234tendresse, et que celui qu'elle maltraite croit que c'est par dépit. Ainsi chacun, content de son partage, lavoit t<strong>ou</strong>j<strong>ou</strong>rs s'occuper de lui, tandis qu'elle ne s'occupe en effet que d'elle seule.Dans le désir général de plaire, la coquetterie suggère de semblables moyens: les caprices ne feraientque rebuter, s'ils n'étaient sagement ménagés; et c'est en les dispensant avec art qu'elle en fait les plusfortes chaînes de ses esclaves.Usa ogn'arte la donna, onde sia colteNella sua rete alcun novello amante;Nè con tutti, nè sempre un stesso voltoSerba; ma cangia a tempo atto e sembiante.A quoi tient t<strong>ou</strong>t ce art, si ce n'est à des observations fines et continuelles qui lui font voir à chaque instantce qui se passe dans les coeurs des hommes, et qui la disposent à porter à chaque m<strong>ou</strong>vement secretqu'elle aperçoit la force qu'il faut p<strong>ou</strong>r le suspendre <strong>ou</strong> l'accélérer? Or, cet art s'apprend-il? Non; il naîtavec les femmes; elles l'ont t<strong>ou</strong>tes, et jamais les hommes ne l'ont eu au même degré. Tel est un descaractères distinctifs du sexe. La présence d'esprit, la pénétration, les observations fines sont la sciencedes femmes; l'habileté de s'en prévaloir est leur talent.Voilà ce qui est, et l'on a vu p<strong>ou</strong>rquoi cela doit être. Les femmes sont fausses, n<strong>ou</strong>s dit-on. Elles ledeviennent. Le don qui leur est propre est l'adresse et non pas la fausseté: dans les vrais penchants deleur sexe, même en mentant, elles ne sont point fausses. P<strong>ou</strong>rquoi consultez-v<strong>ou</strong>s leur b<strong>ou</strong>che, quand cen'est pas elle qui doit parler? Consultez leurs yeux, leur teint, leur respiration, leur air craintif, leur mollerésistance: voilà le langage que la nature leur donne p<strong>ou</strong>r v<strong>ou</strong>s répondre. La b<strong>ou</strong>che dit t<strong>ou</strong>j<strong>ou</strong>rs non, etdoit le dire; mais l'accent qu'elle y joint n'est pas t<strong>ou</strong>j<strong>ou</strong>rs le même, et cet accent ne sait point mentir. Lafemme n'a-t-elle pas les mêmes besoins que l'homme, sans avoir le même droit de les témoigner? Sonsort serait trop cruel, si, même dans les désirs légitimes, elle n'avait un langage équivalent à celui qu'ellen'ose tenir. Faut-il que sa pudeur la rende malheureuse? Ne lui faut-il pas un art de communiquer sespenchants sans les déc<strong>ou</strong>vrir? <strong>De</strong> quelle adresse n'a-t-elle pas besoin p<strong>ou</strong>r faire qu'on lui dérobe cequ'elle brûle d'accorder! Combien ne lui importe-t-il point d'apprendre à t<strong>ou</strong>cher le coeur de l'homme, sansparaître songer à lui! Quel disc<strong>ou</strong>rs charmant n'est-ce pas que la pomme de Galatée et sa fuitemaladroite! Que faudra-t-il qu'elle aj<strong>ou</strong>te à cela? Ira-t-elle dire au berger qui la suit entre les saules qu'ellen'y fuit qu'à dessein de l'attirer? Elle mentirait, p<strong>ou</strong>r ainsi dire; car alors elle ne l'attirerait plus. Plus unefemme a de réserve, plus elle doit avoir d'art, même avec son mari. Oui, je s<strong>ou</strong>tiens qu'en tenant lacoquetterie dans ses limites, on la rend modeste et vraie, on en fait une loi d'honnêteté.La vertu est une, disait très bien un de mes adversaires; on ne la décompose pas p<strong>ou</strong>r admettre unepartie et rejeter l'autre. Quand on l'aime, on l'aime dans t<strong>ou</strong>te son intégrité; et l'on refuse son coeur quandon peut, et t<strong>ou</strong>j<strong>ou</strong>rs sa b<strong>ou</strong>che aux sentiments qu'on ne doit point avoir. La vérité morale n'est pas ce quiest, mais ce qui est bien; ce qui est mal ne devrait point être, et ne doit point être av<strong>ou</strong>é, surt<strong>ou</strong>t quand cetaveu lui donne un effet qu'il n'aurait pas eu sans cela. Si j'étais tenté de voler, et qu'en le disant jetentasse un autre d'être mon complice, lui déclarer ma tentation ne serait-ce pas y succomber? P<strong>ou</strong>rquoidites-v<strong>ou</strong>s que la pudeur rend les femmes fausses? Celles qui la perdent le plus sont-elles au reste plusvraies que les autres? Tant s'en faut; elles sont plus fausses mille fois. On n'arrive à ce point dedépravation qu'à force de vices, qu'on garde t<strong>ou</strong>s, et qui ne règnent qu'à la faveur de l'intrigue et dumensonge. Au contraire, celles qui ont encore de la honte, qui ne s'enorgueillissent point de leurs fautes,qui savent cacher leurs désirs à ceux mêmes qui les inspirent, celles dont ils en arrachent les aveux avecle plus de peine, sont d'ailleurs les plus vraies, les plus sincères, les plus constantes dans t<strong>ou</strong>s leursengagements, et celles sur la foi desquelles on peut généralement le plus compter.
235Je ne sache que la seule mademoiselle de l'Enclos qu'on ait pu citer p<strong>ou</strong>r exception connue à cesremarques. Aussi mademoiselle de l'Enclos a-t-elle passé p<strong>ou</strong>r un prodige. Dans le mépris des vertus deson sexe, elle avait, dit-on, conservé celles du nôtre: on vante sa franchise, sa droiture, la sûreté de soncommerce, sa fidélité dans l'amitié; enfin, p<strong>ou</strong>r achever le tableau de sa gloire, on dit qu'elle s'était faitehomme. A la bonne heure. Mais, avec t<strong>ou</strong>te sa haute réputation, je n'aurais pas plus v<strong>ou</strong>lu de cet hommelàp<strong>ou</strong>r mon ami que p<strong>ou</strong>r ma maîtresse.T<strong>ou</strong>t ceci n'est pas si hors de propos qu'il paraît être. Je vois où tendent les maximes de la philosophiemoderne en t<strong>ou</strong>rnant en dérision la pudeur du sexe et sa fausseté prétendue; et je vois que l'effet le plusassuré de cette philosophie sera d'ôter aux femmes de notre siècle le peu d'honneur qui leur est resté.Sur ces considérations, je crois qu'on peut déterminer en général quelle espèce de culture convient àl'esprit des femmes, et sur quels objets on doit t<strong>ou</strong>rner leurs réflexions dès leur jeunesse.Je l'ai déjà dit, les devoirs de leur sexe sont plus aisés à voir qu'à remplir. La première chose qu'ellesdoivent apprendre est à les aimer par la considération de leurs avantages; c'est le seul moyen de les leurrendre faciles. Chaque état et chaque âge a ses devoirs. On connaît bientôt les siens p<strong>ou</strong>rvu qu'on lesaime. Honorez votre état de femme, et dans quelque rang que le ciel v<strong>ou</strong>s place, v<strong>ou</strong>s serez t<strong>ou</strong>j<strong>ou</strong>rs unefemme de bien. L'essentiel est d'être ce que n<strong>ou</strong>s fit la nature; on n'est t<strong>ou</strong>j<strong>ou</strong>rs que trop ce que leshommes veulent que l'on soit.La recherche des vérités abstraites et spéculatives, des principes, des axiomes dans les sciences, t<strong>ou</strong>t cequi tend à généraliser les idées n'est point du ressort des femmes, leurs études doivent se rapportert<strong>ou</strong>tes à la pratique; c'est à elles à faire l'application des principes que l'homme a tr<strong>ou</strong>vés, et c'est à ellesde faire les observations qui mènent l'homme à l'établissement des principes. T<strong>ou</strong>tes les réflexions desfemmes en ce qui ne tient pas immédiatement à leurs devoirs, doivent tendre à l'étude des hommes <strong>ou</strong>aux connaissances agréables qui n'ont que le goût p<strong>ou</strong>r objet; car, quant aux <strong>ou</strong>vrages de génie, ilspassent leur portée; elles n'ont pas non plus assez de justesse et d'attention p<strong>ou</strong>r réussir aux sciencesexactes, et, quant aux connaissances physiques, c'est à celui des deux qui est le plus agissant, le plusallant, qui voit le plus d'objets; c'est à celui qui a le plus de force et qui l'exerce davantage, à juger desrapports des êtres sensibles et des lois de la nature. La femme, qui est faible et qui ne voit rien au dehors,apprécie et juge les mobiles qu'elle peut mettre en oeuvre p<strong>ou</strong>r suppléer à sa faiblesse, et ces mobilessont les passions de l'homme. Sa mécanique à elle est plus forte que la nôtre, t<strong>ou</strong>s ses leviers vontébranler le coeur humain. T<strong>ou</strong>t ce que son sexe ne peut faire par lui-même, et qui lui est nécessaire <strong>ou</strong>agréable, il faut qu'elle ait l'art de n<strong>ou</strong>s le faire v<strong>ou</strong>loir; il faut donc qu'elle étudie à fond l'esprit de l'homme,non par abstraction l'esprit de l'homme en général, mais l'esprit des hommes qui l'ent<strong>ou</strong>rent, l'esprit deshommes auxquels elle est assujettie, soit par la loi, soit par l'opinion. Il faut qu'elle apprenne à pénétrerleurs sentiments par leurs disc<strong>ou</strong>rs, par leurs actions, par leurs regards, par leurs gestes. Il faut que, parses disc<strong>ou</strong>rs, par ses actions, par ses regards, par ses gestes, elle sache leur donner les sentiments qu'illui plaît, sans même paraître y songer. Ils philosopheront mieux qu'elle sur le coeur humain; mais elle liramieux qu'eux dans le coeur des hommes. C'est aux femmes à tr<strong>ou</strong>ver p<strong>ou</strong>r ainsi dire la moraleexpérimentale, à n<strong>ou</strong>s à la réduire en système. La femme a plus d'esprit, et l'homme plus de génie; lafemme observe, et l'homme raisonne: de ce conc<strong>ou</strong>rs résultent la lumière la plus claire et la science laplus complète que puisse acquérir de lui-même l'esprit humain, la plus sûre connaissance, en un mot, desoi et des autres qui soit à la portée de notre espèce. Et voilà comment l'art peut tendre incessamment àperfectionner l'instrument donné par la nature.Le monde est le livre des femmes: quand elles y lisent mal, c'est leur faute; <strong>ou</strong> quelque passion lesaveugle. Cependant la véritable mère de famille, loin d'être une femme du monde, n'est guère moinsrecluse dans sa maison que la religieuse dans son cloître. Il faudrait donc faire, p<strong>ou</strong>r les jeunes personnesqu'on marie, comme on fait <strong>ou</strong> comme on doit faire p<strong>ou</strong>r celles qu'on met dans des c<strong>ou</strong>vents: leur montrerles plaisirs qu'elles quittent avant de les y laisser renoncer, de peur que la fausse image de ces plaisirsqui leur sont inconnus ne vienne un j<strong>ou</strong>r égarer leurs coeurs et tr<strong>ou</strong>bler le bonheur de leur retraite. EnFrance les filles vivent dans des c<strong>ou</strong>vents, et les femmes c<strong>ou</strong>rent le monde. Chez les anciens, c'était t<strong>ou</strong>tle contraire; les filles avaient, comme je l'ai dit, beauc<strong>ou</strong>p de jeux et de fêtes publiques; les femmes
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