Les restaurations partielles collées sur dents dépulpées Intérêts et ...

Cas clinique des Drs G. Tirlet, J.P. Mallet et J.M. Dersot
Fig 4 - RPC indirecte sur une deuxième molaire maxillaire (inlay composite sur armature métallique)
(a) Situation clinique initiale. Il persiste trois parois dentaires
d'épaisseurs suffisantes
(c) Vue clinique vestibulaire :
la réalisation d'une préparation coronopériphérique
pour une CCM amènerait
une fragilisation, voire la perte totale
de cette paroi dentaire
Conclusion
À l'heure actuelle, de nombreux éléments restent
controversés. Il apparaît clairement dans la littérature,
que c'est la perte de substance dentaire et non la dépulpation
elle-même qui fragilise la dent. Il paraît donc sou-
Information Dentaire n° 36 du 25 octobre 2000
(d) Vue de l'inlay composite
sur infrastructure en or sur le modèle
de travail. La proximité sulculaire
et l'absence d'émail cervical nous ont
fait opter pour cette solution
thérapeutique
(b) Cliché rétroalvéolaire après reprise de traitement endodontique
(mené par J.P. Mallet). La localisation de la perte de substance en
mésial impose la réalisation d’un allongement coronaire (mené par
J.M. Dersot)
(e) Vue clinique après scellement optimisé (CVI modifié
par adjonction de résine) de l'inlay
haitable de privilégier autant que possible une solution
thérapeutique moins invasive et renforçant les structures
dentaires résiduelles. À ce titre, les RPC semblent
représenter une solution digne d'intérêt. Cependant,
compte tenu de l'état actuel des connaissances, il n'est
pas question de généraliser l'application de cette possi-
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