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Claude Semal se raconte… - SABAM.be

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LE BRUSSELS FILM FESTIVALS’AGRANDIT !Au moment ou vous lirez ces lignes, le Brus<strong>se</strong>ls Film Festival battra son plein ! En effet, le festival reprispar Yvan Corbisier l'an dernier <strong>se</strong> déroule du 22 au 29 juin 2011 ! Depuis l'arrivée de son nouveau di rec teur,le festival veut devenir LA référence en matière d’événement audiovisuel Bruxellois. Ouvrant sa programmationau public et aux professionnels, cette 9 ème édition estivale du festival promet d’être chaude !Un festival, deux endroits :Flagey & BozarLe festival s'étend dans la ville. Il a lieuau Flagey comme chaque année (studios4 et 5 ainsi que sur la place SainteCroix pour les séances en plein air)mais également, pour la première fois,au Bozar (salles M et Studio), un autregrand lieu foisonnant de culture et dedivertis<strong>se</strong>ment.La programmationLa programmation s'articule autourde <strong>se</strong>pt <strong>se</strong>ctions : la CompétitionOfficielle (ouverte à tous les film<strong>se</strong>uropéens, tous genres confondus),les Avant-Pre mières (proposant en primeurles films européens les plusattendus de l'été et de la rentrée), lePano rama (plateforme de découvertes),l'Europe des genres (ouverturesur un cinéma peu exploré en festivals,qu'il s'agis<strong>se</strong> de thriller, policier oucomédie), les Séan ces en plein air(toujours gratuites, ras<strong>se</strong>mblant desmilliers de spectateurs chaque soir surla Place Sainte Croix, une CompétitionCourts-Métrages (mettant les jeunestalents <strong>be</strong>lges sous le feu des projecteurs)et Hello Sundance (vitrine offerteaux organisateurs du célèbre festivalaméricain).Le workshop organisépar la <strong>SABAM</strong>Pour la première fois, la <strong>SABAM</strong> <strong>se</strong>raréellement partie prenante de l’événementen organisant son propre work -shop professionnel en collaborationavec le festival. Le titre : “Quand lamusique et cinéma <strong>se</strong> rencontrent”.La musique est un des signifiants ducinéma. Qu’elle soit commandée à uncompositeur travaillant sur le film encours de montage, qu’elle soit à la ba<strong>se</strong>de l’imaginaire du réalisateur lors deson processus de création… le lienentre musique et cinéma est es<strong>se</strong>ntielet évident. Les acteurs de ces deux<strong>se</strong>cteurs ont toutes les raisons de travailleren <strong>se</strong>mble, et pourtant ils ne <strong>se</strong>connais<strong>se</strong>nt pas nécessairement.L’objectif principal de cette initiativeest donc d’encourager la collaborationentre les principaux acteurs de cesdeux <strong>se</strong>cteurs d’activités.Le lien entre la musique et le cinéma<strong>se</strong>ra abordé à travers différents témoignagesde réalisateurs, producteurs etmusiciens. Ils pourront ainsi expliquerleur approche et leur manière de travailler.La parole <strong>se</strong>ra également donnéeà des éditeurs et un juriste donnera unbref cadre juridique à cette collaboration.(FS)Plus d'info :www.brus<strong>se</strong>lsfilmfestival.<strong>be</strong>BARNEY FRYDMAN, UNE DERNIÈRE FOIS© Aurore BelotRemarqué lors du dernier Festival du Film Fantastique de Bruxelles, Barney Frydman y pré<strong>se</strong>ntait Une dernière Fois, son film de find’étude tourné durant sa formation à Paris.Inspiré par l’un des films d’animation de son père dans lequel les visages des personnages “s’effacent”, lejeune cinéaste a repris cette idée mais par l’intermédiaire de la fiction cette fois !B. Frydman : “La symbolique des visages effacés repré<strong>se</strong>nte l’effacement de soi, de la personnalité, de ceque l’on vaut…”. Barney Frydman part de cette idée et y construit une histoire d’amour en paral lèle.L’inspiration est venue très vite. Le réalisateur et sa copine étant éloignés par plusieurs centaines dekilomètres entre Paris et Bruxelles, une histoire <strong>se</strong> battit autour de cela : la symbolique entre la perte duquotidien, l’amour par procuration et l’éloignement des visages constitue un parallélisme à sa propre vie…“Quand ma copine et moi nous retrouvions à Paris, on avait la <strong>se</strong>nsation qu’on pouvait mourir, tant on étaitbien en<strong>se</strong>mble. J’aime les films où il y a un peu de fantastique, mais pas trop, je préfère frôler la limite. Jetente de donner une autre vision du monde mais chacun peut interpréter le film comme bon lui <strong>se</strong>mble. Engénéral, il y a pas de demi-mesure, les gens entre dans l’histoire ou pas”.Primé au BIFFF où il a gagné le Prix de la Jeunes<strong>se</strong>, gageons que ce n’est qu’un début pour BarneyFrydman, un cinéaste au nom de star qu’on aura très probablement la chance de voir encore dansd’autres festivals.(FS)Infos : barney.frydman@gmail.com8<strong>SABAM</strong> MAGAZINE 65 > 2011

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