Étrange Découverte - La voie de l'ultime espoir
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se mondialisa et donna l’opportunité à toutes les nations <strong>de</strong> réduire leur taux <strong>de</strong><br />
criminalité, sans pour autant résoudre le problème <strong>de</strong>s quotas d’émission <strong>de</strong>s GES et<br />
en entravant le fon<strong>de</strong>ment du principe <strong>de</strong> la démocratie et <strong>de</strong>s droits <strong>de</strong> l’homme. Au<br />
terme <strong>de</strong> la troisième pério<strong>de</strong> d’engagement à la réduction <strong>de</strong>s GES, en 2166, malgré<br />
ses progrès exemplaires, pour enrayer définitivement à la pollution <strong>de</strong> l’eau et <strong>de</strong><br />
l’air, la France fut montrée du doigt, pour avoir atteint un quota <strong>de</strong> 64 % d’émission,<br />
alors que le reste du mon<strong>de</strong> affichait, au plus haut, un taux additionnel <strong>de</strong> 12 %. Le<br />
dioxy<strong>de</strong> <strong>de</strong> carbone, le méthane et le dioxy<strong>de</strong> d’azote étaient essentiellement les gaz<br />
incriminés dans cet effrayant pourcentage. En conséquence, la science s’associait à<br />
nouveau à la technologie, au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong> celle qui était déjà en vigueur, pour créer un<br />
autre système efficace <strong>de</strong> récupération <strong>de</strong> ces gaz, dans lequel la difficulté résidait<br />
dans l’emplacement <strong>de</strong> leur stockage. Tous les pays qui possédaient <strong>de</strong>s compagnies<br />
pétrolières surmontaient cet obstacle par le remplissage <strong>de</strong>s poches <strong>de</strong> pétrole vidées<br />
<strong>de</strong> son contenu. D’autres avaient repris le système Castor expérimenté au Danemark<br />
en 2007. Ces États s’unirent pour prendre à leur charge la moitié <strong>de</strong> la production<br />
française en GES. En parallèle, dans l’<strong>espoir</strong> <strong>de</strong> mettre un terme à cette pollution<br />
excessive, les experts internationaux s’étaient appliqués pour en découvrir la cause.<br />
Deux ans plus tard, ils déclenchèrent l’état <strong>de</strong> catastrophe mondiale. Le pourcentage<br />
du taux d’émission <strong>de</strong>s GES français afficha à nouveau un niveau tellement élevé<br />
qu’il anéantissait tous les efforts fournis sur le plan européen et mondial. Les concentrations<br />
en CO2 qui sont comprises entre 190 ppm <strong>de</strong>s ères glaciaires et 300 ppm<br />
<strong>de</strong>s pério<strong>de</strong>s chau<strong>de</strong>s s’élevèrent à 840 ppm. Pour le CH4 (le méthane) qui fluctue<br />
entre 350 pp et 750 pp, les mesures s’approchèrent <strong>de</strong>s 2600 pp.<br />
Les catastrophes naturelles.<br />
En 2167, les scientifiques qui avaient prévu une augmentation <strong>de</strong>s températures<br />
<strong>de</strong> 8 °C, sur un siècle, durent réviser leur estimation, car l’évolution <strong>de</strong> la chaleur<br />
s’éleva <strong>de</strong> 5 °C, sur une décennie, puis <strong>de</strong> 7 °C les cinq années suivantes. Pourtant le<br />
soleil avait cessé sa phase éruptive violente et les conditions nécessaires à une baisse<br />
<strong>de</strong>s températures étaient mondialement. Les conséquences commencèrent à se faire<br />
ressentir dès 2168 par <strong>de</strong>s phénomènes modifiés d’El Niño dus à la croissance <strong>de</strong>s<br />
températures, au <strong>de</strong>ssus <strong>de</strong>s océans chauds. El Niño avait été jusqu’à présent, un<br />
phénomène océanique cyclique d’une périodicité allant <strong>de</strong> 2 à 7 ans et d’une durée <strong>de</strong><br />
12 à 18 mois, et succédé par le phénomène contraire appelé <strong>La</strong> Nina qui avait été<br />
caractéristique d’une situation climatique normale <strong>de</strong> ce lieu du globe. Il s’était<br />
caractérisé par le réchauffement d’un immense réservoir d’eaux superficielles, <strong>de</strong><br />
l’ordre <strong>de</strong> 4 à 6 °C, dans l’océan Pacifique équatorial et il s’était accompagné d’une<br />
interaction entre l’océan et l’atmosphère qui avait perturbé les courants marins, la<br />
position relative <strong>de</strong> l’équateur thermique, le régime <strong>de</strong>s alizés et plus généralement la<br />
circulation atmosphérique. Toute la ceinture tropicale du globe avait subi un bouleversement<br />
climatique qui provoquait régionalement <strong>de</strong>s précipitations intenses ou<br />
d'immenses torna<strong>de</strong>s dans le Pacifique Est, pendant que la sécheresse avait sévi, dans<br />
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