13 Janvier 1909 - Bibliothèque de Toulouse
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De notre correspondant particulier !<br />
Tarbes, 12 janvier.<br />
\JS tuyMAr irnx individu ipU tira sur M.<br />
pabbfi Mounlcou rient d'être ftrrtW dans les<br />
«IIVU.MIS do Ita basions, sur lo territoire du<br />
villa ;m d'Escondcaux, ou il a fallu le rnur-<br />
iuivro \ travers champs,<br />
• Conduit à Bahastens, il a été mis aussitôt<br />
en lir-u stir.<br />
b Assassinat à PlaisancB-âu-Toncli<br />
UN VIEILLARD ÉTRANGLÉ. - LE GARROT<br />
Mercredi 11 <strong>Janvier</strong><br />
Hier malin mardi, M. Cabanac. vieillard <strong>de</strong><br />
il ans. S été trouvé étranglé it son domicile,<br />
n plateance-du-Tonch (Manie Garonne).<br />
i..- renne a été Uéoouvwt hier matin mardi,<br />
{ers ï heures et. <strong>de</strong>mie dit matin, par Mme<br />
jieriiadoito Vernière née cabanac, fille <strong>de</strong> la<br />
«•• •' oie, qui allait lui faire comme do coutume<br />
ta visite journalière.<br />
Le défunt, Antoine Cabanac, âgé <strong>de</strong> 81 an»,<br />
rivait seul dans sa rnaison à l'entrée du vil-<br />
lage <strong>de</strong> Plaisance-du-Touch, la fille habite<br />
avec son mari une autre maison, mais so rem-<br />
uai! fréquemment auprès du vieillard pour<br />
raquer aux soins <strong>de</strong> son ménage, lui porter le<br />
repas «>i >. elUer à oe qu'il ne manquât <strong>de</strong> rien.<br />
Or, hier matin elle l'a trouvé mort, dans sa<br />
fhamhro, le corps jeté ati bas du lit, au mi-<br />
lieu d'un désordre inextricable.<br />
Tout indiquait le crime ; Mme Vernière<br />
«oussa aussitôt <strong>de</strong>s cris do terreur et ameuta<br />
tes voisins<br />
On accourut au secours, et on s'aperçut, en<br />
(enlevant les draps Bill cachaient à moitié<br />
lo Cadavre, que le vieillard avait été étranglé<br />
si l'ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> sa propre cravate <strong>de</strong> nuit nouée<br />
autour du cou et resserrée fortement h l'ai<strong>de</strong><br />
fl'un bâton qu'on avait roulé pour pratiquer<br />
plus sûrement le crime — c'était, en un mot,<br />
repérât ion du narrât.<br />
Le maire <strong>de</strong> Plaisanre-du-Touch, M. Sir-<br />
r n. étant absent, son adjoint. M. Bonnefoy.<br />
fit à sa place les constatations nécessaires et<br />
Informa M. Ba<strong>de</strong>r, juge <strong>de</strong> paix <strong>de</strong> Lèguevin,<br />
uni so transporta sur les lieux ainsi que la.<br />
gendarme rie.<br />
M. le douleur Armaing appelé, ne put que<br />
foirMater le décès, qui remontait à plusieurs<br />
'.icures.<br />
Le juge <strong>de</strong> paix <strong>de</strong> Léguevin avait en même<br />
temps informé le parquet <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong>, où la<br />
nouvelle du crime parvenait vers quatre heu-<br />
res e! <strong>de</strong>mie. il<br />
M. Detriea, procureur <strong>de</strong> la République, M.<br />
Siauliee juge d'instruction, et M. Cbamp-eaux,<br />
«on tOciXiec, se transportaierit aussitôt sur les<br />
lions'. ,<br />
M. le docteur Guilhem, mé<strong>de</strong>cin légiste, pré<br />
venu étalement, se rendit à Plaisance-du-<br />
l'ourh pour les constatations médico-légales,<br />
Quoique Plaisance-du-Touch ne soit dis-<br />
tant <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong> que <strong>de</strong> quatorze kilomètres,<br />
quand nous arrivons sur les lieux du crime,<br />
1! est nuit noire et notre automobile a ren-<br />
contré les routes les plus boueuses <strong>de</strong> la chré<br />
LéJUté.<br />
LA MAISON DU CRIME<br />
La maieon <strong>de</strong> la victime est. située en bor-<br />
dure <strong>de</strong> la grand'route, à l'entrée du village,<br />
it droite<br />
C'est une construction ne comprenant qu'un<br />
rez.-<strong>de</strong>-eliaussée, surmonté don galetas.<br />
La population do Plaisance s'est transpor-<br />
tée elle aussi autour <strong>de</strong> la maison, au milieu<br />
<strong>de</strong> l'émoi ion considérable que suscite dans ce<br />
coin paisible die la banlieue toulousaine le<br />
.crime qui vient d'être commis.<br />
Nous avons dit que Cabanac a été étranglé<br />
flans s i chambre ; c'est, a proprement parler,<br />
lions la cuisine, car il couchait dans la cui<br />
sine, une pièce fort propre, du reste, à gran<strong>de</strong><br />
l'hernie-: - comme on en trouve. à la campagne,<br />
ft dont le manteau -est carrelé <strong>de</strong> mosaïques<br />
«impies bleues et blanches.<br />
Au-i issus <strong>de</strong> la cheminée se trouve une peu<br />
flula. arrêtée à 11 heures et <strong>de</strong>mie.<br />
Est-ce la même aventure que chez les Stei<br />
abeii<br />
Le e i.l-vre est étendu au bas du lit, à <strong>de</strong>mi<br />
vocouvert par les draps et tes couvertures. Le<br />
"Oflps est étendu sur le dos, le bras droit al-<br />
longé et se séparant du corps.<br />
Le visage est tuméfié, et autour du cou, la<br />
jnavate, très fortement nouée, enserre un long<br />
>àton — le bâton qui sert à faire le Lit, et qui<br />
u fait l'office <strong>de</strong> garrot.<br />
Après avoir pratiqué les nœuds et inséré le<br />
Dâtoii, l'assassin n'a eu qu'à donner un tour<br />
le main et le vieillard était étranglé.<br />
D'après les constatations que nous avons, pu<br />
\Yiiro, Cabanac aurait, été étranglé sur son lit;<br />
surpris pendant son sommeil, il n'aurait guère<br />
ju opposer <strong>de</strong> résistance ; il aurait donc trou-<br />
K la mort sur sa couche.<br />
L'assassin ou les assassins l'auraient ensuite<br />
-fié à bas pour défaire le lit ©t le fouiller pour<br />
Voir s'il ne contenait pas d'argent caché.<br />
C? lit dévasté ajoute encore au désordre <strong>de</strong><br />
a pièce, qui a été fouillée en tous sens, et dont<br />
menu <strong>de</strong>s meubles n'a été épargné.<br />
LE VOL EST LE MOBILE DU CRIME<br />
La chambre du crime, en effet, a pour mobî-<br />
tier une table <strong>de</strong> cuisine située entre les <strong>de</strong>ux<br />
icnèlres oui donnent sur la route, une ar-<br />
•noir-e qui est placée entre la fenêtre et la<br />
>orle d'entrée <strong>de</strong> la chambre.<br />
L'armoire a été fouillée <strong>de</strong> fond en com<br />
vie, et tout le contenu, papiers, linge, objets<br />
divers; gît sur le carreau, les briques <strong>de</strong> La<br />
tuisme.<br />
Ufi placard situé au chevet du lit a été<br />
touille également, et la porte «ai est <strong>de</strong>meurée<br />
ouverte. ... .<br />
Le tiroir <strong>de</strong> la faible <strong>de</strong> La cuisine est à<br />
jemi lire ; on aperçoit à l'intérieur les restes<br />
lu repas.<br />
C'est donc pour voter que- les malfaiteurs ont<br />
PKuneversé 'eus les meubles, et c'est, pour<br />
flnieux accomplir Heur voi qu'ils ont assassiné<br />
ie vu i il ara.<br />
D'après l'enquête qu'a pu faine jusqu'ici M.<br />
Bauilme, jupe d'instruction, l'assassin ou les<br />
assassins, auraient emporté <strong>de</strong>s titres au por-<br />
leur, obligations étrangères, pour une valeur<br />
•âo 4 à 5,000 francs environ.<br />
^ Ceci rèeuîte<strong>de</strong>s déclarations faites par Mme<br />
Vernière,. filiedo ta victime, qui savait que ces<br />
•valeurs se trouvaient, dans l'armoire.<br />
Mme Vernière a déclaré, en outre, que <strong>de</strong>ux<br />
tacs, places dans l'armoire, et à l'intérieur<br />
lesquels se trouvaient, dans l'un 57 francs en<br />
«sent, dans l'antre 8G francs, ont disparu<br />
Un porte-monaaée que le vieillard portait<br />
jouteurs sur lui, et dont le contenu ne saurait<br />
rtro évalué, a également disparu et a dû être<br />
volé.<br />
Les titres se trouvaient en partie dans lias<br />
Knnstt «te l'armoire, en partie au-<strong>de</strong>ssus mémo<br />
«u meuble, et au <strong>de</strong>hors, sur lo toit, pour ainsi<br />
dire <strong>de</strong> l'aruioina, enveloppés dans <strong>de</strong>s iour-<br />
MWK.<br />
Cette cachette a été découverte par l'assas-<br />
sin, ce <strong>de</strong>rnier a donc opéré <strong>de</strong>s fouilles sé-<br />
rieuses.<br />
Mans ce n'est pas tout, : une antre pièce a<br />
encore cl/- visitée pur le ou les malfaiteurs<br />
, Lo maison, avons-nous dit, se nom-pose d'un<br />
rra-<strong>de</strong>-chaussée ;il n'y a pas d'étage su<br />
twseur, sauf un galetas.<br />
Un «orridor qui j*» termine par <strong>de</strong>ux portes<br />
i nue. In poiie d entrée', sur la. rue. l'autre la<br />
.porte du jardin, la. divise en <strong>de</strong>ux<br />
.Jt* *X»rto <strong>de</strong> la cuisine, la pièce du crime, se<br />
irome a droite, en «Mitrant. ; elle (e.i-t face ii<br />
Olte Aille» porte, 0 itauelic, „.nj (vt. ,t | V u'une<br />
•;iiani-iu-;. où couchait -parfois la fille <strong>de</strong> la vie-<br />
Mme, inrwiue.Cabanac était mala<strong>de</strong>. Cette<br />
:vi«u«l)e» ou du nioini.rarmoi.rc ct la coiumo-<br />
*Zl '/T ' T V' 1 ' 'i'-Vntbro ont été fouillées <strong>de</strong> fond.<br />
>wt routt an'cnumL<br />
I« eoulrniu <strong>de</strong>s meubles<br />
ro-hte que c'est vers minuit que lo vieillard<br />
.k-s ïaisaici t<br />
nue escorte gouailleuse à o» «venant du paya<br />
oxotiqnto.<br />
Et le cornac, près «lo l'-iin-i-inal, aocttt$â*iné<br />
•d'un ge.'nll«rna;n eu te vile inajesluous.e, olie.i.it<br />
aiiK passants sa marûb-aindi..-,e, heureux -o pla-<br />
cer «l réclame et d'assurer à su maison ses<br />
profits. Un jaune loustic qui n'est pas <strong>de</strong> Mur<br />
pelcle, s'approche, l'entend et l'écoute : puis,<br />
les poings sur les lumches : t Té, morl<strong>de</strong>nix,<br />
t'as donc pas <strong>de</strong> .l'Afrique, puisque tu ne parles<br />
pas moricaiiPi ! » Ahuri d'une telle apostrophe,<br />
«Otre Turc <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong>, tousse, crache, éter-<br />
nue. puis, après divers tours dans la ville,<br />
avec ses <strong>de</strong>ux compagnons, il repart sans lato-<br />
boue pour <strong>Toulouse</strong>, luiront, mais un peu tard,<br />
qu'on aie l'y prendrait plus. Ounnius.<br />
MOMÏESQUI EU-VOLVESTRE . - Clnétnato-<br />
graphe. —- G'esit .''ujounriiui na-eBcrexH, vue floW<br />
avoir lieu la ipeein ici e îepiVîM-iitalkm île l'im-<br />
périal Kinémaiograpli, à s R. i d,u soir, ;! la<br />
.salle Dairat.<br />
Jeudi, représentation en matinée. Le soir,<br />
troisième séance.<br />
PORTET. — Incendie. Dimancbo <strong>de</strong>rnier,<br />
à 8 heures du soir, -un incetulie s'cs,t déelati-é ii<br />
-la métairie <strong>de</strong> Ferrie, près <strong>de</strong> la gare <strong>de</strong> Por-<br />
tât, appartenant à M.- EsqmiroL I^e l'eu a pris<br />
ii une inc-uie <strong>de</strong> paiille.<br />
Malgré la promptitu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s secours el le dé-<br />
voilement <strong>de</strong>s métayers, tout a é.ié entièrement<br />
brûlé.<br />
On s'est borné, avec H'ai<strong>de</strong> «le plusieurs per-<br />
«wniDJe3. ù préserver lo hangar rempli «je four-<br />
rage.<br />
1*3 pertes subies par M. Fjsquirol sont éva-<br />
4uées à 800 fr. environ et sont couvertes ,pai<br />
une assurance.<br />
Los causes du sinistre sont, encoro incon-<br />
nues.<br />
<strong>de</strong>s , onijcoliurcs iialep-'udaate-b «te :»a v-a.kudé » w<br />
lui petvnireitt pas toujours d'atteindre au i.uc-<br />
cès entrevu. Mais Dion aur.-i tenu e-impio ilffi.<br />
bOMn/es iattenetone<strong>de</strong> son ecyytjeur.<br />
Ues abeèQuos atuenl tenu a Pnmiers,<br />
a il Baures du matin. -<br />
Théâtre Saint-Cyprisn<br />
riimancîie. 17 janvier, h a heuras et drmlo très<br />
précises : La Nuit sinistre où l lnondation en («75.<br />
«trame en 5 actes, do MM. E. Boursin et Bresson.<br />
. . (Communiqué).<br />
Tombola<br />
UNION CATALANE R0USStU.0XK.USN<br />
Liste <strong>de</strong>s numéros gafrnauts <strong>de</strong> la tombola :<br />
30 71 72 154 159 105 192 197 1W 537<br />
C«S 271 273 32S 327 330 3M 349 353 I-ffl<br />
f70 371 391 395 401 429 45.2 526 f>58 500<br />
662 57fl 592 C03 075 776 77S «56 930 M3<br />
057 909 970 991.<br />
Pour retirer les lots s'adresser chez M. Girvès,<br />
rua <strong>de</strong>s varaxloux, 51.<br />
y Cour d'assises<br />
Audience du ti janvier<br />
L'audience est ouverte vers 1 bewrc <strong>de</strong> l'a-<br />
«rèamnildl, sous la prési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> M. Lopei'Je-<br />
ticr. conseiHer à la Cour d'aippel <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong>,<br />
Baïuit commo as.vassouirs MM. Pé <strong>de</strong> Arros et<br />
Qrayol i iages au siège,<br />
tiiefnctr. M. Laurent.<br />
Ministère pLiblilc, M. UUMHUfm, substitut du<br />
(ppoc-inre'iw <strong>de</strong> la Béiïutbïi<br />
ntaïucr ta province ecclésiastique «n-<br />
mcnls <strong>de</strong> Terre<br />
Les secours tle9 cailioUques français<br />
it»' ., t » Paris, <strong>13</strong> janvier.<br />
Mgr t areheveque <strong>de</strong> Paris a adressé atr<br />
Souvenain-Pontife un second envoi <strong>de</strong> r.OOWi<br />
irai,,*, provenant <strong>de</strong>s offran<strong>de</strong>s «hu diocèse<br />
SSM» Pt>Ur 1Cs ,tttto * p68 , 1" élago au-<strong>de</strong>ssus <strong>de</strong><br />
l'entresol.<br />
Le Pouvoir occulte contre la France<br />
Le,, francs maçons sont, en l-'rance, Irenli<br />
,, Irenle lin, | nulle : ils sont cepoi:«lant li<br />
maîtres <strong>de</strong> la poBtiqiie, les maîtres <strong>de</strong> Mitai<br />
les r>ouvejai.ii.s lépislalcurs <strong>de</strong> notm pays.<br />
P .111 quoi ?<br />
Celle inlimc miiiorilé est-cite composéo d'in<br />
IcMioviH-es supérieiin s eirnoii!i.s sair la fa-<br />
miitïe <strong>de</strong> l'aeeueô et sur céteatin Maiithebiaiu<br />
lui-matime.<br />
L'audition clos témoi ns étant, terminée, Va»-<br />
dli-aive osit su^peaduo pandaiiit un quart<br />
dheure.<br />
- A la raprise do rauirliienec, l.a parole est<br />
donnée au miojùtère,publie, quà pronanoe un<br />
jpéquisiiloire énergique et modiéiré. 11 <strong>de</strong>marate<br />
une cogaâsflwwatioai easampilaire. sans s'opposer<br />
outefois à radnslifsion <strong>de</strong>s ctocwistatices atté<br />
Bfcaaxtes .<br />
La par oie est donnée au «osanseor d e rat<br />
«usé. Aven son taèant babituel. M" Rcanfwiry<br />
présieaiiie briJInnument la d'éifcnse <strong>de</strong> MoifiK<br />
biati. Il 9Utt point par point l'accusation dons<br />
tous ses chefs, ot, avec «tes argtuneiiits habites,<br />
les détruit.<br />
H termine en <strong>de</strong>mandant l'acquiileraent <strong>de</strong><br />
eon Ouont .<br />
Le préBi<strong>de</strong>iii!, détclare les débats terminés.<br />
Cent question» eont posées au jury, qui se<br />
relire poiur iHUbi'i'M.<br />
Le jury mpiMQRte un verdict négatif ; en con-<br />
ssquieinicè Miaiilihebiau est aoquùttè,<br />
— Aujoiind'hui, mororwti. comparaîtra <strong>de</strong><br />
van! le jurv Pierre Oninquiry, 41 afffî. tour-<br />
neur star métanix a Panviers, incut'i.é d'a.fisas-<br />
BÎnat Dix-neuf témoins.<br />
Ministère public, M. uueasee, procure u-.«- «l-e<br />
an Bôimbiique.<br />
DàfenÉseiitr ,M" Bomaury, du barroa-u do l'a<br />
inters.<br />
Distinctions lioiiorfiiques<br />
De; m*'',d!ai-M'es d'honneur ont été n.rc-rdéos<br />
eux «Rnvriars et eunployés dont, les nome eui-<br />
Tent :<br />
M. Beirny (l.-ouls), owrioT à la Société me<br />
tallnirgi•<br />
, ,„,r, aux or<strong>de</strong><br />
toucha a toutes<br />
uper<br />
elle.<br />
um,<br />
l'E> é<br />
n mars<br />
prasby-<br />
, qu'il a passées par<br />
• Bonan donna libre<br />
m zèle sacerdotal, Il<br />
s. Malbeureuseuie<br />
Le colonel Cciirauri<br />
' — Paris, <strong>13</strong> janvier.<br />
Un cablcgr.amme du gouverneur générai <strong>de</strong><br />
\\\ que occi<strong>de</strong>ntale frauçais-it îxisuuie. tes<br />
opérations du colonel Gourand pendant la se-<br />
con<strong>de</strong> quinz.aii e <strong>de</strong> «Itteeniltre.<br />
' ii eut le 26 décembre, un engagemenl avec<br />
ni-ou'pr- maure ; l'cniieini i*etvlj,l IS i,normes;<br />
.n- ,is rv-nlimes 7 Indigènes ; te clOii-M a opère<br />
!, i onction avec te lamiuia.-.Om.nt IW.MI,,<br />
imi 'avalt-eu lui-même un oii«-a«oroeui et avait<br />
iufli«c aux Maures .tes IMUI CS Mniportentes.<br />
L,i colonel, avec tentes m IIUT"\ se porle,<br />
jr Ailrar. —"~*"*<br />
Ose Allocution ûs Gaiilaums ' II<br />
Berlin, (S janvier.<br />
Plusieurs lownanx, entre autres £«yane<br />
' rva -eur te ttrirtoUmiC ronrodUttMM MM<br />
«roods tniit» rte l'allocution qu'a Prononcée<br />
lin i l'c-mpi nuir. a l'occasp.n du ju nte d,<br />
' opi-,eu,-'l-.,,ucn, fX c-eee - chef du<br />
, ,v k -im mt, <strong>de</strong> grenadiers <strong>de</strong> la g.udc.<br />
Oiielqîu's loiirnaux relèvent particulicre-<br />
*^fmX$F2ufcm peuvent venir - que<br />
Bien lio s en présiervc dans lesquels la<br />
.""trie et votre 'auffuste chef pileraient sur<br />
vous uu ie, -u.'d nte.n d'altwiio. . ...<br />
» Tenez, alors iète à 1 ennemi, U \ i.Mvrç re<br />
levée, comme ie l'.-ittetHls <strong>de</strong> vmie . laites bon-<br />
i-mr à v ATft wtria a vouo uuguile clic!,<br />
Go et Marchés<br />
• MARÇHf B.U HAVRE<br />
Du 12 <strong>Janvier</strong><br />
OatOM. - <strong>Janvier</strong> »10. 00 Se : lévrier. 68 ; 'itan».<br />
. -,, ... ai mal. CV ,W ; 3„ln. iW au ; jitMtot. M 37;<br />
vën.V,.'-' H» 19 . Wtxjrotaro. M tt. 'l'emlanco aatUeuea-<br />
v ' "'^"i-un-ior îttie. U : février. M» 60 : BMM»,<br />
' " i 48 „ .1 S» T5 ; juin, 39 7.1 : ptlOa*<br />
,' „,',•,.;..';« ,i,-ec,„on-. aS sa. Tcdanco ctaaao. Ven-<br />
4es ', '»>-<br />
I,;ut.es. — Bcenos-A ros<br />
vreT.<br />
i',<br />
1<br />
,']-"' pin . 81 n-le e.<br />
<strong>Janvier</strong> 10IO. ira . *».<br />
"„, ,.s ne':, : îcvrtl. 140 69 ; mal, U» 00:<br />
?'$} tiaVuittat we se ; «c 16» so ; sente»<br />
' : „', ; i.» M; «»" im -<br />
!""' a Te , - e- «mteoue. vente». n»a.<br />
- peur, .Ianvier 1010. 17,1 : fM-rlet<br />
.J»*»" n.a,s. 170 : avril. 107 ; BMl. 167 : joui,<br />
'- i lie! uu -. août, 107 : wr-'