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Les gens<br />
Clinique Saint-Joseph Clinique Notre-Dame Hermalle Clinique Saint-Joseph<br />
Retour aux sources<br />
Lino Spapen a débuté sa carrière d’infi rmier<br />
au middle care de Saint-Joseph, où il est<br />
resté quelques années avant de poser sa<br />
candidature pour la fonction d’infi rmier chef<br />
au CD7 à Hermalle, poste qu’il a obtenu en<br />
novembre 2006.<br />
Le voici de retour à Saint-Joseph où il<br />
remplace, depuis le 3 mai, Gemma Jeurissen,<br />
partie à la retraite. Il est ainsi aux commandes<br />
du 2C, unité de 37 lits de chirurgie digestive et<br />
gastroentérologie.<br />
Pourquoi ce retour à Saint-Joseph ? Tout<br />
d’abord, je tiens à dire que, sur le plan humain,<br />
mon départ d’Hermalle pour Saint-Joseph<br />
ne s’est pas fait de gaieté de cœur, explique<br />
Lino Spapen. C’est principalement pour une<br />
meilleure qualité de vie que j’ai opté pour ce<br />
choix. Tout d’abord, j’habite à proximité de<br />
Liège : il y a donc un aspect pratique et de<br />
gain de temps non négligeable. Je suis jeune<br />
papa depuis 3 mois et ce gain de temps est<br />
appréciable. Mais à côté de cela, le projet de<br />
nouvel hôpital liégeois m’intéresse et il m’a<br />
semblé opportun d’y prendre place avant sa<br />
concrétisation, d’autant que le pool chirurgical<br />
y sera important, explique-t-il.<br />
D’autres motifs sont entrés en ligne de compte,<br />
dont un intérêt pour la chirurgie digestive et<br />
la gastroentérologie qui est né au contact<br />
du Dr Jean-Marc Dewandre à Hermalle et<br />
le défi que constitue la reprise de l’équipe<br />
de Gemma Jeurissen. Une équipe qui s’est<br />
montrée accueillante à mon égard, ce qui<br />
m’a permis une bonne intégration, commente<br />
Lino Spapen. Aujourd’hui, mon objectif est<br />
de maintenir l’excellente organisation de ce<br />
service qui tourne très bien, avec une équipe<br />
autonome, conclut-il.<br />
10 L’InfoSites n°73 - Juin 2010<br />
n Marianne Lebrun<br />
Le CD7 a une nouvelle<br />
infi rmière chef<br />
Annick Mortier a débuté son parcours<br />
professionnel d’infi rmière en 1984, au service<br />
de médecine de la clinique Sainte-Elisabeth à<br />
Liège. En 1989, elle prend l’intérim de chef de<br />
salle dans ce même service, suite au départ<br />
de Lydia Mohnen pour la clinique Saint-Joseph<br />
(qui y est encore aujourd’hui, à l’hôpital de jour<br />
médical). A. Mortier occupe ce poste de chef<br />
de salle jusqu’en 1993.<br />
C’est en 1993 qu’Annick Mortier arrive à<br />
Saint-Joseph, en tant qu’infi rmière chef du 4C,<br />
unité alors consacrée à la chirurgie abdominale<br />
et vasculaire. En 2000, tous les services<br />
déménagent, l’activité du 4C est transférée au<br />
2B, avec 40 lits et la gastroentérologie en plus.<br />
En novembre 2009, c’est le retrait des lits de<br />
chirurgie vasculaire pour 16 lits de gériatrie.<br />
Le service compte alors 41 lits et s’appelle<br />
désormais le 2B/2BG.<br />
Le 3 mai 2010 est la date d’un nouvel envol<br />
pour Annick Mortier puisqu’elle a repris les<br />
commandes du CD7 à la clinique Notre-Dame<br />
Hermalle, service de chirurgie-médecine de<br />
33 lits. Son arrivée fait suite au départ de Lino<br />
Spapen pour Saint-Joseph.<br />
J’avais envie d’un changement total, je<br />
ressentais le besoin de changer d’hôpital,<br />
de service, d’équipe. Mon épanouissement<br />
professionnel n’était plus suffi sant. Ce<br />
changement ne peut être que bénéfi que,<br />
explique Annick Mortier. Ici, je prends un nouvel<br />
envol, je ressens une nouvelle motivation.<br />
n Marianne Lebrun<br />
Un « facilitateur » pour<br />
l’équipe<br />
Séverine Lambillotte a enfi lé son tablier<br />
d’infi rmière chef du 2B (chirurgie digestive,<br />
vasculaire et gastroentérologie) le 17 mai.<br />
Elle remplace Annick Mortier, partie au CD7 à<br />
Hermalle.<br />
Elle connaît bien la clinique puisqu’elle y travaille<br />
depuis 1997, de même que le 2B, puisqu’elle<br />
a débuté au 4C, une unité transférée au 2B<br />
par la suite. Depuis octobre 2005, elle était<br />
infi rmière à l’hôpital de jour chirurgical.<br />
Sa carrière a été ponctuée par 3 naissances :<br />
celle de Tom, 7 ans, après laquelle elle a choisi<br />
de passer de temps plein à 4/5 temps ; celle<br />
de Robin, 5 ans, suite à laquelle elle a travaillé<br />
à mi-temps ; et enfi n, celle d’Harry, 2 ans.<br />
Je suis maintenant repassée à temps plein,<br />
malgré 3 enfants encore petits, et cela a été<br />
possible grâce à mon mari qui me soutient.<br />
Les contraintes d’école, … sont prises en<br />
charge par une équipe - mon mari, ma mère,<br />
mon beau-père. C’est rassurant et cela me<br />
permet un investissement professionnel plus<br />
important, explique Séverine Lambillotte.<br />
Elle considère sa fonction d’infi rmière chef<br />
comme un facilitateur pour l’équipe. Mon<br />
objectif est d’aider l’équipe à se concentrer sur<br />
la qualité des soins, en prenant moi-même en<br />
charge la partie administrative, les demandes<br />
d’examens, les incidents, les contacts avec<br />
les familles, les assistantes sociales, … Je<br />
connais déjà bien l’équipe, je vais dans un<br />
premier temps observer comment fonctionne<br />
l’unité.<br />
n Marianne Lebrun