EPI 2017 - HISTOIRE - ANGLAIS - 4A 4C

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Je m‟appelle Chamael et j‟ai 15 ans. Je suis de la tribu Zouga au Nigeria. Aujourd‟hui ma mère va chercher de l‟eau, je veux l‟accompagner mais je dois garder la case. Au bout d‟une demi-heure elle n‟est toujours pas revenue, quand deux personnes sortent de la forêt. Ils prennent une jeune fille par le cou et l‟emporte sur leur cheval, je cours vers les hommes avec une machette…Ils sortent une grosse tige de métal, je continue à courir puis j‟entends un « PAN ! ». Je m‟effondre par terre le pied en sang…Je me réveille sur un cheval, ligoté. Les hommes remarquent que je suis réveillé. On m‟embarque dans une carriole. Et c‟est la que je me rends compte qu‟il y a un troisième homme qui tire la carriole. Nous sortons de la forêt et j‟aperçois pour la première fois de ma vie l„océan. Ma mère m‟en avait parlé quand j‟étais petit…J‟aperçois aussi un petit village. Le convoi s‟arrête puis les hommes à cheval partent en direction du village…Une heure plus tard les deux personnes reviennent avec deux nouveaux prisonniers sur leurs chevaux. Un garçon et une fille sont déposés a coté de moi… Une fille… Qu‟était devenue celle que j‟ai essayé de sauver ? Je mis un coup de pied dans la jambe du garçon, ce qui le réveilla en sursaut. Il me regarda d‟un regard vide puis essaya de se lever mas ses jambes étaient liées. Il me dit : -Que fais tu la ? -Je ne sais pas… C‟est terrifiant. -Des négriers… -Des quoi ?! Je ne connais pas ce mot. -On va être amenés en bateau quelque part puis êtres vendus à des blancs. Négriers… Maintenant ça m‟évoquait quelque chose. On allait êtres vendus ?! Comme de vulgaires objets ?! J‟avais envie de m‟enfuir mais j‟étais attaché… Pendants quelques jours nous avons étés transportés et nourris du stricte minimum, riz, pain, eau …Les négriers discutaient entre eux quand ils remontèrent a cheval et nous sortîmes de la forêt. J‟étais aveuglé pas la lumière puis tout a coup on me souleva… -« Eh ! Lâchez-moi, reposez-moi tout de suite ! S‟emporta Chamael. -Laisse toi faire petit ça va bien se passer ! » J‟aperçus brièvement mon camarade qui partit dans la direction opposée… Qu‟allais t‟il nous arriver ? J‟étais terrorisé...Les deux hommes m‟attachèrent au cou avec une chaine avec d‟autres personnes beaucoup plus vieilles que moi… Nous marchâmes pendant environ une heure pour arriver à un port avec pleins de blancs bien nippés. Je regardais autour de moi quand j‟aperçus 3 grands galions, avec 3 mats pour chaque embarcation…Ou allais-je partir ? Je ne saurais pas avant longtemps… Ca y‟est .Je suis enfin arrivé. Peu de gens ont survécu à ce voyage atroce…La nourriture, la chaleur, et tout le reste… Au fil du temps, je ne ressentais plus le poids de la chaine autour de mon cou… Quand j‟aperçus un groupe un train de parler, j‟écoutais discrètement quand j‟entendis « Amérique ». Maintenant je le sais, je suis en Amérique… Quelques jours plus tard, un homme nous réveille en sursaut…
They woke up me in a start and they got me out of the hold with other blacks then we walked several miles. We reached destination where there were a lot of people and white big cabins in which than examined us. They brought us in a big place and they forced us to climb on a platform. When we heard bells people came in front of the platform with sadistic smiles. Chained five to five, we were exposed to their eyes. A man approached, caught my harm and looked me up and down. They looked me, he decided to buy me with four other black persons, two men and two women. I was very sad and scared because I was separated from my family. At that time, I realized I become a slave. My master looked really nasty. He looks us like animals in cages. This man, we need to call him master, brought us at his home. His domain was immense and his home too but slaves slept in old shelter in wood. We slept on each other, it was very uncomfortable and without intimacy. We don‟t have shoes, don‟t had the right to drink and to eat when we had need. When our master decided it, we ate... After a few days, the master showed us the plantations and the tools. We worked on plantations for whole days. The work was difficult and exhausting. We sleep very little time and we woke up very early. One day, my master sent me to the river for the water for the animals. At the river, one woman in distress with children asks me for crossed the river. She suffered, her children too. I see a small boat… <strong>4A</strong> – Leïlou.M – Juliette.D – Louis.F – Loïc.B
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