CAMPAGNE POUR LA
CAMPAGNE POUR LA VACCINATION Ensemble contre la grippe Le centre hospitalier Jan Yperman s’est associé à 11 autres hôpitaux de Flandre occidentale pour convaincre un maximum de membres du personnel de se faire vacciner contre la grippe. C’est dans ce cadre qu’ils ont sorti « Vaccin voor Anja », une chanson aux accents ouest-flandriens, accompagnée d’un clip vidéo. Jolien Lebleu, infirmière en hygiène hospitalière : « Il n’y a pratiquement pas eu de cas de grippe à l’échelle mondiale l’an passé, en partie à cause des mesures prises contre la COVID-19. Cela veut dire que nous n’avons développé que peu ou pas de résistance naturelle cette année. Le virus de la grippe risque donc d’être à nouveau plus transmissible. Si un grand nombre de membres du personnel hospitalier se font vacciner contre la grippe, nous contribuerons ainsi à éviter de transmettre le virus aux patients et aux autres personnes vulnérables de leur entourage. » Jolien Lebleu, infirmière en hygiène hospitalière 057 35 70 46 ou jolien.lebleu@yperman.net Regardez le clip vidéo au moyen du code QR OFFRES D’EMPLOI Jan Yperman embauche L’hôpital recherche actuellement: • un/une médecin-pharmacien(ne) biologiste clinique • un/une kinésithérapeute • un infirmier/une infirmière en soins généraux • un infirmier/une infirmière gériatrique Consultez toutes les offres d’emploi sur jobs.yperman.net ou via le code QR ÉTUDE SARM chez les mamans Des femmes enceintes et leur bébé ont été testés pour détecter la présence de la bactérie SARM dans le cadre d’une étude menée par le département de gynécologie et le laboratoire de microbiologie. Stijn Jonckheere, microbiologiste : « Des prélèvements ont été effectués entre 35 et 37 semaines de grossesse (mère), à l’accouchement (mère et enfant) et à la sortie de l’hôpital (mère et enfant). Sur les 679 mères testées, environ 3 % se sont révélées positives au SARM. Juste après la naissance, presque tous les enfants étaient négatifs au SARM, mais les bébés de mères positives au SARM ont généralement été colonisés par la même souche de SARM que la mère pendant leur séjour à l’hôpital. Une mère positive au SARM sur trois présentait des complications infectieuses modérées après l’accouchement. Aucune infection n’a en revanche été constatée chez les enfants porteurs de SARM. » Dans le cadre de la prévention du SARM en milieu hospitalier, les femmes enceintes seront dorénavant soumises à un test de dépistage du SARM lors du test oral de tolérance au glucose au laboratoire. « Quand le test est positif, nous suggérons une décolonisation avec une pommade nasale désinfectante et un savon spécial. » Lisez l’étude dans le Journal of Maternal-Fetal & Neonatal Medecine NOUVEAU BÂTIMENT Travaux en cours Les travaux de terrassement de la nouvelle aile de l’hôpital ont commencé à la mi-août. Les pieux des fondations sont déjà en place, les travaux d’excavation ont eu lieu et la cage d’ascenseur a été coulée. Ces travaux ont été suivis en novembre par la chape du rez-de-chaussée. Les étages seront construits dans les mois à venir. Le directeur de gestion Pieter Declerck : « À ce stade, nous sommes dans les temps. Il n’y a plus qu’à espérer que l’hiver et la pénurie de matériaux de construction ne viendront pas nous mettre des bâtons dans les roues. » Consultez le site newbuilding. yperman.net pour toute l’actualité des travaux 6
HÔPITAL DE JOUR ONCOLOGIQUE L’hôpital de jour oncologique a déménagé. Les 24 places sont organisées sur le principe des îlots de soins: elles sont situées dans un espace ouvert qui facilite le contact humain tout en offrant suffisamment d’intimité. Plus de place à l’humain 24 places à l’hôpital de jour oncologique Docteur Kurt Geldhof : « L’hôpital de jour est une ruche. » L ’hôpital oncologique dispose de six chambres de huit places, d’une salle à huit places séparées, d’une salle commune à huit places et d’un salon. Les patients qui souhaitent être seuls peuvent donc avoir toute l’intimité souhaitée. Ceux qui préfèrent discuter en ont la possibilité. Docteur Kurt Geldhof (oncologie-hématologie): « La plupart des patients viennent ici pour un traitement par perfusion. Pourtant, il règne ici une atmosphère sereine. Cela atténue les désagréments du traitement. » Bien que ce nouveau concept ait été conçu principalement pour les patients, les professionnels de la santé y trouvent eux aussi leur compte. Dr Geldhof: « Les chimiothérapies sont envoyées par tube pneumatique et les résultats de labo rentrent aussi plus vite. Le temps que nous gagnons ainsi peut être consacré à un contact plus approfondi avec les patients. Médecins et infirmières ont bien sûr toujours leur rôle à jouer, mais il y a désormais plus de place pour l’humain et le dialogue. Il en va de même pour l’oncodiététicien, le psychologue, l’assistant social et le service pastoral. Cet hôpital de jour est une ruche où le patient est entouré de soignants. » 7
