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Caisse de Pension
Campagne syndicom 2017 contre la fermeture des bureaux de poste
Commento
La CP Poste en 2016
Vous l’aurez sans doute remarqué, aucun
extrait des comptes 2016 de la CP
Poste ne nous a été adressé cette année.
Aussi ai-je parcouru le Rapport
de gestion, afin de communiquer des
informations allant au-delà de ce que
vous avez pu lire à ce jour.
Commençons par l’actif du bilan ; il
s’élève à 15,877 milliards et se compose
pour l’essentiel de liquidités et
de créances sur le marché monétaire,
d’obligations, d’actions, de placements
alternatifs et d’immobilier. Au
passif du bilan, on trouve entre autres
le capital de prévoyance des assurés
actifs, 7,011 milliards et celui des retraités,
8,254 milliards.
Au 1er janvier 2016, le taux d’intérêt
technique a passé de 3 % à 2,25 %.
Pour atténuer la diminution en capital
occasionnée aux actifs par cette
baisse, La Poste a injecté 490 millions
(soit sa réserve de cotisations
sans renonciation à l’utilisation) et
la CP Poste environ 62 millions. Du
côté des retraités, une adaptation du
capital de prévoyance d’un montant
de 543 millions est intervenue à la
fin de l’année écoulée. Ces données
nous aident à comprendre les soucis
de gestion d’une institution de prévoyance,
de même que les mesures
prises à temps pour qu’elle puisse tenir
ses engagements. Soulignons encore
que toute une série de provisions
(par ex. : longévité des assurés actifs
et pensionnés, risques d’assurance
des actifs, réduction du taux technique)
ont été faites pour un montant
de 244 millions. Abordons maintenant
la « réserve de fluctuation des
valeurs », actuellement inexistante
alors qu’elle devrait atteindre le montant
de 2,792 milliards ! Dans son rapport,
l’expert en prévoyance professionnelle
considère qu’une somme
de 3 milliards serait nécessaire ! C’est
dire que ladite réserve constitue le talon
d’Achille de la CP Poste !
Le degré de couverture, qui se calcule
en tenant compte de la fortune
de prévoyance nette (15,848 milliards),
des capitaux de prévoyance
et des provisions techniques (15,509
milliards), se monte à 102,2 %. Mais,
si l’on ne tient pas compte de la réserve
de cotisations de l’employeur
avec renonciation à l’utilisation (soit
550 millions), on arrive à un degré de
couverture effectif de 98,6 % ! Ce qui
fait dire à l’expert en prévoyance professionnelle
que « la capacité de la
CP Poste à s’assainir doit être classée
comme étant mauvaise ». Ledit expert
prend probablement en compte non
seulement le degré de couverture réel
mais aussi l’absence d’une « réserve
de fluctuation des valeurs ».
Ce bref aperçu d’un Rapport bien documenté
nous aide à comprendre les
raisons pour lesquelles la CP Poste ne
peut pas (encore !) accorder un renchérissement
aux retraités. Il nous
importe surtout de savoir que « la CP
Poste offre une sécurité suffisante de
pouvoir remplir ses obligations (art.
52e al. 1 lit. a LPP) ».
• Rémy Addor
« Si l’on ne fait rien, on ne peut que perdre »
Le jeudi 23 février a été le début de
la campagne 2017 de syndicom contre
la fermeture des bureaux de poste. Ce
premier rassemblement a été un succès
; il s’est déroulé devant la poste
de la Servette. Syndicalistes de syndicom
et du cartel de la fonction publique,
l’ensemble de la population
et les usagers de la poste d’Anières
sont venus apporter leur soutien actif.
En effet, une pétition circule à
Anières concernant la fermeture de
leur poste ; des député-e-s du Grand
Conseil ont aussi apporté leur soutien
contre le projet de « terre brûlée »
proposé par la direction de La Poste.
On peut lire le compte rendu de la
Tribune de Genève qui décrit le déroulement
de cette action : « ‹Hémorragie›,
‹Génocide› ; hier matin, lors du
rassemblement d’une soixantaine de
personnes devant la poste de la Servette,
syndicom, le syndicat des médias
et de la communication, n’avait
pas de mots assez forts pour dénoncer
les nombreuses fermetures de
bureaux de poste prévues ces prochaines
années. Rien que dans le canton
de Genève, 39 offices seraient
menacés selon le syndicat (…). Des
centaines d’emplois passeraient ainsi
à la trappe.
‹Plus de la moitié des 54 bureaux
de poste du canton vont disparaître›,
estime Eric Schwapp, secrétaire syndical.
‹Cela se traduit par le licenciement
de la moitié des effectifs, soit
plus de 200 personnes.› Et d’inviter
la population et les autorités cantonales
à réagir pour défendre le service
public. ‹Nous allons demander
à rencontrer le conseiller d’Etat en
charge de l’Economie, M. Pierre Maudet.
La population ne veut pas d’un
désert postal.› (…) José-Ramon Gonzalez,
un militant de syndicom, rappelle
qu’en 1999, les habitants de
Saint-Jean avaient déjà occupé avec
succès la poste du Beulet pour s’opposer
à sa fermeture : ‹Cela fait 20 ans
que nous disons que La Poste va dans
le mur. Aujourd’hui, on voit que nous
avions raison.› »
Le 14 mars, les usagers de l’office
de poste du Petit-Lancy 1 à Genève ont
pu tester en primeur l’office de poste
du futur. En effet, syndicom avait
prévu une action originale. Les habitants
du quartier étaient priés de venir
en nombre dans l’office de poste
pour y faire ce qu’ils y font d’habitude
: poster des lettres, retirer de
l’argent, faire leurs paiements, acheter
des timbres, etc. L’idée était de reproduire
in vivo ce que seront les offices
de poste genevois et suisses en
2020. Un « chef » de l’office a rageusement
arraché et froissé une de nos
banderoles et a appelé la gendarmerie
à intervenir. Des identités ont été
relevées parmi les manifestants, la
police l’ayant exigé.
Non à la suppression de cases
postales à Rive !
La pression n’est pas venue uniquement
du côté des utilisateurs.
Le syndicat syndicom avait également
organisé un rassemblement
devant l’office de Rive, le 4 avril dernier,
pour dénoncer la suppression
de ses cases et la diminution prévue
par le géant jaune d’offices postaux
en Suisse. « Une véritable victoire »,
clame Eric Schwapp, secrétaire régional
de syndicom. « Cela prouve
bien que si l’on ne fait rien, on ne
peut que perdre », se réjouit-il. Victoire
d’étape : en effet, La Poste a fait
marche arrière et les cases postales
sont maintenues après rénovation.
Le 9 mai, une nouvelle manifestation
contre le démantèlement du
service public s’est tenue à Genève,
aux Pâquis. « La Poste dévalorise systématiquement
les fleurons de l’entreprise
en jouant sur les chiffres. Il
est inadmissible qu’elle cherche à externaliser
le service public dans des
agences et donc dans des segments à
bas salaires. »
Le mardi 31 octobre devant le guichet
du fret cargo, à l’aéroport, qui
fermera le 11 novembre. Mais cette
fois-ci, outre les usagers et le syndicat
syndicom, tous les partis politiques
étaient représentés, à l’exception notable
du PLR. La Poste participe au démontage
de Genève, cette fois c’est
directement des PME qui subissent.
Que cherche La Poste… Après les
usagers, c’est le tissu économique
de notre canton qui est affaibli. De
sombres projets doivent exister, car
l’externalisation et la baisse des coûts
salariaux fait partie intégrante d’un
programme qui pour nous est clair.
Sabrer dans les prestations ; après on
pourra affirmer que La Poste ne sert
à rien et on la privatisera totalement.
Tel est l’objectif à atteindre et tant pis
si le bon peuple trinque, l’essentiel
est de faire plus de bénéfices.
Le mardi 28 novembre 2017, la
Chambre des cantons a approuvé par
31 voix contre 5 et 6 abstentions une
motion de sa commission des télécommunications.
Ce texte exige du
Conseil fédéral qu’il soumette ensuite
au Parlement, dans un délai
d’un an, une révision de loi. Les critères
définissant le service public devraient
prendre en considération les
particularismes régionaux, les conditions
de mobilité ainsi que les différentes
catégories d’utilisateurs des
services postaux.
On peut dire que la direction de
La Poste a été sévèrement « avertie »
par les Chambres fédérales de la nécessité
de « lever » le pied. Ces fermetures
doivent s’arrêter, après une
campagne où syndicom a démontré
être le porte-parole de la population
avec une récolte de plus de 100 000
Manif contre la fermeture du bureau de poste à Ouchy. (Photo: Philippe Morerod)
signatures et l’intervention directe
des communes auprès de la « Direction
générale », comme on l’appelait
dans le passé.
Le 2 décembre a eu lieu une manifestation
qui a initié une pétition
contre la fermeture de l’office de
poste de Chêne-Bougeries. C’est une
pétition lancée conjointement par le
syndicat et les usagers de cet office de
poste. Elle vise a ce que les autorités
de la commune de Chêne-Bougeries
demandent à La Poste le maintien de
leur office. En définitive, c’est cela
que dira cette pétition : on a besoin
de cet office, la population vieillit,
le canton de densifie et la seule solution
proposée est la fermeture des offices.
Si toutes ces actions ne suffisent
pas, on saura se souvenir de 1918 ; une
nouvelle grève générale serait une réponse
appropriée !
Je remercie les membres actifs et
retraités de syndicom Genève de leur
présence active, de toute cette énergie
mise de bon cœur au service du
bien commun. Tout au long de cette
année, elle aura servi à nous rapprocher
et à constater que toutes et tous
unis, nous sommes forts !
Il est grand temps de changer de cap.
Le service public se doit de tracer la
voie, celle d’avoir les moyens de remplir
sa mission auprès de la population
suisse. Mieux, il faut remettre
l’économie au service des besoins
humains !
• José-Ramon Gonzalez
La Posta, la politica, il servizio pubblico
Quando con la Costituzione del 1848 nacque la Svizzera moderna, si
nazionalizzò la Posta così da farne un servizio pubblico, conforme allo
spirito del nostro federalismo. Per decenni e decenni, la Posta garantì
prestazioni equivalenti in ogni regione e luogo del Paese, contribuendo
forse più di qualsiasi altra realtà, a consolidare sul territorio i valori
nazionali. La Posta fu esempio di efficienza, di concordanza, di solidarietà,
di unitarietà di servizio. Seppe essere datore di lavoro esemplare. La nostra
Posta si guadagnò stima e prestigio immensi. Poi sul finire del secolo scorso,
neppure la Posta svizzera scampò ai travolgenti vortici delle nuove teorie
economiche, tant’è che la politica le impose di agire né più né meno di
qualsiasi altra azienda di mercato. Posta svizzera non se lo fece dire due
volte e tirò fuori ogni sorta di processi di razionalizzazione, di incremento
della produttività di voglia di realizzare utili. Fra le prime mosse i massimi
dirigenti dell’ex Regia diventata azienda, si moltiplicarono le retribuzioni. Il
sindacato rimase da solo a contrastare la nuova filosofia della Posta. Lo fece
con grande impegno ma la lotta risultò impari. Adesso però di qualcosa s’è
accorta anche la popolazione. Si chiudono uffici, si riducono i tempi agli
addetti alla distribuzione, si precarizzano i rapporti d’impiego, si impongono
al personale «obiettivi» che tolgono il sonno. La popolazione chiama in
causa i comuni, i cantoni, le deputazioni alle Camere federali. Da parte sua il
Consiglio federale ha sempre fatto orecchie da mercante, fintanto che lo
scorso 20 settembre davanti al Consiglio degli Stati, la ministra Doris
Leuthard ha detto che i tempi sono cambiati, che insomma occorre essere
realisti e che non si può pretendere che in ogni villaggio ci sia un dentista,
un panettiere, una banca, una bottega, un ufficio postale. La Camera dei
Cantoni non le ha dato retta e con 31 sì, 5 no e 6 astenuti ha approvato una
mozione della sua Commissione delle telecomunicazioni che chiede di
ridefinire la pianificazione della rete postale. Lo scorso 17 ottobre anche la
Commissione delle telecomunicazioni del Consiglio nazionale ha deciso di
raccomandare al plenum l’approvazione della mozione fatta propria dal
Consiglio degli Stati. La mozione oltre che chiedere al Governo di intervenire
presso la Posta, vuole che il Consiglio federale presenti entro un anno, una
proposta di revisione dei criteri che definiscono il servizio pubblico contenuti
nella legge sulle poste. Di servizio pubblico se ne sta parlando e non solo
per quanto tocca la Posta. Ecco perché è da attendere con particolare
interesse quanto avrà da dire il Consiglio federale su una questione, quella
del servizio pubblico, di fondamentale importanza per il bene collettivo.
• Abbondio Adobati, Melide
Unterwegs · En route · In giro
Pensionati Ticino
Castagnata da «tutto esaurito»
A volte va bene usare un termine che si usa normalmente
in occasione di una partita di qualsiasi
sport quando si cita a «sportelli chiusi» o
da «tutto esaurito».
Ed infatti giovedì 19 ottobre in occasione della
tradizionale castagnata annuale del gruppo
Pensionati presso l’agriturismo al Böscioro a
Gerra Piano non si trovava più una sedia libera.
I partecipanti arrivano alla chetichella puntuali
e dopo il saluto di benvenuto del nostro presidente
Franco Caravatti, il personale inizia a servire
sulle nostre tavole un ricco e gustosissimo
piatto freddo di produzione casalinga.
In seguito arrivano le deliziose castagne, cucinate
ottimamente dal «maronatt» di casa, meritatamente
applaudito dai commensali, accompagnate
da uno squisito piatto di lardo
rigorosamente nostrano. Pure i vini di produzione
propria sono stati apprezzati e per qualcuno
è stata pure l’occasione di fare degli acquisti
di questo buon nettare di casa della famiglia
Vosti che ringraziamo per l’ottimo servizio, simpatia
e ospitalità. L’ambiente, come consuetudine,
è stato rilassante ed allegro come lo dimostrano
alcune immagini. Si udivano, tra una
tavolata e l’altra, risate a non finire grazie ai
vari «barzellettieri» di turno. Dopo il caffè e
digestivo, le colleghe e i colleghi si preparano
piano piano per il rientro alle proprie case, sicuramente
soddisfatti e contenti di aver potuto
trascorrere, una volta di più, un bellissimo pomeriggio
in un contesto veramente simpatico.
Si conclude così l’attività annuale del nostro
Gruppo Pensionati per l’anno in corso dandovi
appuntamento a tutti al prossimo evento del
2018! • Ernesto Fenner
Pensionati Ticino
Gita... bagnata al lago d’Iseo
Giove Pluvio ha fatto lo sgambetto al gruppo
syndicom attivi e pensionati all’annuale gita di
domenica 10 settembre al lago d’Iseo. Malgrado
il tempo non troppo invitante e clemente,
ciò non ha sicuramente tolto l’umore all’allegra
compagnia presente a bordo del torpedone.
Giunti nella ridente cittadina di Iseo, dove ci
aspetta la simpatica guida locale Filippo, tempo
libero per una capatina al mercatino seguito da
una visita guidata nel nucleo e vicini dintorni.
Prendiamo posto sul «Treno dei Sapori», dove
sulla carrozza riservataci, viene servito dal
personale di bordo con cura e professionalità
l’aperitivo di benvenuto con vini della zona di
Franciacorta seguito da degustazioni di vario
tipo: piatto di stagione, piatto unico di salumi,
formaggi locali, polenta e funghi, contorni vari
e dessert, caffè con grappa di produzione locale.
Proseguiamo il viaggio verso la località di
Pisogne con sosta per la visita del luogo.
Il percorso ci porta a Camignone – provincia di
Brescia – dove visitiamo, nel cuore di Franciacorta,
la secolare residenza Mosnel con le cantine
cinquecentesche e le terre annesse, che testimonia
la lunga tradizione vitivinicola che i
Barboglio ereditano nel 1836. Aperitivo e spuntino
gentilmente offerti dalla casa e al termine
possibilità di acquisto di vini locali.
A Sulzano riguadagnamo il torpedone per il
viaggio di ritorno. Un grazie a Bubi per la consueta
perfetta organizzazione, ad Adria per la
parte amministrativa nonché al nostro segretariato.
Un plauso lo merita anche la ditta Rossi
Viaggi di Gordola per l’ottimo servizio. Bubi ringrazia
i presenti per la loro parteci pazione dandoci
appuntamento per l’anno prossimo.
• Ernesto Fenner
Pensionati Ticino
Informazioni dal Congresso
syndicom di Basilea
Venerdì e sabato 10 e 11 novembre scorsi si è
tenuto a Basilea il secondo Congresso di syndicom
dopo la fusione tra il Sindacato della comunicazione
e il Sindacato dei media comedia
nel 2011. Con circa 170 delegati provenienti da
tutta la Svizzera abbiamo discusso e deliberato
su temi di varia natura. Delle 60 proposte, forse
troppe, siamo riuscite a liquidarne soltanto
la metà. Bisognerà riprendere quelle non trattate
nel 2018.
La delegazione della sezione Ticino e Moesano,
composta da 27 colleghe e colleghi (22 con
diritto di voto, il sottoscritto era delegato del
Comitato centrale pensionati ma con spirito ticinese…),
si è fatta sentire con grande spirito
di squadra soprattutto sui temi che ci interessavano
da vicino.
Prima di tutto è stato eletto con un’eccellente
votazione quale nuovo presidente syndicom
Daniel Münger. L’elezione dei membri del Comitato
direttivo è stata fatta singolarmente come
richiesto. Confermati Giorgio Pardini e Patrizia
Mordini. Entrano nel comitato direttore Matteo
Antonini (Logistica) e Stephanie Vonarburg
(Press e media elettronici).
Nel Comitato centrale, Rocco Bianchi sostituisce
Marina Parazzini, Luca Foresti uscente.
Commissione della gestione: Franco Panzeri
uscente. Per i pensionati, Roland Gutmann e
Peter Rymann uscenti.
In futuro, per evitare quanto successo con i ritardi,
si inizierà immediatamente il primo giorno
con l’esame delle proposte, suggerito anche
di limitare al minimo necessario gli interventi
di oratori esterni (quest’anno erano 5).
Alcune competenze dei segretariati regionali
non saranno centralizzate a Berna. Abbiamo
ottenuto di verbalizzare la nascita dell’inserto
per i pensionati da allegare ad ogni edizione
della nuova Rivista syndicom.
La proposta di Press Ticino e Moesano, in seguito
all’esternalizzazione di tutti i lavori
per la stampa, di salvare dal licenziamento
alcune colleghe su piano nazionale che se
ne occupavano per il defunto giornale syndicom,
nonostante gli applauditissimi e accorati
nostri interventi non è passata per 6 voti!
Accettata all’unanimità la risoluzione NO all’iniziativa
No Billag.
Per concludere, direi che sono state due giornate
intensissime e molto interessanti. Molti correttivi
dovranno essere apportati in futuro. La
determinazione di cui ha dato prova la delegazione
ticinese lascerà il segno. Di questo Congresso
si sentirà parlare.
• Gianni Chopard
Pensionati Ticino
«Lasciti e successioni:
cosa c’è da sapere?»
Non è mai «solo» una firma! Con un sorriso,
l’avvocato bellinzonese Paolo Caratti ha spiegato
che prima di firmare qualsiasi documento
bisogna pensarci bene.
Invitato dal Gruppo d’interesse Pensionati Ticino
e Moesano, l’avvocato Caratti ha spiegato
con chiarezza i diversi tipi di testamento e le
linee di successione ereditaria. Letteralmente
bombardato dalle domande del numeroso pubblico
intervenuto nella saletta del ristorante
Casa del Popolo a Bellinzona lo scorso 26 settembre,
Paolo Caratti ha saputo soddisfare qualunque
tipo di richiesta, come se si trattasse di
una consulenza privata. L’ospite ha dimostrato
una competenza davvero notevole e una capacità
di spiegare concetti anche complessi, capacità
che deriva dall’aver insegnato diritto per
più di dieci anni.
Figlio di Sergio, già direttore del Corriere
del Ticino, e fratello di Matteo (direttore de
laRegione), Paolo Caratti ha ricordato i suoi
esordi nel giornalismo, come collaboratore
dell’Agenzia Telegrafica Svizzera. Per più di un
decennio (2004–2015) è stato anche membro
dell’Autorità di ricorso in materia radiotelevisiva
(AIRR) e dal gennaio di quest’anno è sostituto
mediatore nell’Organo di mediazione delle
emittenti private della Svizzera italiana (radio,
tv e contenuti web correlati) per reclami contro
emissioni e contenuti web.
• Giovanni Valerio
Pensionierte Zentralschweiz
Mit Kapitän Ueli
auf hoher See
An der Herbstversammlung am 20. November
liessen sich die Zentralschweizer Pensionierten
von Ex-Seemann Ueli Pauli (Bild) auf die
Weltmeere entführen. Vor seiner Zeit bei der
Post hatte Ueli über zwanzig Jahr im Gastgewerbe
gearbeitet, davon drei Jahre als Matrose
und Steward auf dem Pazifik und dem Atlantik.
Mit einem Film ab DVD, mit entsprechender
Hintergrundmusik, entführte er uns mit dem MS
(Motorschiff) Cassarate nach Japan, Thailand,
durch die Strasse von Malakka usw. Von dieser
Fahrt zeigte uns Matrose Ueli das Schauspiel
der Äquatortaufe, die alle Seemänner über sich
ergehen lassen müssen beim erstmaligen Queren
des Äquators: ein etwas makabres Schauspiel.
Ganz anders Uelis Wirken auf dem Kreuzfahrtschiff
TS (Turbinenschiff) Hamburg, mit
dem er während drei Monaten eine etwas elitäre
Gesellschaft und Schickeria zwischen Hawaii
und Acapulco und durch den Panama-Kanal in
die Karibik begleitete. Selbstverständlich hatte
Ueli auch sein Seemannsklavier dabei und
unterhielt uns vor der Versammlung und während
des Apéro-riches mit La Paloma und anderen
Evergreens.
Die traktandierten Geschäfte der Versammlung
gingen innert 20 Minuten über die Bühne.
Mit 25 Eintritten, 22 Austritten und leider
auch neun Todesfällen bilden nun 587 Pensionierte
die IG Pensionierte Zentralschweiz. Das
Budget 2018 wurde einstimmig genehmigt und
die Anwesenden nahmen Kenntnis vom attraktiven
Jahresprogramm 2018: GV am 18. April,
Migros-Besichtigung zum zweiten Mal am
24. April, der Ausflug ins Bündner Oberland
am 7. Juni, ein Herbsttreffen an der «Rue de
Blamage» in Luzern und die Herbstversammlung
am 21. November. Zwischen dem 20. Februar
und 28. April bieten sechs Kolleginnen
und Kollegen im Regionalsekretariat wiederum
das Ausfüllen der Steuererklärung am PC
an. 2017 haben über hundert syndicom-Mitglieder
diese Dienstleistung genutzt.
• Franz Baumann