Le Chevalier - N°45
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N° 45
12 ème année
Le billet
du Procureur
Le Nouvelliste, seul journal encore lisible
d’Europe Centrale, nous apprend, dans
son édition du 16 mars dernier, et sous
la plume de J.-Y. Gabbud, que dans un
très proche avenir les vignes seront
sulfatées au petit lait et qu’il s’agit là
d’une recette empruntée à nos grandsparents.
En effet, selon des essais effectués,
les résultats de cette nouvelle
méthode de traitement sont des plus
prometteurs car «le lait permet d’utiliser
jusqu’à la moitié moins de cuivre
Le bon vin et la jolie femme
sont deux agréables
poisons qui font tourner la
tête (proverbe turc).
puisque les sucres contenus dans le lait
collent le cuivre, ce qui augmente son
efficacité». Ainsi il est possible de lutter
avec une certaine efficacité contre le
mildiou et l’oïdium grâce à un mélange
de cuivre, de soufre mouillable et de lait
maigre, bien entendu. Actuellement ce
sont 50 hectares de vignes réparties
de Suisse romande qui participent aux
essais de ce traitement révolutionnaire
qui pourrait être suivi par d’autres expérimentations
comme par exemple l’emploi
d’un antibotrytis à base d’algue.
donc, selon ce qui précède, pour être
«bio» non seulement le produit lui-même
doit-il être bio mais aussi le véhicule qui
le transporte. Il s’ensuit que, selon la logique
de ce raisonnement étonnant, les
bananes bio du Brésil ou de Colombie
ne peuvent plus être «bio» puisqu’elles
nous parviennent pas avion (!!!) à moins
que cet avion soit….le Solar Impulse de
Bertrand Piccard.
J’applaudis des deux mains mais je
m’interroge lorsque je lis: «Même si des
produits naturels sont utilisés, il n’est
pas possible de parler de bio en raison
de l’utilisation de l’hélicoptère». Ainsi
Fernand Schalbetter
Procureur de l’Ordre
Du chapitre précédent....
Chapitre de l’Abbaye
de Saint-Maurice
2
Les vins du Chapitre
Humagne Blanche les Seilles, AOC Valais 2014
Cave les Follaterres, Samuel Roduit, Fully
HAUT PATRONAGE
M. Damien Revaz,
Président de la Commune de Saint-Maurice
M. Nicolas Voide
Président du Grand-Conseil du Canton du
Valais
Mgr Jean Scarcella
Père-Abbé de Saint-Maurice
CHEVALIERS
M. Michel Crépin, Troistorrents
M. Jean-François de Preux, Grône
M. Claude Thiery, Salquenen
Fendant l’Orpailleur, AOC Valais 2015
Frédéric Dumoulin, Uvrier
Fendant Leukersonne, AOC Valais 2015
Damian & Jörg Seewer, Susten
Fendant de Martigny, AOC Valais 2015
Alexis Jacquérioz, Martigny
Malvoisie flétrie, AOC Valais 2013
Rouvinez Vins, Sierre
Heïda Maître de Chais, AOC Valais 2014
Provins, Sion
Un Vin de Vigneron, assemblage de raisins rouges,
AOC Valais 2013
Gamay de Fully, Vieilles Vignes, Grand Cru, AOC
Valais 2014
Clos Château Barrique Liquoreuse, AOC Valais
2012
... au chapitre suivant
Chapitre de Zermatt
Chacun d’entre nous connaît plus ou moins
bien la localité de Zermatt soit parce qu’il
y a passé quelques jours de vacances, soit
parce qu’il a vu des centaines de fois des
illustrations du lieu et de son illustre représentant:
le Cervin.
Loin de cette image d’Epinal, il se trouve
sur les hauteurs de Zermatt, une étable
ordinaire, visible de tous. Cette bâtisse,
datant de 1811, est le résultat de circonstances
historiques mondiales. En
effet, cette étable rappelle Napoléon et la
bataille de la Bérézina, située aujourd’hui
sur la frontière avec le Bélarus, d’où son
nom de «Beresinahaus», la maison de la
Bérésina.
Alors que Napoléon Bonaparte prépare
sa campagne de Russie, il recrute, pour
son armée, des soldats de Suisse et du
Valais. Tout village valaisan est alors tenu
de mettre à disposition au moins un soldat.
Dans certaines bourgades, des volontaires
s’engagent, souvent par nécessité.
A Zermatt, aucun volontaire ne répond à
l’appel. Pour ne forcer aucun citoyen à
s’engager dans l’expédition incertaine de
Napoléon ou pour éviter d’en déterminer
un au hasard, les habitants de Zermatt
optent pour une autre méthode: si un soldat
accepte de s’engager volontairement,
il reçoit une étable avec pâturage sur le
«Fad de Turuwang». De cette manière,
les habitants de Zermatt de l’époque sont
sûrs de trouver un volontaire - vu la détresse
économique et la pauvreté - à qui
remettre, à son retour, l’étable promise.
La bâtisse construite, le volontaire part en
guerre. Mais il ne reviendra jamais de Russie
et ne pourra jamais prendre possession
des lieux. Comme près de mille Suisses
ont péri dans la bataille de la Bérézina,
l’étable reste, dans le langage populaire,
la «Beresinahaus».
LE CERVIN: UN MYTHE
Le Cervin a toujours inspiré les alpinistes:
nombre d’entre eux avaient, durant la
première partie du XIXe siècle, tenté de
rejoindre la cime de la montagne, que ce
soit du côté italien ou du côté valaisan. Le
14 juillet 1865, une cordée de sept personnes,
sous la direction d’Edward Wymper,
atteignit le sommet. A la descente, les
quatre premiers de cordée (Croz, Hadow,
Hudson et Douglas) firent une chute mortelle
en amont de l’»Epaule», dans la face
nord. Trois corps furent dégagés quelques
jours plus tard du glacier du Cervin: la
dépouille de Lord Francis Douglas ne fut
jamais retrouvée.
A la suite du décès de Lord Francis Douglas,
la reine britannique, Queen Victoria,
souhaita promulguer une interdiction:
elle déclara ne plus vouloir que du sang
de nobles anglais soit gaspillé au Cervin.
Ses exigences suscitèrent la curiosité et
attirèrent les alpinistes anglais en masse.
Ainsi naquit le développement touristique
de Zermatt.
Le Parc Hôtel
Beau-Site
Cet hôtel 4 étoiles supérieur compte parmi
les tout meilleurs établissements de la station.
Il doit cette distinction à sa situation
qui offre, à cinq minutes du centre de la
bourgade, une vue unique et imprenable
sur Zermatt et sur le Cervin. En outre, et
ceci est particulièrement important pour
les membres de l’Ordre de la Channe, la
qualité de son offre gastronomique est
digne des meilleures tables du Valais.
Vin du Valais: d’où viens-tu?
4
Les Vignes
Communales
et Paroissiales
Voici les vignes de deux institutions très
proches du monde paysan: la communauté villageoise
et la paroisse. Depuis fort longtemps,
la vigne fait partie du «bénéfice» dont le clergé
paroissial vit plus ou moins décemment. De leur
côté, les communautés ont en général attendu
le XVIe siècle pour acquérir des vignes.
Dans les deux cas, la documentation conservée
permet des coups d’oeil assez précis, dont
l’enjeu est double. Comme les vignes paroissiales
et communautaires sont cultivées par les
paysans eux-mêmes, les sources renseignent
sur des pratiques viticoles courantes. D’un
autre côté, les plus aisées de ces institutions
caressent des ambitions commerciales, ce
qui les a sans doute incitées à améliorer leurs
façons de cultiver.
Venthône, riche communauté
viticole
Venthône représente bien les riches villages de
la rive droite du Valais central, entre la Morge
et la Raspille. Témoigne de cette aisance un
magnifique registre de comptes bourgeoisiaux
du XVIIIe siècle, rédigé avec soin dans un latin
fort acceptable. Il permet une observation précise
des liens que cette communauté entretient
avec la vigne et le vin. La période 1702-1760
a été privilégiée.
Le domaine viticole de la Bourgeoisie de Venthône
se trouvait alors à Villa, en particulier aux
Corles, ainsi qu’à Musot, où se situe la «grande
vigne». Ce domaine se constitue en plusieurs
séries d’achats, dans les années 1620-1660
et 1860, dans un vignoble ancien, dont les
bourgeois connaissent les qualités. Ces achats
indiquent une volonté de constituer un domaine
aussi groupé que possible: les vignes achetées
ont souvent pour voisines immédiates d’autres
vignes bourgeoisiales. Dans la même optique,
la Bourgeoisie allège ses charges en achetant,
en 1760, sa part de la dîme due chaque année
au curé de Saint-Maurice-de-Laques. En 1884,
ce domaine viticole consiste en 5845 m2, répartis
dans cinq vignes aux Corles, et 962 m2 à
Anchettes-Allemand.
Travaux et calendrier
Les travaux viticoles sont effectués par les
bourgeois eux-mêmes, dans le cadre de corvées
communales. De ce fait, ils n’apparaissent
dans les comptes qu’à travers la fourniture de
pain, de fromage et de vin.
Ces travaux sont les suivants, dans leur ordre
chronologique annuel. On taille et le même
jour, semble-t-il, des femmes ramassent les
sarments coupés. Une journée est ensuite
consacrée au «travail» des vignes. Il s’agit sans
doute du travail du sol. Des femmes attachent
ensuite la vigne. On mentionne parfois un sarclage,
mais pas le provignage. Il est vraisemblablement
inclus sous les rubriques «taille» ou
«travail du sol».
Les comptes de Venthône donnent parfois les
dates de ces travaux. Sur cette base se des-
5
sinent les éléments de calendrier suivant. Pour
la taille, les treize dates disponibles s’étalent
entre le 6 mars et le 5 avril, mais huit d’entre
elles se placent entre le 12 et le 18 mars. Pour
la «laboratio» (travail) des vignes, les quinze
dates repérées se situent entre le 29 mars et
le 19 avril et dix d’entre elles entre le 3 et le
14 avril. Ainsi dans les dix années où le calcul
est possible, il s’écoule en moyenne 20 jours
entre le «laboratio» et l’attache, il s’écoule
moins d’une semaine dans trois cas et deux
dans le dernier cas. L’unique désherbage daté
s’effectue un 3 juillet.
Corvée des vendanges
Les vendanges se préparent avant tout par la
remise en état des cuves et des tonneaux. A
plusieurs reprises, les comptes font état d’un
jour consacré au recyclage des tonneaux. En
1718, ce travail a lieu le 4 octobre. Parfois, un
spécialiste intervient, comme maître Kieffer, qui
passe deux jours de 1731 à réparer une cuve et
un grand tonneau, pour 30 bat de salaire avec
ses frais. En 1759, la Bourgeoisie achète un
pressoir à l’hoirie de feu Joseph Zufferey, le 5
mars, des hommes ont «transporté ce pressoir
du Glaret jusqu’ici» et reçoivent du pain et du
fromage.
Les vendanges semblent être, comme la taille
et la «laboratio», l’affaire d’une journée de corvée,
manifestée dans les comptes par des frais
de bouche et le salaire de ceux qui transportent
la vendange des vignes vers la cave bourgeoisiale.
La récolte subit deux ou trois pressées. En
1712, on trouve «le jour de pressée du vin»
puis «la pressée du vin pour la seconde fois».
En 1729, on indique deux pressées pour la
vendange de la communauté, mais le pressoir
sert aussi pour traiter le contenu de la cuve du
châtelain Masserey.
Assez pour boire et
pour vendre
Les comptables ne disent rien qui permette
d’identifier les vins produits par la Bourgeoisie
de Venthône. En revanche, on voit assez bien
ce qu’ils deviennent. Comme le rappelle très
clairement le Règlement de la Bourgeoisie, en
1881, on met de côté chaque année 40 setiers
(environ 1400 litres) de vin pour les besoins de
l’institution. Le reste est vendu au mieux par le
Conseil. Par exemple, le vin bourgeoisial clôt les
séances du Conseil, il désaltère ceux qui participent
à la procession faite à Chippis et à celle
de la Fête-Dieu, aux corvées des vignes ou à
l’entretien des chemins; on en boit lors de la
visite des forêts ou de la chambre des poudres
ainsi que pendant l’inalpe des moutons.
Extraits de textes provenant de «Histoire de la
Vigne et du Vin du Valais» publiés avec l’aimable
autorisation de Mme Anne-Dominique
Zufferey, directrice du Musée Valaisan de la
Vigne et du Vin)
Marché du vin
Ce qu’il faut retenir de l’étude 2013
6
Les commentaires et conclusions ci-après sont
tirés d’une étude sur le marché du vin en Suisse
réalisée en 2013 par l’institut M.I.S. Trend sur
mandat de Swiss Wine Promotion auprès de
3002 personnes âgées de 18 à 74 ans représentatives
de la population. Le résultat de ces
consultations a ensuite été comparé à celui des
enquêtes précédentes.
Consommation du vin
-La part de la population buvant du vin reste
parfaitement constante par rapport à 2008
ainsi qu’aux précédentes mesures de 2004 et
1999.
-Le vin se trouve en forte concurrence avec
les autres catégories de boissons alcoolisées
dans la classe d’âge 18-29 ans alors qu’il est
clairement la première boisson alcoolisée chez
les personnes plus âgées. (en % de consommateurs).
-L’âge auquel on commence à consommer du
vin continue à augmenter et se situe désormais
à 25 ans en moyenne.
Profil des consommateurs
et rythme
de consommation
Le rythme auquel on consomme du vin n’a
guère subi de changements depuis 2008. Toutefois,
une légère tendance à la disparition des
buveurs quotidiens semble se dessiner sur le
long terme.
Le Tessin continue à abriter un groupe particulièrement
important de consommateurs quotidiens
(17%).
La fréquence de la consommation hebdomadaire
augmente au fil de l’âge, cumulant à 53%
chez les personnes âgées de 60 ans et plus.
Les quantités
consommées
-Même si la comparaison des données entre
les différentes études surestime certainement
l’ampleur du phénomène, une baisse des
quantités consommées a certainement eu lieu,
ce que confirment les chiffres officiels (Office
fédéral de l’agriculture).
-Les profils de consommation n’ont cependant
pas changé: le niveau des quantités consommées
augmente avec l’âge, les hommes continuent
à se démarquer des femmes.
-Les écarts entre régions linguistiques sont les
mêmes qu’auparavant.
L’autoqualification en
matière de vin
-La notoriété spontanée de la Suisse comme
pays producteur de vins s’est accrue et se
trouve au plus haut depuis 1999.
-La quasi totalité des cantons et régions suisses
sont un peu mieux connus pour leur production
viticole qu’il y a cinq ans.
-Les cépages du Valais sont légèrement mieux
connus qu’en 2008. Les vins phares du canton
restent les mêmes.
-Le canton de Vaud est spontanément connu
avant tout pour ses régions et appellations
(Lavaux, La Côte ensuite).
-Genève est toujours très peu connu dans le
reste de la Suisse.
-L’image du Tessin reste fortement lié au cépage
Merlot.
L’AOC et les grands crus
-Les connaissances du terme «AOC» se consolident
en 2013 après une forte progression
entre 2004 et 2008.
-Contrairement à l’AOC, la notoriété du terme
«Grand cru» a reculé depuis la dernière étude.
-Les attentes au niveau qualité restent stables
pour les deux termes, et par conséquent plus
élevées pour un Grand cru.
7
Habitudes
de consommation
-La consommatin de vin reste fortement associée
au week-end.
-Une érosion de la consommation de vin lors
du repas de midi et en week-end peut être
constatée.
-La distribution de la consommation entre
domiciles et restaurants reste stable depuis 15
ans.
Proportion et consommation
de vins suisses
et étrangers
-La répartition de la consommation entre vins
suisses et étrangers reste stable.
-Depuis 2004, les plus jeunes se sont progressivement
éloignés d’une consommation à très
forte connotation étrangère.
-Le Valais est un des seuls cantons à afficher
une progression, confortant ainsi encore sa
position de leader des vins suisses.
-Parmi les vins étrangers, c’est l’Italie qui occupe
la tête du classement, la France étant en
net recul et distancée également par l’Espagne.
La consommation en
circuit HORECA
-La grande distribution parvient, au fil des
années, depuis la première étude en 1999, à
grignoter des parts du marché.
-Le commerce de vin par Internet s’est légèrement
développé, tout en restant confidentiel par
rapport aux autres canaux de vente.
-Le prix moyen axé lors de l’achat d’une bouteille
de vin pour soi-même est resté stable en
comparaison avec l’étude 2008, celui pour une
bouteille en cadeau a très légèrement reculé.
-En comparaison avec les vins d’Italie, de
France et d’Outre-Mer, les prix des vins suisses
continuent à être perçus défavorablement et ce
jugement a, aussi bien pour le vin rouge que
pour le blanc, même encore gagné un peu en
importance depuis 2008.
-La comparaison défavorable par rapport aux
vins étrangers n’implique pas que les vins
suisses sont inévitablement estimés trop chers.
Image des vins suisses,
des régions
-Même si les consommateurs réguliers de vin
sont assez attachés au paysage viticole suisse,
ils ne peuvent, en partie, pas cacher une
certaine lassitude vis-à-vis de la production
domestique, tout en ne reconnaissant aucun
avantage qualitatif clair ni aux vins suisses, ni
aux vins étrangers.
-En l’absence d’une différence de prix, l’on préfère
plutôt acheter un vin suisse.
Publicité
-Les consommateurs de vin ayant remarqué de
la publicité pour le vin sont plus nombreux que
lors des vagues précédentes de l’étude.
-Parmi les répondants ayant vu de la publicité
pour des vins suisses, celle pour les vins suisses
en général (30%) est la plus remarquée, devant
celle pour le Valais (25%) et, nettement moins
fréquente, celle pour les vins vaudois (13%).
Innovation
Bienvenue aux «Jeunes Chevaliers»
8
Selon Eugène Labiche « La jeunesse n’a
qu’un temps» voilà pourquoi s’appuyant
sur cette citation, les Officiers du Conseil
de l’Ordre de la Channe ont mis sur pied
un concept de recrutement auprès des
jeunes en général.
Cette opération a pour but de permettre
aux jeunes hommes et jeunes filles comptant
26 printemps et moins d’adhérer à la
Confrérie et d’ainsi de leur permettre de
faire plus ample connaissance avec le vin,
avec son histoire et le respect qui lui est
dû.
Ces nouveaux membres, outre le fait
qu’ils porteront le titre et le sautoir jaune
Cette édition du «Chevalier» vous est offerte par:
de «Jeune Chevalier», se verront offrir de
substantiels avantages financiers soit,
d’une manière générale, une réduction
de 50% sur toutes les prestations de la
confrérie comme, par exemple, sur le
montant de la cotisation annuelle qui, pour
les «Jeunes Chevaliers» se montera à 60.-
francs au lieu des 120-- francs habituels.
Autre exemple: une intronisation avec repas
s’élèvera à 150-- francs et non plus
à 300.-- francs. Bien entendu et toujours
pour les «Jeunes Chevaliers», la participation
aux repas des Chapitres de la Confrérie
seront également réduits de 50%.
Dès que le «Jeune Chevalier» entre dans
sa vingt-septième année, il est automatiquement
élevé à la dignité de «Chevalier»
sans devoir se soumettre à une nouvelle
cérémonie d’intronisation mais en perdant
les avantages liés à l’appellation de
«Jeune Chevalier».
Les Officiers du Conseil se réjouissent déjà
d’accueillir les candidats «Jeune Chevalier»
et, tout en les félicitant pour leur décision,
leur souhaitent la plus cordiale des
bienvenues.
Remarque:
Des formulaires d’adhésion sont disponibles
sur le site internet de la Confrérie
(www.ordre-de-la-channe.ch) ou peuvent
être commandés au secrétariat.
Ordre de la Channe > Case postale 1007 > 1951 Sion >
Tél: 027 323 76 02 / 079 569 23 58
info@ordre-de-la-channe.ch
www.ordre-de-la-channe.ch