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Y-mail 25 FR - juin 2014

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2 Voyager en toute

2 Voyager en toute sécurité De Halte et Shop2Be Le bistro ‘De Halte’ a un nouvel exploitant… l’hôpital Jan Yperman. Dorénavant les visiteurs sont en mesure de manger à la carte ou prendre le ‘plat du jour’, explique José Depuydt, directeur du département hôtelier. “Dans l’après-midi, on y sert du café et de la pâtisserie et des glaces, tandis qu’en été, on peut y savourer une bière bien fraîche en terrasse.” Le bistro ‘De Halte’ est ouvert en semaine de 9 à 18h, les samedis et dimanches de 14 à 18h. La boutique de la ‘rue des soins’ a un nouvel exploitant et un nouveau nom: ‘Shop2Be’. “Actuellement nous proposons plus de 1.500 articles”, explique le gérant Jan Cottignie. “Petits cadeaux, articles pour bébé, jouets, pralines, fleurs et plantes… Depuis peu, des fruits frais, des pizzas et des sandwiches à emporter sont également disponibles. Nous sommes ouverts en semaine de 8 à 19h, le samedi de 10 à 18h30 et le dimanche de 13 à 18h30. Vous pouvez aussi passer commande en ligne sur notre site www.shop2be.be.” > De plus en plus de voyageurs vers un pays tropical passent actuellement par le service ‘la clinique du voyage’ du centre hospitalierJan Yperman. Ces touristes ont la possibilité de se faire vacciner contre la fièvre jaune. En tant que centre de vaccination agréé, la clinique du voyage propose également tous les autres vaccins. < La clinique du voyage a reçu l’an passé la visite de 1.770 personnes, soit 338 de plus qu’en 2012. «Le nombre de voyageurs qui se font vacciner est en augmentation», explique le dr Wim Terryn, responsable du centre de vaccination. «En 2012 nous étions à 5.240 vaccins, dont plus de 1.000 contre la fièvre jaune. Mais nous disposons également des vaccins peu communs, notamment contre l’encéphalite japonaise ou la rage.» En Flandre occidentale, l’AZ Sint-Jan de Bruges et l’hôpital Jan Yperman sont les seules cliniques du voyage agréées. «Les médecins et les infirmiers prennent amplement le temps d’informer correctement chaque voyageur, afin qu’il soit médicalement Expansion du Gériatrie > Le service Gériatrie (G1) compte actuellement 13 lits appelés ‘G-postop’. Ce service est en outre doté d’un ‘espace time-out’ où les patients agités et confus peuvent retrouver leur calme. Bientôt deux étages supplémentaires seront mis en service. Le service Gériatrie est en pleine expansion. < Notre société devient de plus en plus grisonnante et ce vieillissement n’atteindra son apogée que dans dix ans, prévoit le gériatre Bart Werbrouck. «L’hôpital Jan Yperman s’y prépare déjà. C’est la raison pour laquelle, deux étages supplémentaires seront ajoutés encore cette année» Le ‘G-postop’ (13 lits) est déjà opérationnelle. Dr Werbrouck: «Pour des personnes âgées qui ont subi une intervention chirurgicale, une hospitalisation de courte durée ne suffit en général pas. Dès qu’il s’agit d’un profil de soins gériatriques, ces patients peuvent être pris en charge au ‘G-postop’ par une équipe multidisciplinaire. Outre le diagnostic, nous traitons également les maladies internes sous-jacentes, ainsi que la confusion, la douleur et la malnutrition postopératoires. Ceci nous permet d’entamer le plus vite bien préparé avant d’entamer son voyage.» La clinique du voyage est ouverte chaque mercredi après-midi, de 16h30 à 17h30. «On peut s’y rendre sans prendre rendez-vous afin d’obtenir des conseils médicaux. Nous recevons également et souvent des groupes de personnes», ajoute le dr Terryn. DISEASE AWARENESS La clinique du voyage a réalisé, avec l’Institut de médecine tropicale, une vidéo intitulée ‘Disease Awareness’. «Cette vidéo informe le voyageur de tous les vaccins nécessaires et donne des conseils médicaux pour voyager en toute sécurité», commente le Dr Terryn. Elle sera bientôt diffusée dans toutes les cliniques flamandes du voyage et peut être consultée à l’adresse www.yperman.net/algemeeninwendige (FR > clinique du voyage). Info: Clinique du voyage, 057 35 71 80, reiskliniek@yperman.net Karen Christiaens et dr. Bart Werbrouck possible une rééducation personnalisée. Tout cela a une influence positive sur l’autonomie du patient. Le risque d’une hospitalisation ultérieure ou d’admission en résidence-services s’en trouve diminué.» ISOLEMENT La section Sp Gériatrie est dotée d’un espace appelé ‘time-out’. C’est une chambre d’isolement équipée de parois capitonnées, d’un éclairage doux et de caméras vidéo. «Elle est destinée aux patients momentanément ingérables ou qui sont en proie à une extrême confusion ou à un accès de démence», explique le dr Werbrouck. «Cette formule permet d’éviter de mettre le patient à l’atache ou de le mettre sous sédation.» Info: Secrétariat Médecine interne, 057 35 72 70, secinwendige@yperman.net Ymail_25_FR_V1.indd 2 13/06/14 09:45

Nouvelle perspective du cancer du sein > Dans les cas d’un cancer du sein lié à un carcinome lobulaire, le risque de rechute à long terme est plus élevé que s’il est dû à un carcinome ductal. Le dr Olivier Brouckaert et ses collègues démontrent que cette affirmation doit être nuancée. < Les cancers du sein peuvent être classifiés de plusieurs manières. Une classification est basée sur l’histologie et sur l’endroit où naît le cancer: pour les tumeurs ductales, c’est au niveau des canaux galactophores, tandis que pour les tumeurs lobulaires, l’origine se situe dans la glande mammaire. Seuls 5 à 15% des tumeurs du sein sont lobulaires. On croyait que le risque de rechute est plus important dans ce groupe. Mais cela n’est pas tout à fait exact, d’après l’étude du dr Brouckaert (service de Gynécologie). «Nous avons étudié les données de plus de 34.000 patientes belges et américaines. Nous avons aussi examiné le statut ganglionnaire qui influence considérablement la valeur pronostique de l’histologie. Si le statut ganglionnaire est négatif, le pronostic positif à long terme de la tumeur lobulaire est au moins égale à la tumeur ductale. En cas d’atteinte ganglionnaire, le pronostic pour les 5 premières années reste comparable. Il n’y a qu’à long terme que le risque de rechute est significativement plus élevé pour les tumeurs lobulaires.» Dr. Olivier Brouckaert Les résultats de cette étude ont été récemment publiés dans la revue scientifique ‘The Breast’. Dr Brouckaert: «Contrairement à ce que l’on pensait, le groupe de patientes atteintes d’une tumeur lobulaire ne présente pas un risque plus élevé de rechute. Sauf si le statut ganglionnaire est positif et, dans ce cas, surtout après 5 ans. Ces patientes doivent donc faire l’objet d’un suivi plus long et plus strict et elles devront aussi continuer plus longtemps une thérapie hormonale.» Info: Service de Gynécologie, 057 35 75 60 secgynaeco@yperman.net www.yperman.net/publicaties Autres Publications Dr. Kurt Geldhof (Oncologie) ‘Serial comprehensive geriatric assessment in elderly head and neck cancer patients undergoing curative radiotherapy identifies evolution of multidimensional health problems and is indicative of quality of life’ (European Journal of Cancer Care, janvier 2014) Dr. Geert Page (Gynécologie) ‘Screening for MRSA: and the pregnant population’ (G.H. Page, I. Dehaene et A.S. Page: BMJ, rapid responses, février 2014) Dr. Johan Dehem (Imagerie médicale) ‘MAGNETOM Aera – Combining Throughput and Highest Quality Spine Imaging in an Optimized Clinical Workflow’ (Magnetom Flash, mars 2014) info: www.yperman.net/ publicaties Départ médecins DR. JAN DE CEUSTER DR. PHILIPPE WELVAERT DR. WIM LECOT DR. PIET CASAER Le dr De Ceuster a pris sa retraite en décembre 2013, après une carrière de 27 ans comme anesthésiste/urgentiste. Il a travaillé durant cette longue période aux soins intensifs, aux urgences et au quartier opératoire. «Maintenant que j’en ai le temps, je veux lire beaucoup et approfondir ma connaissance d’internet », explique le dr De Ceuster. «Je vais continuer également à suivre l’actualité médicale. Docteur un jour, docteur toujours…» Au terme de 33 années de service, le dr Welvaert a pris sa retraite le 1er avril. Il a travaillé depuis 1982 comme urologue aux hôpitaux d’Ypres et de Poperinge. Après la fusion, il a fait partie du service de chirurgie et d’urologie de l’hôpital Jan Yperman. «J’ai beaucoup aimé mon travail, mais je tourne la page. Je veux à présent surtout profiter de la vie, développer d’autres projets et découvrir le monde!» Le dr Lecot a travaillé pendant 20 ans dans l’unité de psychiatrie de liaison de l’hôpital Jan Yperman, au départ en parallèle avec sa fonction à l’hôpital psychiatrique H. Hart. «En 2005, j’ai abandonné cette fonction quand j’ai été nommé membre de l’équipe à l’AZ Groeninge. Après 9 ans de navette, j’ai décidé de me concentrer sur mon travail à Courtrai. J’adresse tous les remerciements à Jan Yperman et à tous les collègues.» C’est en 1980 que le dr Casaer fait ses débuts en tant que chirurgien à l’ancien hôpital O.L.V. d’Ypres. Au sein de l’hôpital fusionné Jan Yperman, il a été membre de l’équipe du Groupe Chirurgie et Urologie où il fut coresponsable de la chirurgie vasculaire, pulmonaire et thyroïdienne. Il a pris sa retraite en décembre 2013. «Si j’ai peur de tomber dans un trou noir? Pas vraiment… les occupations ne manquent pas», répond le dr Casaer en riant. 3 Ymail_25_FR_V1.indd 3 13/06/14 09:45

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