Sépcial Marathon International Toulouse Métropole 2018

Les témoignages
ORGANISATEURS, BENEVOLES
profiter de Toulouse..."
Olivier Guy, de la fédération :
Oui, je travaille à la fédé maintenant,
je suis ce qu’on appelle Global
Running manager, plus précisément
DTN. Sélectionneur. Pour l’organisation
du marathon de Toulouse, je me
suis occupé des invitations des coureurs
élite et des meneurs d’allure. Ils
étaient quatre sur le semi, sept sur le
marathon.
mée, je me suis inscrite sur le site du
marathon de Toulouse pour y apporter
aussi mon bénévolat et proposer mes
services. Très tôt, après voir monté
les barrières sur le site, je me suis
occupé des différents sas de départ.
Inès Bantroyen, coureuse du 10 km
au départ :
Je suis Belge et je suis venue à
du club, l’ECLA. Entraînée par l’excellent
Benoit Leduc. A 43 ans, je suis
venue pour m’amuser même si j’ai
pu bénéficier d’un dossard préférentiel
qui m’autorise à partir avec les
élites. Je défends les couleurs d’Endurance
Shop, une boutique d’Albi
qui mérité qu’on parle d’elle. Je ne
vais pas partir trop vite, ce sera une
course sans prétention.
ans. Une première, je crois ici…
Cristel Sauter, coureuse du 21 km,
à l’arrivée :
Cela s’est bien passé, c’est une
jolie course. Les gens se réveillent
aux balcons, il y a du monde, c’est
sympa.Belle ambiance, surtout sur
la fin. J’ai trouvé le parcours roulant
même si les lignes droites répétées
Mehdi Baala, gloire de l’athlétisme
français, parrain de l’épreuve :
Il y a déjà plusieurs mois que l’on
m’a proposé d’être le parrain de cette
Xavier Rzeznikiewicz, coureur du
semi au départ :
On m’appelle Xavier RZ. Je viens
de Tours. C’est la première fois à Toulouse.
On sait que c’est l’un des plus
grands marathons. Je suis coureur
régulier, je vaux 2h36 sur l’épreuve.
Mais aujourd’hui, je suis là pour
accompagner Julien, que je coache
depuis longtemps et qui aimerait
faire moins de trois heures…
11ème édition. J’ai dit oui et j’en suis
très heureux. Je suis très impressionné
par la foule. Combien de sports
sont capables de réunir autant de
participants réunis autour d’une
même passion ? Personnellement,
non , je n’ai jamais couru de marathon,
question de motivation….
Laura Chateigner, bénévole :
J’ai d’abord été bénévole sur des
festivals. Cela m’a plu. Aussi, après
Toulouse pour rendre visite à une
amie dentiste. Triathlète,j’en profite
pour courir le 10 km. Sans prétention.
Je sais que je suis fatiguée de ma
saison, que j’ai trop mangé….. Une
course, juste pour le plaisir.
Sadek Bahla, bénévole.
A 44 ans, et après trente ans de
pratique, je ne cours plus. J’ai du
arrêter. Je trottine juste pour m’entretenir.
Donc, je suis venu sur le
marathon comme bénévole aider la
fédé….
Sandra Espié, coureuse du semi au
départ :
Je suis venue d’Albi, je fais partie
Julien Mateos, coureur du semi au
départ :
Je profite de la présence de Xavier
RZ, mon coach, pour essayer de
courir l’épreuve en moins de trois
heures….
Anne Sénéchal, coureuse du 10
km, à l’arrivée :
C’est sûr, la course était sympa.
Je mets 43’. Au départ, çà a pas mal
le long du canal de Brienne sont
longues. Et puis, j’ai eu un problème
avec les ravitaillements. Je pensais
trouver comme prévu un ravitaillement
solide annoncé tous les cinq
kilomètres. Sur les deux premiers, il
n’y avait que de l’eau et du chocolat.
Il a fallu attendre le 15ème kilomètre…
Julien Casoli, vainqueur du marathon
handisport :
Je viens de Vesoul, ce n’est pas la
que le bouche à oreille m’ait infor-
cafouillé. Avec le retard du départ,
c’était long dans le sas et on s’impatientait.
Le parcours n’était pas
très roulant. Après de longues lignes
droites, les deux derniers kilomètres
après la traversée de la rue Bayard ne
font que des zigs et des zags, tout en
angles droits… Sur le marathon, je
salue la participation de notre camarade
de club ACML Joachim Quiero
Gonzales qui y participe à plus de 80
première fois, j’avais déjà gagné ici
deux fois avant aujourd’hui. C’était
cette année une course de folie, sur-