11 février 1910 - Bibliothèque de Toulouse

VENDREDI il
MARCHE DE BORDEAUX
Du 10 février.
Blés. — On cote : BOés de notre région, 30 à 20 25
l'hecto.
Farines. — Supérieures du Haut pays, disponible,
$4 75; Mvralute. 25 Dr.; premières marqués, 84 60; 11-
vraDtesvi'aJAe. 34 75.
Sons et repasses. — Disponible, sons gros. 16 50;
liraable. in. ordinaire, U 75, remouiages, 16 50; re-
passes ordinaires, l&l»; livrable, 15; Plata. 14 25 ]ogé
Avoines. — (irises RjitOTi, 21; Bretagne, 20 75; nôt-
res, 20 25; Plata. 81 76.
Orges. — Pays, 18 fr. les 100 Mlos; Algérie, 17 fx.
ARTËGB M^^es.
Cours pratiqués au marché du 3 février :
Blé. — O a été vendu 887 hectolitres ne blé a
16 75 les 80 kilos ; métell. de 14 à 14 50 ; selSle. 13 60 a 14 50 ; avoine de W so
A 11 50 -.haricots, de 26 à 31 ; vesoes, de 21 à 22 .
lèves do 15 à 10 . pommes die terre, de 3 50 a 4 B-.,
le tout l'heotoiMtre. „ .
Volailles — Pondes grasses, de e a o ou .
tœara^outots tardifs. *U5fr.i pintades, de 5
à 5 60, lo tout la pâme.
œufs. 1 fr. la domaine.
LOT-ET- GARONNE
Agen.
Marché foire du 9 février. — Coïncident avec le
Jour des Cendres et premier jour de Carême et veille
de la foire de Layrac. où un bon nombre d'Agenais
ont projeté de se rendre, notre marché-tolre men-
suel qui s'est tenu au Gravier a été assez tréquienité.
L'apport, de Jia voUaiUe a été censé nul. Les tran-
sactions ont été en quelque sorte sur les animaux de
boucherie qui ont été payés :
Bœufs, 40 à 42 fr. les 50 kilos, poids vif ; Taches,
86 à 39 fr.; veUes et veaux, 45 à 55 fr. ; moutons, 42
â 45 fr
Pore gras, premier choix, 48 à 50 fr. ; deuxième
qualité, 40 à 45 f r. ; porcelets, 25 à 40 fr. l'unité.
Los chevaux ont trouvé peu d'amateurs, queûrrues
uns do race Jandalse, ont été payés de 300 a 450 fr.
J'unité.
Blés. — Affaires lentes e*. les prix payés sont de
18 à 19 fr. Jes 80 kilos; mais, 15 à 16 fr.; haricots,
SO â 22 fr.; setgtte, 13 à 13 50 les 75 kilos; fèves, M> à
16 f r.ies 65 kilos ; avoines, 10 à 10 50 les 50 kilos ; pom-
mes de terre, 3 50 à 4 50.
Vins. — Les demandes sont fort restreintes; les
viticulteurs reçoivent peu d'offres de la part du né-
goce. On cite cependant quelques débitants de notre
vMe, qui ont acheté quelques barriques de vin du
crû de Salnt-Gervais à LectouTe au prix de 38 à
48 Tr. ïes 228 litres, nus, freunco en gare d'Agen.
CEuts, o 9a a l fr. la douzaine.
SECCOTtNE COLLE et RÉPARE... TOISTi
FEVRIER 1910
BOURSE DE PARIS
Du 9 février (par dépêche télégraphique)
FONDS D'ETAT
a ..
7S 90 7!) 85
87 10 S7 15
104 40 104 40
9» 20 99 20
95 45
492 . 492 '.
98 . I 494 25
ACTIONS
Banque de France cpt
Banque do France -r. tme
Banquo Paris
Comptoir d'Escompte...........
Crédit Foncier »
Crédit Lyonnais cpt
Crédit Lyonnais tme
Société Générale
Banque ottomane. ..... ,. • cpt
Banquo ottomane ........une
Bôiie-Guelma
CDt
Bône-Gurlma
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Est-Algérien
CP'
Est-Algérien 'me
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Parls-Lyon-Méditerranôe -cpt
Paris-Lyon-JUéditerranêe tme
Midi d>'
Midi ,.rr. ,. ...tme
Nord cpt
Nord tme
Orléans ..............
Ouest ..............
Ouest-Alférlen ».
Autrichien
Lombards •
Nord-Espagne ,. CP'
Nord-Espagne »»...... .»-. -tme
Portugais •
Saragosse » CP(
Saragosse
lme
Compagnie Transatlantique
Messageries maritimes
Métropolitain tme
Suez (Canal marlt.)., tome
Thomson-Houston
Société d'électricité de Paris
Rio Tinto tmf
Charb. Sosnowice .. cpl
Charb. Sosnowice... tm<
Carmaux • ••••
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368 ..
367 ..
360 ..
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180 i0
571 .
5140 ..
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1935 ..
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369
367
425
424
215
181
575
5i :o
848
1942
1534
1531
2215
OBLIGATIONS
Ville de Paris 1S65 4 % .....
— 1869 3 %
— 1871 3 % .....
— 1875 4 %
— 1876 4 % .
— 1892 2 1/2 %
— 1894-1896 2 1/2 %
— 1S94-96 2 1/2 % quart
— 1S98 2 % quart
— 1899 2 %
— 1904 2 1/2 %
— 1905 2 3/4 %
Communales 1879
Foncières 1879
Communales 1889
Foncières 1883
— 1885
Communales 1S91
— 1892
Foncières 1895
Communales 1899
Foncières 1903
Communales 1906
Bône-Guelma , ».,.....
Est-Algérien
Est 3 % ancienne......
Midi 3 % ancienne...» »...
Nord 3 % ancienne
Orléans 3 % ancienne
Ouest 3 % ancienne
Ouest-Algérien
P.-L.-M. 3 % (fusion ancienne)
Autrichien 3 %, l" hypothèque
Lombarde ancienne
Nord-Espagne ,
Portugais .. ,
Saragosse
Panama lots libérés...
Suez 5 %......
550
553 ..
405 " 405
556 .. 552 50
554 73 553 ..
374 .. 373
376 .. 374 50
100 .. 98 75
115 . 112 50
420 .. 419 75
457 .. 457 ..
402 75 402 ..
496 . 497 ..
503 . 503 50
513 50 510 75
43 > 25 433 ..
433 .. 486 .
403 . 403 ..
474 472 50
48S .. 488 ..
482 478 ..
502 . 503 ..
510 . 510 ..
444 . 443 ..
435 50
435 ..
447 .. 446 75
443 .. 4',8 ..
449 25 449 50
44y.rénées - ont édité. .1 l'occasion du
carnaval die 1910, le Perpignan illustre et ses envi-
rons .'iplendido livraison en couleurs de X pages du
format de vHMstrotiuii. ce premier numéro sera
suivi parait-il, d'autres tout aussi Juxtjeux. et les
deux sociétés du comiié
ïoiitée par la Franco, l'IJspagnc, Uralllée par les ri-
valités des rois d'Aragon el do Majorque, no con-
naissait qu'un repos intera-ompu par le choc «teis ar-
mures, an d'héroïques cliovauchces. _
Mais le peintre Henry Perrault chargé de 1 luus-
tratiun du jouirna.1, a préféré nous montrer des scè-
nes de la vie Intime de Perpignan, saut UMMCfOU
en sa dernière cxuntpositJon, qui représenJe l'entrée
du comvention.uel C^iKsanyes, vainqueur des Espa-
gnols A la bataille do Peyrestories, en 1793.
Les dernières pages sont consacrées aux environs
de Perpifl'nan: fine, avec ses cloîtres célèbres (très
beau cllellé) ; le Littoral, ou deux aquarelles repré-
sepWtrrt l'unie la rentrée du courrier d'Alger la
« Marsa » à PoTt-Vendres, l'autre la lour si pitto-
resque de Collioure au coucher du soleitl.
Quelques lignes rappellent aux touristes que le
Roussillon possède une cote d'Azur où — si la main
de l'homme n'a pas semé des merveilles artificiel-
les comme « sur l'autre » — un ciel tout aussi bleu
y fait mûrir d'aussi beaux fruits, la mer y mur-
mure d'aussi douces chansons: la température pure
et clémente sait aussi bien faire paraître plus douce
l'existence aux heureux qui possèdent la santé et la
.rendre aux malades éperdus qui accourent pour
l'implorer.
Viennent ensuite de magistrales descriptions des
montagnes des Pyrenéc-s-Orieutales, tant du versant
de la Tôt que de celui du Tech et des gorges de
Sai.ut-Antoine-de-Galamuis.
La diffusion de cette publication de luxe ne neut
avoir qu'une très lieureuso influence sur le monde
touristique pour l'amener dans nos Pyrénées, si
balles, si dignes d'être visitées.
Le Comité des fêtes de Perpignan a été partdculiè-
.rernemt bien inspiré, et sûrement il recueillera le
fruit Revue
Française » contre la minime somme de l fr..
et vous recevrez « franco » quatre magnifiques
numéros de 32 pages illustrées, accompagnés
d'une prime consistant en quatre morceaux de
musique classique grand format.
La « Revue Française » paraît chaque se
maino sur :12 pages. Un an . 9 Ir 50 Le nu
méro : 0 fr. 25. — Rédaction et administration ;
17, rue Cassette, Paris
Demander spécimen contre timbre de 0 t. 10.
***
Sommaire du numéro do la REVUE HEB-
DOMADAIRE du 5 février. — Envoi sur de-
mande. 8, rue Garancière, Paris, d'un numéro
spécimen et du Catalogue des primes de li-
brairie (26 francs de livres par an) .
Partie littéraire. — Jules Lemaître, de l'Aca-
démie française : Fuielon (III) , Fônelon,
missionnaire ; « l'Education des filles ». An-
dré Hallays : Haussmann et les travaux de
Paris. Emile Faguet . la Démocratie et les
Mœurs privées. Emile Guillaumin lîapliste
et sa femme (I). Paul Galot M. Emile OUi-
vier et la guerre de 1870 Pierre d'Hugues ;
les Tendances de la bureaucratie.
Les faits et les idées au jour le jour ; Re-
vue des revues françaises et étrangères ; la
Vie mondaine et familiale . la Vie sportive ;
Chronique agricole el financière.
Partio illustrée. — Fônelon ; Louis XIV,
d'après une gravure publiée en 1.686. Anne-
Jules, duc de Noailles. gouverneur du Rous-
sillon. par H. Rigaud, gravé par Edelinck.
Cbarles-Honorat d'Albert, duc de Chevreuse
et de Luynes. gouverneur de la Guyenne,
grav. d'Ant Masson (1679). Colbert, gravure
inachevée do F. de Poilly. Colbert, par Nan-
teuil. Jean-Baptiste de Scignelay. ministre et
secrétaire d'Etat, par Mignard. gravé par Ede-
linck. Nicolas de Lamoignon do BasvUlc, par
Ant Paillet, gravé par Steph Picart (1666)
Révocation de l'Edit de Nantes, gravure de
Jean Linken (1685) Les Dragonnades, estampe
satirique, par Engelmann (1686) , estampe sa-
tirique, gravée par les Réformés, à propos de
la destruction de leur temple de Charenton
Haussmann et les travaux de Paris baron
Haussmann (1853) ; les ruines du quartier
Latin en 1860 . Champs-Elysées (1870) . le Pa-
norama l.anglois (aujourd'hui Palais de IGa
ce). Restauration de la Fontaine de Médicis,
au Luxembourg. La rue de la Tixerandene.
supprimée en 1851 pour le percement de la rue
de Rivoli. La Fontaine du Diable, au coin de
la rue de l'Echelle et de la rue Saint-Louis,
détruite par le percement de la rue de Ilivoli.
Les inondations a Paris la Seine à la hau-
teur de Notre-Dame ; les quais inondés ; la
Seine au pont de l'Aima . rue de Lille En
voyageur quitte son hôtel. La gare du i.uai
d'Orsay. Le tramway de Versailles-Louvre à
Passy. Le chemin de fer d'Orléans, station du
pont (Saint-Michel, ©ébuts de l'inondation.
Rue Félicien-David ; les habitants quittant
leur domicile en barque. Rue Félicien-Davis:
en l'absence de bateaux, deux conseillers mu-
nicipaux de aPris visitant les sinistrés dans
UD tombereau réquisitionné à cet effet
Les inondations autour de Paris : à Argen-
teuil ; le facteur faisant la distribution en
barque. A Asnières ; le ravitaillement des
habitants \ Alfortville ; le sauvetage d'une
femme malade. A Ivry : sauvetatre ,i'„
tue line.
kL a ^e te.
Les inondations en Franco : la Catnct
de Lorroy, près de Chateau-Landon i ~ tr °Phe
trophe de Lorroy. ' ' a cati 3.
L'Instantané, partie illustrée de ]-,
Hebdomadaire, tiré chaque Bemaine s
pier glacé, peut être relié à part ù j- ,F ta-
l'année, Il forme deux volumes de >oo 1,1 de
**# " aSus -
LA CHARITÉ ENVERS LE PROCH Al »,
rnnees pour les hommes, faites en u' c0nfé.
se Saint-Pierre do Chai Ilot, par p Gfvîiï,lis-
prêtre, directeur de l'école Fénelon
uon ,
volume in-16. Prix ; 2 francs. Librairie i,. 1 11
Nourrit et C 1 ", 8, rue Garancière p-,,.', lo «-
f
M. l'abbé Girodon vient de réunir on
nouveau volume la suite de ses conter Uri
de Saint-Pierre do Chaillot, d'un tour si 8
ont
do Saint-Pierre de Chaillot
derne et d'une portée si I
Poursuivant, cette fois, Fétu
derne et d'une portée si hautement soci-n
Poursuivant, cette fois, l'étude des vertus thi*
logales, • de ces puissances, car c'est ] c é^''"
premier du mot « vertu », qui sont en nn ,
les organes de la vie surnaturelle », l'éminem
prédicateur a démontré excellemment que.
autre principe, en dehors des règles chrétien
nos, ne saurait inspirer utilement nos sonr
ments envers nous-mêmes, envers la Pntrin
l'Eglise, nos parents, nos dpmestiques ' ,,,
adversaires eux-mêmes, nos semblables n-vS
vres ou riches. L'altruisme est une doctrine orî
l'air et le socialisme sans Dieu n'aboutu ,,M
do stériles et funestes agitations. La bonté sii
périenre, qui est la loi de l'homme ne nèiâ
procéder que de la charité, dont le Christ î
posé la formule et que l'Eglise a définie o.n
termes précis. C'est le salut de la société m
turc Sublimes vérités, d'une actualité renoal
velôe par les événements, que l'orateur a ex-
posées avec des développements d'une iogl
que serrée et dans une forme impeccable
ASTHME GUERI
M. E. Héhrard, rue du Caillou Gris. 25 blsj
à Toulouse, guéri après avoir souffert pen-
dant trente ans, enverra gratuitement le trai-
tement utile aux personnes qui lui en feront
la demande.
LA VENTE DES FRUITS FRANÇAIS
EN ANGLETERRE
D'après des renseignements recueillis on
Angleterre par les soins de la Compagnie
d'Orléans, voici quelles seraient les variétés
de fruits français qui se' vendraient le plus fa-
oilement sur les marchés de ce pays ;
Pommes. — Reinettes grises. « Russetts » du
Canada, Vérité, Reinette du Mans, Saint Ger-
main.
Noix. — Grenoble, Marbot, Corne, Brantôme,
Corrôzo.
Raisins. — Gros Oolman, Muscat. Hambourg,
Olivette
Poires. — William's, Comice. Duchesse,
Beurré magnifique. Louise Bonne, Glouts Mor-
ceaux.. Catillac, Boussoc
Poires communes. — Poires curés. Jargon-
nelles. Conseiller à la Cour, Epargne. Carrière
Amandis, Gtîfard, Etourdi
Poires d'hiver - Beurré d'Arenbcrg, Doyen,
né d'Alençon, Doyenné d'hiver
Prunes -- Vraie Reine Claude, Béziers Bru-
no Royale. Goliath. Impériale, Victoria.
Prunes communes — Orléans, Calllebotle
Monsieur Antonine, Dauphine, Dame, Dia-
prée
Cerises. — Cœurs. Reverchons du Gard. Ré-
vérerions. Napoléons, Reine Hortense (ces sor-
tres très estimées). Bigarreaux durs. Camus
Montagne, Jabonlay, Evèchès, Bigarreaux ro-
sés. Bigarreaux de Mai. Bigarreaux de Juin,
Bigarreaux blancs
Fraires — Boval Sovereign. Hoffmann, Doc-
teur Morôre. Rondes
Abricots - Boulbon. Real ou Réel, Muscat,
Luizet. Abricot pêche. Suchet.
Groseilles. — Grosses et de belle couleur.
Cassis. — Gros et d'un beau noir
Pêches. — Grosses, saines et de belle cou-
leur
OE-ïElVÏÎPtf DË FER DE PARIS A ORLEANS
SERVICE DES IMMS DE VOYAGEURS
Rétabli partiellement à. la. Gare de
LES iiuDiss ne u mmm
Toux Datii :J!, r»3 3r»onciH3 iheo
dulne, Asthme, Gr> ppa, Crachemereîs
persistants, Phtis e à tous las degrés, et
ploi du
Mm Aitip'ijlill Mm
Prix dut aaoja, 3 f«* Bavoî Iraaai coatr3 mandac-pust
de 3 fr. 75.
Toulouse, Phar.naale D L'B X 9, rat de liintvj.S't'.
DépSt da Méd oamants Krtaipptistes
(A partir du ©SlSKt.Odâ. S JErE£b'%Tl!?'XG>2?, S 23t. SO de l'après-midi et jusqu'à nouvel avis)
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7 Bord.Le Croisic.. 9 30 m.
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5 10 4 m.
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I0l
midi
îapide-luxe)
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il 1 41 S.
(Express)
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n Argenit.-Saincaize . 2 40 S.
(Direct)
5 46 s.
37 3 50 S.
(Express)
8 23 s.
43 6 28 S.
(Expiress,
9 25 s.
31 7 35 S.
(Rapide)
9 37 S.
2r 7 45 S.
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10 12 S.
•25 8 5 s.
(Express)
10 42 S.
llfj Aurdll.-JS'eussarg. . 8 33 S.
(Expivss)
12 lo m.
33 10 10 S.
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27 SUT Vierzon,,
9 sur Nantes
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130 sur Vierzon.
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29 sur Nantes.
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16
(Express)
20
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120
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624
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24
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22
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Toulouse 2 42 m.
Bordeaux ........ 2 58 m.
Neussarg.-AuTill... i 31 m.
Bordeaux 5 41 m.
Bordeaux 6 16 m.
Toulouso 7 14 m.
Montauban 8 58 m.
Rorde&urx-Nantes. 10 24 m.
Limoges 10 38 m.
Nantes 2 51 s.
Bordeaux ........ 3 33 s.
Bordeaux'Nantes. 4 45 s.
Aumda.-Lrmoges ... 5 20 s.
Bordeaux 8 9 s.
(Express)
28 Bordeaux ........
(Express)
34 Borde aux'Nantes.
(Ila4>lflie)
M AuriH.-Lrmoges .-„
(Express)
loo Bordeaux
[Rapide-luxe) .
38 Bordeaux Nantes. .
(Express)
42 Toulouse ....
(Express)
2 51 s.
3 33 S.
4 45 S.
5 20 S.
8 9 s.
8 53 s.
10 27 s.
4 56 m.
5 6 m.
6 24 m.
7 50 m.
8 9 m.
B7m.
10 52 m.
midi 16
18 s.
4 54 S.
5 34 s.
6 27 S.
7 25 S.
9 48 s.
10 55 s.
min. 20
Correspondances relevées
aux AUBRAIS
avoo changement de voitures
12 de Monitluçon,
18 de Nantes.
32 de Nantesi
26 dia Oapdenac-Agen.
44 d'Angers.
30 de Périgueux, Brive. Montluçon.
46 de Saincaizo.
11.4 de Bourges,
2 de Limoges.
40 de Oapdenac.
III
La» Fille ifc
de Roland |p;^
Dra/m.© en 4 Actes M^^^B
PAR IsÈiÊÈÊ
k H. de Bornier J^SfêËÈi
- TUDES el GREFFES a ce-
1 der. S'adresser P. Mouta.
rue Alsace-Lorraine. 3a Tou-
iouae.
BEAU COUPLE CHIENS DE
GARDE à vendre S'adresser au
Caousou, Toulouse.
recevra, vendredi 11 courant,
un convoi de vaches laitières
de plusieurs races Toujours.
PS. avenue des Minimes, Tou-
louse.
'•-7T Vr ^y^"^y?' "N^" ^5$*"* *~'^ > ' -v'' "^ê^ "'^p' "H^*
TUIBUm M COMMERCE
DE TOULOUSE
Liquidation judiciaire (Loi du
a mars 1889)
Les créanciers du sieur Char
les Marqués, imprimeur typo-
graphe, boulevard de Stras-
bourg, n os 22 et 24, sont invi
tés à se réunir le 16 février, a
une heure et demie, pour la vé
rification de leurs créances.
Ceux qui n'ont pas encore ef-
fectué la remise de leurs titres
et bordereaux sont invités à les
déposer, dans le délai de quin-
zaine, au greffe ou dans les
mains du liquidateur
Les créanciers de la faillite
du sieur Pierre Larroche, en-
trepreneur de battage à Pécha-
bou, canton de Castanet, sont
Invités à se réunir le 14 février,
j à une heure et demie, dans la
I salle d'audienoe du tribunal,
pour délibérer sur la formation
' d'un concordat.
Les créanciers des sieurs Gros
et Jourdan, industriels, rue
Bayard. n° 34. qui n'ont pas
encore produit leurs titres de
créance sont invités à les re-
nettre sans délai entre les
mains du greffier ou du liqui-
dateur Ils sont, en outre, pré-
venus qu'une dernière assem-
blée pour la vérification dj
leurs créances aura lieu le si
février, à une heure et demie.
Les créanciers de la faillite
du sieur Pierre Larroche, en-
trepreneur de battage à Pêeha-
bou, canton de Castanet, sont
informés que par jugement en
date du 31 janvier dernier le
tribunal a fixé la date de la
cessation des paiements au
30 septembre 1902.
Le Greffier,
Raymond VERN.HES.
Le 5 Février 1910 [
Imprimerie spéciale. te gÉBZBi : Anaédë© BESSOR.
• Les créanciers du sieur Jo-
jsopti Antoine, chemisier, rue
Irtn Languedoc, n° 35, sont in-
f vités à se réunir le 21 février,
i à une heure et demie, pour la
! vérification de leurs créances
Ceux qui n'ont pas encore
effectué la remise de leurs ti-
tres et bordereaux sont invités
à les déposer, dans le délai de
quinzaine, au grefre ou dans
les mains du liquidateur
SiGR-FFfflE HERBORISTE
De première classe
Mme Barrau, 32. rue Roque-
laine, près gare Matabiau et
centre de la ville, prend pen-
sionnaires toute époque ; s<
charge enfants toutes condi-
tions.
Consultations gratuites de
midi à 4 heures. Assortiments
de plantes. Maison de campa-
gne, proximité de la ville ;
grand jardin, deux entrées.
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Fondée à Toulouse en 1S28
Bureaux situés rue Saint-Jean,
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ouverts les lundi, mercredi,
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matin à midi.
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14 Feuilleton du 11 février 1910.
PAS
F.-M. WHITE
Adaptation de Pierre LUGUET
CHAPITRE XIV
CELA POURRAIT ÊTRE VOUS
— Vous l'avez bien regardé ?
— Oui, la ressemblance avec Marion
est stupéfiante. C'est elle et ce n'est pas
elle. Manon transformée en furie venge-
resse.
— Une de ses aïeules, sans doute ?
— Sans doute. Ce ne peut être Ma-
ri on.
— Non. La vieillesse du médaillon le
PTOUV ^ Et P^S-Marion est un ange.
st.T^fo -t 1 OU)i ' 011016 Ralph !... Je suis
Qu'est-ce que les singuliers
St, d€ y arion et toutes ces hor-
Ralph refusa de répondre • il pecon
Au même moment un cavalier s'avan-
çait dans le sentier, Ralph se gara ins-
tinctivement
— Jessop, murmura-t-il ; je reconnais ;
le trot de son cheval 1
C'était en effet Jessop, un des fermiers
du domaine.
Geoffroy regarda avec admiration ce
compagnon si clairvoyant malgré sa cé-
cité I Le fermier aux joues rebondies
retint sa monture.
— Bonjour, Jessop, cria gaiement
Geoffroy ; où allez-vous ainsi avec vos j
beaux habits et cette valise de dame ?
L'homme sourit avec embarras.
— Je vais en ville ; nous avons une lo- j
cataire, une grande dame, qui a pris j
notre salon et deux chambres. On dit '
que c'est la mode pour les gens de qua- i
lité de passer leurs vacances à la campa- I
gue. C'est d'un grand secours pour nous, I
par ces temps durs I
Ralph se tourna vivement vers son ne-
veu.
— Ce que dit Jessop est-il exact 7
— Oui, répondit Geoffroy ; depuis cinq j
ans le nombre des visiteurs augmente
chaque année sur cette côte solitaire ; il
semble que les hautes classes recher-
chent les cottages et les fermes éloignés
de tout. Mais je n'ai jamais entendu dire
qu'un de nos fermiers ait rien loué jus-
qu'à ce jour.
— Je suis le premier, monsieur, répli-
qua Jessop. La dame nous a dit qu'on
nous avait recommandés a elle ; je ne
voulais pas d'abord, mais six guinées
par semaine pondant deux mois ne sont
pas à. dédaigner. La dame a une quan-
tité de paquets à rapporter, c'est pour-
quoi je vais en ville.
Jessop toucha son chapeau et continua
sa. route. Ralph resta silencieux un lone
moment. °
visité uoie itàCte^ffi QU , e je n ^
il. C'était ft^ft^
une maison meublée, une belle maison,
bien meublée, magnifiquement située :
nous payions huit livres par semaine, et
ce paix était considéré comme très élevé.
Ne pensez-vous pas que la locataire de j
Jessop doit être une femme très extra-
vagante '?
Geoffroy se mit à rire. Comme tous les
jeunes gens élevés dans l'opulence, il ne
connaissait pas la valeur de l'argent. j
— Peut-être après tout, à Grigg,, les j
fermiers se contentent de dix shillings i
par semaine pour une chambre.
Ralpih Ravenspur resta pensif ; les
deux promeneurs sortirent du sentier et
Ralph tourna, non Vers les falaises,
comme il était contenu, mais dans un
chemin profond qui menait à la ferme de i
Jessop. Par une brèche dans la haie, les I
yeux pouvaient embrasser tout le jardin
Sur une pelouse bordée de fleurs, s'ou-
vraient deux portes-fenêtres appartenant
j aux chambres d'appatat de la maison ;
1 fenêtres qu'on n'ouvrait que dans les
; grandes occasions : la maison, avec très
I peu de modifications, aurait été une
charmante habitation.
Ralph s'assit sur l'herbe et bourra len-
tement sa pipe.
— Je vais fumer ici pendant que vous
irez voir Mrs Jessop. J'ai la fantaisie de
savoir quelque chose- sur celte grande
dame, qui vient ainsi s'enterrer. Appe-
lez cela curiosité si vous voulez, mais
faites ce que je vous demande : si vous
| pouviez voir la dame ce serait encore
j mieux.
Geoffroy acquiesça avec joie. Quelques
! minutes plus tard, il causait dans la cui-
sine avec la fermière, un verre de bière
transparente devant lui. Le jeune hom-
visltê une station KaT^?^ qil , e -je ^ ' mo ^ d«s favoris des tenanciers,
il. C'était h se^rboirouth^on^t 18 » 0 ' t**" et non dœ moins aimés-à cause du nuage
suspendu sur lui
— Cela fait plaisir de vous voir, M.
Geoffroy, s'écria la fermière, si joyeux,
si brillant et si vif. Je suis bien contra-
riée de ne pouvoir vous faire entrer dans
le parloir, mais nous avons une loca- |
taire... !
— Jessop me l'a dit. Je suis tout aussi
bien ici... Et à quoi ressemble votre visi-
teuse, Mrs Jessop ?
—; EUe est sombre et belle, et si bien i
habillée ! On dirait une reine descendant |
de son trône. Et savante ! elle a des livres
et des livres 1... Quelques-uns ressem- :
Ment à du chinois.
— Quelque grande dame, sans doute.
— Je n'en serais pas surprise, M. Geof-
froy, mais pas Anglaise, quoiqu'elle !
parie aussi bien que vous et moi ; très
simple avec cela. Elle ne prend que du
thé et des rôties pour déjeuner : un peu
de viande et du riz pour le lunch et des
RE-? a mte le soir ' E1 'e boit que de
| 1 eau. Sa nourriture de toute une semaine
ne nourrirait pas ,.m d
magine que vous comptiez trouver ctw
dame ici ? . g
Ralph se leva lentement, secoua '
cendres de sa pipe et se tourna vers
château.
— Je n'en suis pas autrement sui'P 11 '
dit-il.
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«RAISON UAPERSOifv « ;;,„
I.eH Dames SOUcieuHVH