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Étrange Découverte - La voie de l'ultime espoir

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l'éducation, la science et la culture) et l’ONU (Organisation <strong>de</strong>s Nations Unies)<br />

avaient orienté leurs travaux dans le sens d’une réflexion collective, sur la gestion<br />

durable d’une richesse essentielle qui n’avait été ni illimitée, ni équitablement<br />

répartie, l’eau. Cet élément indispensable à toute forme <strong>de</strong> vie amorçait une longue<br />

pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> pénurie. <strong>La</strong> source intarissable tarissait. En mars 2000, la Commission<br />

mondiale <strong>de</strong> cet élément vital pour le XXIe siècle avait présenté son rapport, lors du<br />

forum mondial qui s’était tenu à <strong>La</strong> Haye. Celui-ci recommandait déjà l’investissement<br />

mondial annuel consacré à cette ressource, en vue <strong>de</strong> répondre au besoin <strong>de</strong><br />

l’accroissement <strong>de</strong> la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> mondiale future. Au crépuscule <strong>de</strong> 2007, le secrétaire<br />

général <strong>de</strong> l’ONU engagea la communauté internationale à faire <strong>de</strong> l’assainissement,<br />

l’élément fondamental <strong>de</strong> la dignité humaine, une <strong>de</strong> ses priorités. Le premier<br />

sommet européen sur le sujet du réchauffement climatique s’est tenu à Paris en 1961.<br />

Cette année-là, il se conclut sur un nouveau quota <strong>de</strong> réduction <strong>de</strong>s GES, pour une<br />

pério<strong>de</strong> différente. Les états membres adoptèrent une politique énergétique commune.<br />

Plusieurs sommets se succédèrent et se modifièrent au fil <strong>de</strong>s ans, à travers les<br />

continents et offraient une évolution au protocole <strong>de</strong> Kyoto. Par la suite, d’autres pays<br />

s’alliaient à cette cause en négociant leur quota <strong>de</strong> rejets, lors <strong>de</strong> leur ratification à<br />

chaque nouveau protocole, mais certains campèrent pendant longtemps sur leur<br />

position <strong>de</strong> refus, notamment les États-Unis et la Chine, d’autres changèrent leur<br />

engagement et certains abandonnèrent leur choix <strong>de</strong> départ. L’Europe ne formant plus<br />

qu’un continent, <strong>de</strong> la France aux pays <strong>de</strong> l'Est, seul le quota global obtenu par la<br />

moyenne <strong>de</strong>s quotas <strong>de</strong> chaque pays membre comptait face à l’engagement pris avec<br />

le protocole, dès 2160. Ce qui bénéficia à la France qui en 2162 afficha un<br />

pourcentage <strong>de</strong> diffusion <strong>de</strong> dioxy<strong>de</strong> <strong>de</strong> carbone et <strong>de</strong> méthane s’élevant à 39 %<br />

lequel avait continué à augmenter, sans raison justifiable. Elle était sur le point <strong>de</strong><br />

dépasser le taux <strong>de</strong>s pays non ratifiés et <strong>de</strong> ceux qui, malgré leur ratification, ne<br />

respectaient aucun décret par ambition financière. L’objectif <strong>de</strong> repousser les<br />

échéances du déclin <strong>de</strong> notre planète, dans son cycle <strong>de</strong> vie, était sérieusement remis<br />

en cause.<br />

Pourtant, l’État français comme d’autres pays développés, si ce n’est plus que les<br />

autres, avait déployé fermement, <strong>de</strong>puis les années 90, tous les moyens qui avaient<br />

existé à l’époque pour s’aligner avec ses confrères, dès cette pério<strong>de</strong>. Sans hésitation<br />

et même aux prix <strong>de</strong> sacrifier les classes sociales moyennes et pauvres, au grès <strong>de</strong><br />

leur énorme difficulté financière et leur mal-être, il avait changé <strong>de</strong> cap, dans sa<br />

politique écologique et avait intensifié ses efforts, dans une politique <strong>de</strong> sensibilisation<br />

<strong>de</strong> plus en plus profon<strong>de</strong> <strong>de</strong> tous les citoyens, sur la propreté <strong>de</strong> la planète et<br />

sur les gestes <strong>de</strong> la vie courante qui avaient permis <strong>de</strong> réduire les émissions <strong>de</strong>s GES.<br />

D’une décennie à l’autre, il avait mis l’accent sur l’utilisation <strong>de</strong>s matrices d’énergie<br />

produisant moins d’oxy<strong>de</strong> <strong>de</strong> carbone et <strong>de</strong> substances préservant nos exploitations en<br />

eau potable. Le nucléaire, énergie <strong>de</strong> base réduite à une infime production et sécurisée<br />

à tout niveau, afin <strong>de</strong> faire face à une panne ou un hors service généralisé <strong>de</strong> notre<br />

écosystème producteur d’énergie, déjà actif, et d’éviter le stockage en masse <strong>de</strong>s<br />

déchets radioactifs, avait été compensé par <strong>de</strong>s énergies produites par les éoliennes, la<br />

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