Zeitschrift für Gletscherkunde und Glazialgeologie, Bd - entsteht die ...
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270 K. Ammann<br />
"Dans ce moment la plupart des glaciers que j'ai observés avancent considérablement, en particulier ceux de l'Oberland bernois. Le<br />
glacier de l'Aar s'est allongé de plus d'un quart d'heure depuis 1811; (8, cette époque, il se terminait, suivant ce que m'a assuré Jacob<br />
Leuthold près de la grotte aux cristaux du Zinkenstock.)....Il est un autre phénomène très curieux dont on ne saurait contester la réalité,<br />
c'est que certains glaciers décroissent, tandis que d'autres augmentent, témoin le glacier supérieur de l'Aar qui diminue, tandis que<br />
le glacier inférieur continue à, s'étendre."<br />
Um 1840 also finden wir den Oberaargletscher auf dem Rückzug, während sich der grössere, trägere Unteraargletscher<br />
noch weiter vorschiebt. Nachforschungen im Nachlass von Agassiz (Archives de l'état, Neuchâtel) ergaben <strong>für</strong> den<br />
Oberaargletscher keine weiteren Hinweise (Katalog des Nachlasses: M. Surdez, 1973)<br />
2f: Schon <strong>für</strong> das Jahr 1841 korrigierte aber Desor (1841) <strong>die</strong>ses Bild eines sich zurückziehenden Gletschers: S. 362<br />
schreibt er, damit z. T. wohl auch Beobachtungen von Agassiz wiedergebend :<br />
„En deux heures, nous atteignîmes l'extrémité du glacier d'Oberaar, nous fûmes étonnés<br />
de voir que le glacier qui, l'année dernière, était resté stationnaire, participait cette année au mouvement progressif qui, depuis quelques<br />
années, est propre à, tous les glaciers de l'Oberland bernois. Il avait considérablement poussé ses moraines en avant, notamment<br />
sa moraine terminale et sa moraine latérale gauche; celle-ci, en empiétant sur le flanc de la vallée, en avait complètement enlevé le<br />
gazon, qui était labouré et retourné comme s'il avait été sillonné par le soc d'une charrue. Le revers de ces moraines fraîchement<br />
refoulées présentait une pente très-forte, en moyenne de 50° et plus. “<br />
Wieder wird en détail das Vordringen des Gletschers in offenbar alte Böden beschrieben, <strong>die</strong> Parallele zu Hugis<br />
Beschreibung (2b) ist leicht zu erkennen. Desor äußert sich sogar etwas präziser: Er hält deutlich fest, daß es <strong>die</strong><br />
Endmoräne ist, <strong>die</strong> noch vom Gletscher weiter vorgeschoben wird. Es kann sich somit nur um einen Maximalvorstoss<br />
des Gletschers handeln, wie er seit mindestens vielen Jahrh<strong>und</strong>erten nicht mehr in solchem Maße stattfand.<br />
2g: Eine rohe Bleistift-Federskizze Arnold Eschers von 1842 dokumentiert ebenfalls einen hohen Gletscherstand (nicht<br />
abgebildet). Die Tatzenform des Zungenendes mit den Radialspalten ist mit wenigen Strichen festgehalten; am linken<br />
Gletscherrand sind jedoch <strong>die</strong> Felssporne 1-5 z. T. nicht eingetragen, damit wird eine genauere Bestimmung der Lage<br />
des Zungenendes unmöglich.<br />
2h: Eine weitere Gesamtansicht des Oberaargletschers publizierte H. Hogard 1850 als Druckbeilage zu dem später<br />
erscheinenden Werk D. A. Dollfus-Ausset <strong>und</strong> H. Hogard (1854) (Abb. 11). Unweit der heute unter Wasser gesetzten<br />
Alphütte (Abb. 12, grosser Pfeil) dürfte sich der Glaziologe <strong>und</strong> Maler Hogard placiert haben, <strong>und</strong> am 15. August 1848<br />
das Original-Aquarell (Standort nicht bekannt) zu entwerfen. Eine Beschreibung <strong>die</strong>ser „Planche V“ findet sich in<br />
Dollfus-Ausset (1854) p. 300:<br />
„L'extrémité du glacier de l'Ober-Aar est entièrement bordée par une moraine frontale, formée de boue glaciaire, de blocs anguleux et<br />
arrondis, de gneiss et de granit. Elle n'offre qu'une seule coupure par laquelle s'écoule la branche principale du torrent de l'Ober-Aar<br />
qui vient se précipiter ensuite dans une étroite crevasse ouverte dans un gneiss schisteux. La moraine frontale repose sur une nappe de<br />
comblement nivelée longitudinalement et transversalement, et dont la régularité n'est interrompue que par les canaux d'écoulement<br />
des eaux sortant du glacier par la coupure ou filtrant au travers des matériaux composant la moraine. Cette nappe est le plan incliné<br />
formé par le glacier et sur lequel il s'est avancé autrefois et repose actuellement; il comble tout le bassin fermé derrière le spectateur<br />
par un des contreforts du Siedelhorn, et n'ayant issue que la crevasse dont il vient d'entre question. Hore du bassin, le glacier de<br />
l'Ober-Aar se réunissait à, celui de 'Unter-Aar, et les traces de son passage dans le vallon qu'il avait à, parcourir sont indiquées par les<br />
polis et les stries des rochers. Enfin, pendant la période de diminution, et avant de se renfermer dans les limites où il se meut aujourd'hui,<br />
il a déposé plusieurs enceintes circulaires que nous voyons sur la gauche, à quelques centaines de mètres de son front actuel et<br />
en face de la hutte de l'Ober-Aar.