Sépcial Marathon International Toulouse Métropole 2018
Pour tout savoir sur cette 12ème édition du Marathon de la Ville Rose !
Pour tout savoir sur cette 12ème édition du Marathon de la Ville Rose !
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Les témoignages<br />
tout une belle bagarre avec les deux<br />
Russes. Le nouveau parcours est<br />
dangereux pour nous handisports, il<br />
n’est pas vraiment adapté. Les rues<br />
sont étroites, il y a beaucoup de coureurs<br />
à doubler. J’ai failli chuter. J’ai<br />
vu le Russe Vitaliy chuter derrière<br />
moi….<br />
Tura Kumbi Bechere, vainqueur du<br />
marathon :<br />
<strong>Toulouse</strong> is very nice. Tout était<br />
COUREURS, BENEVOLES, ORGANISATEURS...<br />
"Des conditions idéales !"<br />
Oui je sais, Smet…. Je suis Belge<br />
et Johnny Hallyday n’était pas mon<br />
oncle. En plus, mon vrai prénom,<br />
c’est Johnny. C’est la première fois<br />
que je viens à <strong>Toulouse</strong>. J’ai trouvé le<br />
parcours vraiment très beau. J’ai été<br />
encouragé du début à la fin. Malgré<br />
quelques crampes au 37ème kilomètre,<br />
j’ai adoré.<br />
Gaston Nkombo, 1er coureur régional<br />
sur le marathon :<br />
J’ai toujours couru en groupe. A<br />
deux, au moins. D’abord avec Cyril<br />
puis avec Sébastien. Je termine fort,<br />
en negative split. Je pensais pouvoir<br />
faire 2h47, je finis en 2h48. Le parcours<br />
nécessite beaucoup de relances.<br />
Je suis tout surpris d’être si bien<br />
classé et de terminer sur la première<br />
marche des coureurs régionaux.<br />
J’ai 21 ans, c’était mon premier<br />
marathon, une belle expérience. C’est<br />
autre chose qu’un 10 km. C’était dur.<br />
Des virages partout, beaucoup de<br />
petites bosses. Je me suis d’abord<br />
accroché au meneur d’allure sur<br />
un rythme de trois heures. Après le<br />
35ème kilomètre, j’ai craqué. Je me<br />
suis laissé glisser et rattraper par<br />
le ballon des 3h15. Je termine en<br />
3h14.<br />
Jacques Ramadour, coureur du<br />
marathon à l’arrivée :<br />
Je voulais faire moins de trois heures.<br />
J’ai raté le départ. Je discutais<br />
avec un pote, nous avons été inattentifs.<br />
Avec le retard des différents<br />
pour ne pas être gêné par le groupe.<br />
Je ne suis pas parvenu à me caler sur<br />
son allure très régulière. Porté par les<br />
spectateurs, j’ai connu des moments<br />
d’euphorie. Après le 25ème kilomètre,<br />
j’ai payé dans la côte. Je lâche<br />
au 35ème. Je finis en 3h24.<br />
Marie Gorgues, coureuse du marathon<br />
à l’arrivée :<br />
Je m’étais préparée pour faire<br />
moins de quatre heures, je fais 3h55,<br />
avec un arrêt pipi de plus de trois<br />
minutes…. Avant, je n’avais jamais<br />
couru plus de 2h15 d’affilée. Mon<br />
objectif est rempli. Je ne suis pas<br />
partie vite. J’ai bien aimé même si<br />
la fin, en zigzags, est difficile. Je n’ai<br />
jamais ressenti le besoin de marcher.<br />
Je n’ai pas ressenti le prétendu mur<br />
annoncé au 35ème.<br />
parfait. C’était ma première participation<br />
au marathon de <strong>Toulouse</strong> et la<br />
première victoire d’un Ethiopien. Je<br />
rattrape Felix sur la fin du parcours,<br />
il était à bout, je le dépasse, c’est la<br />
course.<br />
Vincent Gatineau, 6ème du marathon<br />
:<br />
Je viens d’Issoire. Après avoir<br />
réussi 2h34 à Paris, je réalise ici un<br />
chrono de 2h35 sur un parcours difficile<br />
avec moins de coureurs autours<br />
de mo pendant l’épreuve. Je me suis<br />
vite retrouvé seul. Je m’attendais à<br />
plus dur, je suis content.<br />
John Smet, 7ème du marathon :<br />
Christophe Barrucq, coureur du<br />
marathon à l’arrivée :<br />
2h50. J’avais terminé en 2h43 en<br />
2015. C’était un autre parcours. J’ai<br />
explosé au 35ème, sûrement pas<br />
manque d’entrainement. Pas de vent<br />
mais beaucoup de relances, de virages.<br />
Cà n’en finit pas de tourner dans<br />
la ville. C’est très beau.<br />
Fabien Viollet, vainqueur espoir du<br />
marathon :<br />
Je suis non licencié, je viens d’Albi.<br />
Il n’y a pas longtemps que je cours, je<br />
n’ai pas beaucoup d’expérience J’ai<br />
commencé il ya deux ans lors d’un<br />
séjour prolongé à Los Angeles C’est<br />
là-bas que j’ai commencé à m’entrainer<br />
J’ai bien vu que je manquais<br />
d’expérience je suis parti trop vite<br />
je me suis accroché mais après le<br />
35ème kilomètre, c’était très dur.<br />
Julien de Mauléon, coureur du<br />
marathon à l’arrivée :<br />
départs, on s’est trompé. Je voulais<br />
suivre le meneur d’allure des trois<br />
heures, j’ai manqué le train. Je suis<br />
parti loin. Je suis parti trop vite, j’ai<br />
d’abord rattrapé 3h30 puis 3h15. Je<br />
le sais, c’est irrémédiable. J’ai payé.<br />
Je finis en 3h09.<br />
Christophe Morvan, meneur d’allure<br />
sur marathon en 3h15 :<br />
Je viens de la Rochelle. Je fais partie<br />
de l’association de meneurs d’allure<br />
qu’a réée Dominique Chauvelier,<br />
Run and Freedom. Je ne connaissais<br />
pas <strong>Toulouse</strong>, cela m’a permis de<br />
découvrir. 3h15, c’est une belle sortie,<br />
fatigante avec un impact bitume<br />
important mais, somme toute, très<br />
agréable. Les trois derniers kilomètres<br />
étaient sans bornages, le 39ème<br />
était mal placé… J’ai du gérer à peu<br />
près. Çà a été.<br />
Fabrice Wastrelain, coureur du<br />
marathon à l’arrivée :<br />
Je suis venu de Saintes en train. Je<br />
précédais juste devant lui Christophe,<br />
meneur d’allure en 3h15. Devant lui<br />
Jean Hugues de Mauléon, coureur<br />
du marathon à l’arrivée :<br />
3h53, c’est sans doute beaucoup<br />
plus que mon fils, Julien qui réussit<br />
3h14. Lui, c’est une machine. J’avais<br />
déjà couru un marathon, il y a huit<br />
ans, en 4h20, je voulais juste passer<br />
sous les quatre heures. J’en ai ch…,<br />
surtout après le 30ème kilomètre. Un<br />
calvaire ! mais je réussis ce que je<br />
voulais.<br />
Josette Desbois, coureuse du<br />
marathon à l’arrivée :<br />
J’attends mon fils Julien. Nous<br />
sommes restés ensemble jusqu’au<br />
27ème kilomètre puis il a lâché.<br />
Nous venons d’Angers. Moi, c’est<br />
mon 30ème marathon, lui son premier.<br />
J’étais déjà venue courir à <strong>Toulouse</strong>,<br />
je sais que le marathon est très<br />
agréable... Il y a bien quelques faux<br />
plats difficiles mais, dans l’ensemble,<br />
comparé à celui d’autres épreuves, le<br />
parcours reste plaisant. Et il y a beaucoup<br />
d’ambiance.