SGR-SSSR

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