un concept logique d'empreintes primaire et secondaire

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Fig. 4 Adaptation délicate d’un porte-empreinte du commerce au niveau
du fond de vestibule en regard d’une dent résiduelle
Fig. 5 et 6 Distension des tissus labiaux dans le plan sagittal consécutive
à l’utilisation des P.E cités
Stratégie prothétique avril 2003 • vol 3, n° 2
Clinique Laboratoire
MÉTHODE
Quand il reste une ou deux
dents antérieures (fig. 1), l’utilisation
de porte-empreintes
(P.E.) du commerce pour édentements
distaux (classe I de
Kennedy) (fig. 2 et 3) ne suffit
pas pour réaliser une empreinte
fidèle des tissus muqueux
en position statique. En général,
le rebord du P.E. refoule le
fond du vestibule par distension
des tissus labiaux et ne
permet pas de déterminer de
façon précise sur le modèle
issu de ces empreintes les
limites du futur porte-empreinte
individuel (fig. 4, 5 et 6). Les
meilleures empreintes primaires
réalisées avec ces P.E.
ont été appréciées et comparées.
En fait, le repositionnement
intra-buccal aléatoire de ce type
de P.E. ne permet pas un
moulage acceptable des tissus
à l’état statique puisque systématiquement
le fond du
vestibule est refoulé par le
rebord du P.E. (fig. 7 et 8). Les
modifications par "bouterollage",
par adjonction ou par
soustraction du bord de ce type
de P.E. ne suffisent pas pour
replacer de manière précise le
P.E. sur les tissus muqueux. Il
est à noter que la modification
des bords de ces P.E. reste très
difficile à réaliser ; la rigidité
très importante de l’alliage de
confection, le peu de taille et
de forme disponibles pour ces
P.E., les moyens de rétention
comme les ressorts périphériques
ne permettent un
ajustage intra-buccal très précis
des bords de ce type de P.E.
Si cette imprécision reste
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