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Y-mail 23 FR - mai 2013

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6 La semaine de la prothèse dr. Amaury Verhamme Le Prix Sam Hassen busch Le docteur Amaury Verhamme a obtenu l’année passée le titre convoité d’ Alumnus du World Institute of Pain. Pour devenir ensuite Fellow of Interventional Pain Practice (FIPP). De tous les candidats qui ont participé à l’examen, il est sorti premier. Cette prestation lui a d’ailleurs valu le décernement du prestigieux prix «Sam Hassenbusch». Le docteur Verhamme est (avec les docteurs Jan Dossche et Gregory Liers) rattaché à la clinique de la douleur et au service d’Anesthésie et de Réanimation de l’hôpital Jan Yperman. > Vu qu’il subsiste encore de très nombreux préjugés à propos des prothèses, aussi bien parmi le grand public et même parmi les professionnels, une semaine d’informations a été organisée par le Dr Boury. < Qu’est-ce qu’une prothèse et à quoi sert-elle? Le service d’Orthopédie-Traumatologie organisera une semaine consacrée aux articulations artificielles. Que vous soyez professionnel ou non, vous êtes tous les bienvenus pour découvrir la chirurgie prothétique. Cette action se fera principalement sous la forme de séances d’informations (vidéochirurgie accompagnée de commentaires en direct). Le docteur Johan Boury (Orthopédie-Traumatologie): «Par le biais du numérique, nous allons ouvrir les portes du quartier opératoire orthopédique. Une compilation d’images sert de support à la présentation des divers types de prothèses et des techniques opératoires. Ces images sont commentées par le médecin qui se trouve dans le quartier opératoire. Une vidéo spéciale est destinée aux médecins généralistes. Toutefois, le personnel infirmier, les kinés et le grand public n’ont pas été oubliés car un programme adapté sera à leur disposition. » Une occasion unique La ‘Semaine de la prothèse’ offre une occasion unique pour découvrir le quartier opératoire orthopédique et les possibilités existantes au sein de l’hôpital. Dr Johan Boury: «Le service d’Orthopédie compte désormais sept médecins. Le complexe opératoire de KBC-Votre Partenaire pour une vie meilleure dix salles a été conçu pour héberger les innovations techniques les plus récentes.» Poser une prothèse demeure un travail de spécialiste, mais avec la ‘Semaine de la prothèse’, l’hôpital Jan Yperman veut informer les médecins généralistes et le public des nombreuses possibilités qui existent actuellement dans ce domaine. Tout cela permettra de vraiment tout savoir par exemple, au sujet de la pose d’un ‘nouveau genou’ ou d’une ‘nouvelle hanche’ Dr Johan Boury: «Le grand public comme les professionnels de la santé ont beaucoup de questions à propos des prothèses. L’opinion publique n’est pas toujours au courant de la technologie prothétique actuelle. Nous voulons nous débarrasser des préjugés et des erronées. L’information et la connaissance sont des éléments essentiels pour apprécier à sa juste valeur la plus-value des possibilités orthopédiques. Tel est notre objectif durant cette semaine.» • Mardi 28 mai 2013, 14h – 17h: vidéochirurgie infirmiers–kinésithérapeutes • Mercredi 29 mai 2013, 14-15h, 15-16h, 16-17h: exemples tirés de la pratique, pour le grand public • Jeudi 30 mai 2013, 14h – 17h: vidéochirurgie infirmiers–kinésithérapeutes • Jeudi 30 mai 2013, 20h: vidéochirurgie pour les médecins Inscriptions via orthopedie@yperman.net www.yperman.net/weekvandeprothese +32 57 35 70 20 Portez-vous mieux. Vous voulez rester en bonne santé. Aussi en tant qu’établissement de soins. En tant qu’entreprise, vous voulez rester maître de l’évolution des affaires. Continuer à planifier. Relever tous les défis. Nuit et jour. Nuit après nuit. Votre remède ? Un véritable partenaire à part entière. Quelqu’un qui vous comprend. Qui vous assiste. Quelqu’un qui partage votre conception des choses. Quelqu’un qui connaît bien les difficultés propres à votre secteur. Quelqu’un de la trempe du Chargé de relations «Social Profit KBC» qui vous garantit le meilleur service, qui vous aide à investir. Dans le matériel. Dans le personnel. Dans les gens qui sont prêts à payer de leur personne. Pour le bien de tous. Pour le bien d’autrui. Afin que tous aient une qualité de vie meilleure. Y compris vous ! www.kbc.be Ymail_23_FRANS_V1.indd 6 8/05/13 16:22

Les enfants et les (Grand)- Parents > Les enfants ne se rendent pas toujours compte de l’état de santé d’un patient. Leur maman, leur papa ou un de leurs grands-parents est hospitalisé à cause d’une maladie qu’on appelle «un cancer». La pédopsychologue Anneleen Impens accompagne les enfants dont un parent ou grand-parent est gravement malade. < Dans le passé, le mot cancer résonnait comme une sentence de mort. Les médecins allaient parfois jusqu’à cacher le diagnostic à leur patient. Actuellement nous avons adopté la politique de la franchise, tant envers le patient qu’envers sa famille. Depuis un certain temps déjà, les patients de l‘hôpital Jan Yperman peuvent compter sur l’appui d’oncopsychologues et de l’infirmière LOTUS (voir ci-contre). La pédopsychologue Anneleen Impens accompagne également les enfants et petits-enfants des patients qui sont gravement malades. «Nous les encourageons par exemple à exprimer leur sentiment de colère, de chagrin ou d’impuissance. Pour les jeunes enfants, nous appliquons un éventail de techniques dont une thérapie créative et ludique > Le laboratoire de la biologie clinique veut réduire au maximum le temps de réponse et, pour ce faire, n’hésite pas, à avoir recours aux technologies qui sont vraiment à la pointe du progrès. < ou encore par le biais de bandes dessinées.» La méthode varie en fonction de l’âge de l’enfant, mais l’objectif reste le même : «Nous voulons tout d’abord informer les enfants concernant la maladie», explique Anneleen Impens. «Nous expliquons les examens et les traitements qui seront administrés. Pour les plus petits, nous disposons par exemple de marionnettes et d’un hôpital playmobil. Il est important pour nous que l’enfant puisse partager ses émotions.» Souvent, les enfants arrivent chez la pédopsychologue sur conseil d’un médecin généraliste, d’un spécialiste, d’une infirmière ou d’une psychologue. Tous les enfants ou petits-enfants de patients atteints d’un cancer ou d’une autre maladie grave (comme la cirrhose du foie) peuvent faire appel à ce service. Toutefois, ceci n’est pas une obligation. «Il est également possible que nous nous rendons au domicile du malade afin de donner des conseils concernant la meilleure manière d’évoquer la maladie en famille.» Les sessions sont organisées sur rendez-vous et en dehors des heures d’école. Info: Anneleen Impens, + 32 57 35 67 21 anneleen.impens@yperman.net Des résultats hyper-rapides Le nouveau gadget (si on veut) du laboratoire de biologie clinique est le WASP (Walk-Away Specimen Processor). «Ce robot se charge de la manipulation des échantillons microbiologiques, si bien que les laborantins ne sont plus tenus à faire ce travail manuel fastidieux», explique microbiologiste Patricia Vandecandelaere. De plus, le robot garantit une plus grande traçabilité et reproductibilité. «Nous pouvons vérifier quel laborantin a travaillé avec quel échantillon et tous les échantillons seront toujours greffés de la même manière.» Par ailleurs, le labo dispose d’un MALDI-TOF, un appareil équipé d’une technologie laser capable d’identifier rapidement les micro-organismes. «Auparavant, il nous fallait 18 heures pour identifier un micro-organisme. Grâce à cette technologie, il ne nous faut généralement que quelques minutes, ce qui permet au médecin de démarrer plus vite le traitement antibiotique adapté.» Autre appareil de pointe est le GENEXPERT. L’hôpital Jan Yperman fut un des pionniers à acquérir cette technologie en Belgique. «Cet appareil n’a besoin que de 2 à 4 heures pour détecter un SARM, une méningite virale, un Clostridium difficile ou la tuberculose. Et bientôt nous pourrons aussi détecter les chlamydias et les gonocoques par PCR», ajoute Patricia Vandecandelaere. Info: +32 57 35 73 20 Katrien Dewancker LOTUS LOTUS est l’abréviation de Long Tumor Support. Cette fonction n’est pas un luxe superflu car bon nombre de patients sont bouleversés quand ils apprennent le diagnostic et ils ne parviennent pas à retenir et à assimiler correctement toutes les informations données. «Cette initiative a son origine à la clinique du sein», explique Katrien Dewancker. «À la demande des pneumologues, ce projet a été élargi aux patients atteints d’un cancer du poumon.» Katrien Dewancker est infirmière LOTUS. Elle accompagne aussi les patients atteints du cancer du poumon et ceci à partir du premier entretien avec le médecin traitant, ainsi que tout au long du trajet de soins. Infirmière LOTUS + 32 57 35 67 35 lotus@yperman.net 7 Ymail_23_FRANS_V1.indd 7 8/05/13 16:23

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