permettront d'étudier j» ïiôpiœa £non, 18 mars. 'On annonce comme certain*» la, nouvelle Wue M. Ché.ron so dispose à. venir visiter tes (troupes <strong>de</strong> notre garnison L'état tanléslne, qui parait s'améliorer dans Sa popntotiCHT, prend, en »ffW, <strong>de</strong>s propor- itions quelque peu alarrnrantaa dans les diver- j.-se» «tsemes. fi y » environ 1W soîetafs itta- l(a«tea. à. l'liû«ital mixte do Sainte-Marthe. .Hier encore, '<strong>de</strong>ux «aSiftite du 7e génie sont, dé- ittédéfr. Cette situation a ému le ministre <strong>de</strong> Ta ;rwerre e* a motivé sa visite. . Maigre cela., ,tos ordres d'appel <strong>de</strong> 1,500 ré- servistes affectés air îfiS» territorial sont 'inainteniies. line vingtaine d'otliciers du ca- dre <strong>de</strong> «t ré-ginient sont déjà au eaaftp do Hftfisilton, à Nîmes, et iutrveilL>:.nt i'i installa- it uni <strong>de</strong>* baraquements sur les Garrigues .pour tes officiers et «entés pour les hommes. Les ta aidants tii Toulon i Panas, 18 mars. • La- général <strong>de</strong> division rie Barroo, dont on connaît L'attitu<strong>de</strong> dans les récents inci<strong>de</strong>nts iqiri se sont produits à îa caserne <strong>de</strong>s colo- ;niawx, est .reîev* dé son eommandomimt et est nommé membre du. comité technique en ; remplacement Ou général naàgert. i , Toulon, 18 mars. Tins imposante manifestation militaire due :u l'initiativft du général Pt-.rraux a eu lieu Mirai' à Toulon et paraît <strong>de</strong>voir faire oublier les inci<strong>de</strong>nts <strong>de</strong> ces jours <strong>de</strong>rniers. Les fantassins et, les marsouins, qui ne s'é- taient pas rencontrés <strong>de</strong>puis quelques temps ,'su.r le terrain <strong>de</strong> mauonivres, se sont trouvés .«réunis. Le général Perraux fit passes- <strong>de</strong>vant te» 'troupes tes drapeaux <strong>de</strong>s. <strong>de</strong>ux ïrégimentB, qui jdéûièrant aux sons <strong>de</strong>s musiques et ïêgaguô- ax-ntenswrte leur casernement. Les élèves du » Borda » licenciés Brast, la mars. Tiouxc nouveaux cas <strong>de</strong> grippe légère s'é- tant produits i bord du vaisseau-école le tarda, le ministre vient, <strong>de</strong> prescrire le licen- [ïteriieëit immédiat, <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux promotions. Tous iles élèves son* renvoyés dans leurs foyer» jusque» après les vacarices' <strong>de</strong> -Pftques. On 'pro- ïitera do leur absence pour désinfecter le \Bori0. u min h PARIS La journée sîe ietidi Paris, lSmars. D'heure en heure te situation s'aggrave ; à .l'iiewre actuelle,, il n'y a, plus <strong>de</strong> coiu-nrunica- Stions télégraphiques. Le «entrai <strong>de</strong> la usa <strong>de</strong> Grenelle est complètement désert ; seuls, les «gnte <strong>de</strong> police et tes gar<strong>de</strong>s municipaux font les cent pas. U n'y a presque pas <strong>de</strong> communications té- léphonteues, les fils ou du moins beaucoup <strong>de</strong> SB étant coupés à l'entrée <strong>de</strong> Par is ou à quel- ques kilomètres. ~ Beaucoup aussi sont mûtes aux rosaces. Quant à la poste, il n'en faut pas parler ; le itïi ft'a lieu nulle part et les sacs <strong>de</strong> corresnon- dauce s'accumulent et t'OT.tnent <strong>de</strong> véritables montagnes. Le service est ininterrompu oe matin d'une manière générale. Au Ceîiéi'ai té!égi"îr^iiqi-t3 An Central, le personnel n'était pas présent pour la- relève ; les employées tommes so sont seaiea rendues, mais Tétlnifes <strong>de</strong> moitié ; elles sont parties aussitôt sans. travaiBer ; on dut coupe» les ccœmunieati-osr-s par: craiiïte d'ac- ci<strong>de</strong>nt.. Paris, 18 mars. Cent trente-six sapeurs du 5* génie en garni- •son à Versatile? sont arrivés hier au soir, à quatre heures, en tenue <strong>de</strong> campagne ; ils ont été immédiatement dirigés au bureau central, Oc <strong>de</strong> Grenelle. Un sergent a fait l'atone!, (<strong>de</strong>s hommes qui eut aussitôt commencé leur sesviee. La subsistance <strong>de</strong> ces militaires sera assurée par le bureau centràl. Les sacs <strong>de</strong> lettres seront envoyés par un chef <strong>de</strong> briga<strong>de</strong> et seront déposés dans les EhefiB-lieax où aura lieu le triage. Paris, 18 mars. Lias soldats du Mont Vaèériau empjivyés au bureau central sont alîés coucher à l'Ecole mi- Viî,a.ire ; le service y est fait en ce moment par quarante employés. Les soldats réquisitiorraïcs ii* sont pas autori- sés à sortir du Central. Les ambulants ïia g»ève <strong>de</strong>s aiaftalaiïts eô* presque géné- rale ; "Se service est à peu près suspendu à la «are Montparnasse et à la., gare <strong>de</strong> Lyon ; les gares sont gardées par la gar<strong>de</strong> républicaine. Il y avait à 2 heures 5 millions <strong>de</strong> lettres, «î 200,009 télégrammes en souffrance. Paris,, 18 mars. Les ambulants ont déclaré la grève générale aux stavw» Montparnasse et, <strong>de</strong> Lyon. A la .care Saint-Lazare, les transports sont faits par un chef d'équi-rve et un gar<strong>de</strong>. Sur.le^ P.-L.-M», le service est complètement 'désorganisé j il est abandonné sur le Sud- Ouest. ... Les sous-agonts Le jçroupe <strong>de</strong>s taotwtrs <strong>de</strong> Paris qui <strong>de</strong>vait premrre son service à (i h. 3 du soir, s'est mis en crève A l'iNRire actuelle, le nombre <strong>de</strong>s facteurs grévistes dépasse 300. Les bureaux ci: quartier Par is, 1!? mwrifc A C h. hier soir, un groupe <strong>de</strong>' postier» grévistes a pénétré dans Je bureau <strong>de</strong> poste ds la place <strong>de</strong> la Bourse m poussant <strong>de</strong>s cris. .. *'es employés, qui jusqu'alors étaient restés .a teuir poste-, ont abandonné le travail et le burean a été fer mé. ' L « bureau <strong>de</strong> poste du boulevard Pasteur est legafement tm& <strong>de</strong>puis (jarat-re toEis. A 7 JË? UV,S ' tiix cammis du bureau <strong>de</strong> l'ave- nue dTKalie ont refusé do prendre leur m/t- vice. m. » . Paci s, î3 -mars. , Depuis î heures hier «oh*, an JwrreaBi <strong>de</strong> Fà- veanuedTfta.ife, dix commis ont refUsé <strong>de</strong>. nrra- •dre fe scrvtoc. Rtunisn tlos grévistes Les grévistes ont tenu hier soir mue «rawlé trciimteri au manège Saint-Paul, au coins '«f.> réunion, l'urrdre da jour sui- vant a été voté : « I.CKS.000 grérlstRs<strong>de</strong>s P. T. T. réunis pro- ïSS**?" * g * >tlda!rtt * 'inanimé dn persôn-ncl K.lnrwi te mom*»an»?«f. do grè\-e • CfiUïmi * Los nriftatk-s rtc rssep va sés avec ceux-ci et sont, kus' Ùrï tS^^' ^anence <strong>de</strong> grève au lieuX 'i^Z Le nombre «es grévistes Ce laaAin. on estime à S.0OO cn\*h*on U nom 3>ro <strong>de</strong>s gr'ivistcs ; l'adaduidnatiiui piM-s^t ( . ' dire que la situation n'est, pas grave «t s'efl'or" jt» d,'en atténuer l'impoitanoe et <strong>de</strong> diTStewrr 04 nombre <strong>de</strong>s grévistes, niais tes chifirt» &out, notoirement inexacts. >: u.V*>iu ics cWKâU ammmiW£» US£ te &ous- L-e présidons du cone&H s'est., dès le début <strong>de</strong> H'entretien, montré très nettement décidé à la •résistera©. M. Barthou a partagé sa manière <strong>de</strong> voir. M. Clemenceau esteras que les employés se sent mis on grève sans aucune raison. Le ser- vice a été désorganisé. On. se voit dans la né- cessité d'expédier <strong>de</strong> Bruxelles les télégram- mes à dsstinaUon <strong>de</strong> Bertin. Sur quinze télé- uwamiiH» offlcic^is adressés à Paris, <strong>de</strong>ux seu- fie.tnent sont parvenus. Parmi lies dépêches en souffrance s'en trouvaient auxqueBes M. Pi chon attactiait la plus haute irapoataace. [ M. Clemenceau s'oppose foiraoâfieimenè à la diecussioir <strong>de</strong> tout projet tant qiio tout ne ecra pas rentré dans. l'o-idas. Neanmotes. le gouver. hement accepte l''interpa.VlatLoii <strong>de</strong> M. Alfred Leroy pour aujomsîïrfa vendredi. On procé<strong>de</strong>ra au ronupl acément d?s agents en grève. •M". Clemenceau n'éprouve aucune inquiétu<strong>de</strong> sur la îormation du personnel. A la séance <strong>de</strong> la Giwan.bre <strong>de</strong> vendredi, ,1e gouvernement siiisira l'oocesion <strong>de</strong> mettre le 'pays en présence <strong>de</strong> la sit uation causée par la grève et ds te rendre juge. a Les employé*, a-t-il dit, veulent. îa bataiM©. Nous l'acceptons. Steis, <strong>de</strong> tor<strong>de</strong> nwmière v nous ne cé<strong>de</strong>rons vras. Je suis certain que le <strong>de</strong>rnier mot restera au gouvemeanent. » M. 8insya»i ne démissionna pas Karis, 18 mars. M. Glomenccau. a fait dtsmentir ce matin le bfiiit qqi c-ouTaf* Mer soir <strong>de</strong> la démission im- aninento <strong>de</strong> M. Simyan Réunion tàu conssll <strong>de</strong>s ministres Parts, 18 mars. Un conseil <strong>de</strong>s ministres a été tenu ce matin, à l'Elysée, sous la, prési<strong>de</strong>nce da M. .Fallières. Le cornpte-reridu officieux porte qu'il a été décidé <strong>de</strong> faire appel à la troupe M. Clemenceau est bien décidé à tenir jus- qu'au bout. Une nouvelle réunion <strong>de</strong>s ministres est an- noncée oet après-midi ; dans ce nouvel emére- ilen<strong>de</strong>s ministre^, M. Barthou serait autorisé à révoquer ca masse les grévistes sans consul- ter te conseil <strong>de</strong> discipline. La question <strong>de</strong> confiance Paris. 18 mars. • C'est <strong>de</strong>main vendredi, on le sait, que doit venir <strong>de</strong>vant la Chambre l'interpellation Leroy sur la grève <strong>de</strong>s postiers et télégraphistes. Le gouvernement, dans le conseil d'aujour- d'hui, a déci<strong>de</strong> <strong>de</strong> poser la question <strong>de</strong> con- fiance. le gouvernement résistera ;. il estime que la grève n'est pas' justifiée et qu'il faut que le personnel gréviste soit brUé. Les sancUoiis Le gouvcinement, en présence, <strong>de</strong> Vcxten- sion du mouvement, gréviste, a décidé <strong>de</strong> sus- pendre tous les employés qui n'occupent pas leur poste eu ce moment. Lo nombre -<strong>de</strong>s suspensions prononcées se- rait do on2.c cents, LES RÉSULTATS OE LA GRÈVE Paris, 1S mars. T.'inrransiyearr? raconte que le bruit court «m'a la îiurfe d'un acte <strong>de</strong> malveillance, les communications téléphoniques sotit interrom- pnes entre les différents ministères, j An journal Officiel Le service <strong>de</strong>s informa- tions politiques est coni-ptetenxint interrompu. La «rêve a eu pour résultat d'ompôcher le 'ministère dés affaires étrangères <strong>de</strong> recevoir les dépêches concernant La crise <strong>de</strong>s Balkans, népercussioc. à la Bourse La, «rêve a provoqué dos perturbations très gesve» à la Bourse ; on sait que la coulisse opère par voie d'arbitrage sur les cours qui lui sont fournis par les places étrangères : Londres, Berlin. Vienne, New-York. Nn recevant pas les conurrtu.nicaticns <strong>de</strong>s cours pratiqués à, l'étranger, les opé.ratioug dites d'arbitraïte se trouvent enîièiemeiit pa- ralysées. <strong>Mars</strong>eille, Jtf mars, voeué le •!;-.:. rroi ; les com- munications entra Pan* et <strong>Mars</strong>eille sont aus- uwidnes. - Le triage <strong>de</strong>s leltoM Devait d'uni? façon iivom- id.M-i' i les correspondances sont distribuées en retard. Jusqu'à f-:-.pt heures un quart, il n'y a pas eu ce comimunicaîîon ; il eetfo heure-là Tes féitë- grammes ont pu étro passés ; 5.0U0 sont resté» ou souffrance. i, Lyon, 18 mars. RM* soir, ît new heures, un meeting m tenait salle Etienuc-Dolet, à Perraiehe-, réunis- sant environ 80» agents ou sons-agents. L'assemblée choisit oonuue ptésfetent 5t. lardât, téléphoniste, qui a refusé lo matin <strong>de</strong> remptacer un gréviste aux KuloiuiLs du bureau <strong>de</strong> ta ru* <strong>de</strong> t,a Barre. On lu: wénna comme assesseurs M3C Gxitnm. «les ouvriers "'•••*• hyiR'ii, et Vidal, «lu- buteiiu la rue Lrolee. M. Ben\-s, l'unique ffiévisle triUe. Les origines du mouvement aciuci, qui fut surtout provoqué par lo ma- qufSawe <strong>de</strong>s feuilles signalétiques. Bas propos outragciants furent prononcés par MM. I.épine. . VVilbur W*ighî- s'élève n ac oiupJU „a vol sptendi<strong>de</strong>. Il vleni à on moment r>a «r Wdwx IH*ti«s du roi. qui «due cr. «niri-ant. Le vol a duré 7 mi unîtes ï sccoutles. . il, Semas Wrtgttt fait nn dcnxfèrno vol. ir < S,ff falKinl cou; prendra j'é»rasea»at •• rt ÎMs iouniaiM vteww.»t» ont été aw«se» r,^ inuflilioatiims «l'iiifoninotions sur l< * s ,-| «tmite *» troupes et fcs '«-!«* J C ^' V*"* ^varatifs «te lucbili,.atiL.n Sun!, lUn 'i- ubl-ics «nais l'is^. a«asra»i» btnnto?» à i» dynamite cl du matériel IKHII- faDrlqui-i' «te> irsmbes. • . „ . — WOUieiel Jiwbhe "a » ECÛI«. omnrant 1* 8 no«m- «> ««raid ,1-a Vaeri-li-* mixte «te ruéefeelae «t (te posi'- ratïk» do B*>«l«w..£. u-a tt>ncours. pour 1 eayilol W tsarmltont «le I» châtra «te pharmacie « ntatusr» asàlte»i. GusaUer (Ka-ltey). Non iflacés : Bol-Enrant, Mosauila. LC-GCTP, Tîicr- dt«k>r, tombé. Mutuel : gagnant fo 50, placés Noëla 7. Vol.ili'o S aa. ? No,? produits sur les hïsmojîrr>»Mes ï.a p»emlérr» vietotea remportée on lWfl par les lir.aî .itts. issus «les élalons- «lu haras <strong>de</strong>- TaÂeH, est revenue à 1«-B»igneur, qui le 3 janvier (ternie?, arriva, pe-.ttùi-e a Pau (iiiiniKnIrorae du Trottiiig- CUnbl. dans le prix «les Violettes (stewple-ettase)-. 1.080 fi., 5 partants. Ds-B.iignour, par TonUle et «Ihartottc-Carday. par PSeagrlno. est né en JOCG.cacz M. nmae^PeftAu. à Mon tirait! a ni . Lo 7 janvier, à Nice, le prix «lu Part feteepteeW* sel, 3,00» tr., J ,pai'Canl,M a été gagné par P;n- ISayArrliaf, né Clua M. !.. Liii-cottiégC'S ,à Cajuiuhou (Ger'à). Football rugby KORTIIAMPTOS U. V. C. CCrHÏKE LES TOm.OT'SAISS II eftt, pare, jadis, .éinéraire <strong>de</strong> faire, jouer ùn mafcii do football a <strong>Toulouse</strong> ou juuui, si l'on veut l'ari c «te la recett* Aufon«t"ïiHf te ehose est possible, ew te Sta<strong>de</strong> 'l'oulousain a rencontré l'cxceSlent tr-'ut's du NufîUampKiu Ru^bv-Kootbo !i-i iiu b bar te terrain dos ivjmts-.luinea.ux, an milieu «l'une assistance qu'on peut évaluer u iro.is îuilio pei-jcniaes. L'est, nu foi, une équipe fort honorable que te aoritaMVten, et cll-o u haffiu pour le prou- ver, i.-r, Todluusaiaii par is points u Ci. Il y avait du mou<strong>de</strong> partout, aux itenta-Ju- meanx, indu» sur tee ariires.On u-ianii, quand on Bouge aux gniippes humaines &uspcni(te»s aux teancbM ot d'où peuvent choir te phis fac.temeirt du mon<strong>de</strong> ces léniéraires ama- teurs du sport-acte, gratuit, On avait retardé l'heure du match, et te coup .l'envoi ne fut srffl.'» qu'à 4 1 ICI ires, pour peniteltre à un pi.« (.TaTul' nombre d- : p. rts- înen d'y asei-stei-. L'éfpi'ipo ttnfflaOe fait son entrée sur le ter- tttln en nwilWd blanc «grié <strong>de</strong> vert ; te Sta<strong>de</strong> TmtlevMnH est «t rmifre. On était curieux «te voir comment ne; .hom- mes ee (fendraient, après leur victoire rte di manche sur tes Lyonnais. Hé bien ! ils n'ont pas l'oit trop mauvaise fteuw et hâtons-noirs do déclarer (pie nos Btadlsifes nous ont paru fort en prog-i-.-s. Ta-rtivi, tes Anglais 'nous ont comte, un «te but l'impression d'éci-aser tes ronges, -telle jntiùt teins attaques étaient impétueuses, leurs charges ranwes et irrésistibles. Ils ont ainsi, dans la première mi-tetruvs, ncu'ipiié qualTO essais, sans qu i! y ail cil moyen do tes arroter. Ah I te joli feu I comme ces quinze rugby- men sopl. <strong>de</strong>s athlètes acconipHs. Les passe» partaient avec célérité et pré- cision et arrivaient. A tout instant SUT les buts adverses. Nos trois quarts ont éta ru<strong>de</strong>- ment à l'ouvra ire pour arrêter lent d/attaquos fil d,tixlètne mi tanpa, tes Ton-ton « sain* s» cwssatei«-u.t ot opposincnt uiui rjsk. &m plus vigoureuse qui rte huvta pae a su ibanger en dttaeao. L(r camp ai^LU» fut souvent onvahi ot noitg istf(*ïiirfu'"n à qutol«;iKO bel tes ottargers rte» tvan». A la *u«o do rima «fclles, 3es Anglais fiv rent <strong>de</strong>bomés et Piuol, irtcujuô, peiniit ,\ nos a.van- s <strong>de</strong> r» • T, i)itr h- n.ijl ; doux d."iitro «uix s«-ii Dut s, malfi ne put nJusuïix A y- dtfjicser te bail. Kn somme, tes «levts: équiiws ont donné hter Siattefactloa au putiie. Les A optais n«w plraisscnt meiKc-UT» «iug les PlH-rlattlens ; ifs cemprengient dans teurs rangs <strong>de</strong>s joueurs <strong>de</strong> Comté et l'on s'en est .iKp-?reu. Tes nvairte, peur n avm> Toulousains, «ont w-v i lée. excelleaits é la to«*«-.e Us plaquent ncmatcua".' ciilas, il ptequar oox-mériii-: Les <strong>de</strong>mis jouant très n'ont rte n «ie «jateati: dre. Mentionnons l'arriére, qui resssmWo ph.ysl- «rtïement é Martin, «le Boiwaauat et qui joue aussi comme lui, avec tes trote-quia#ts. GV'st nn homme sûr, ait Cî>up <strong>de</strong> pted extrêmamenl ipirtesantf itM Tous tes hommes, «Ta reste, on sont Sa- Es, possè<strong>de</strong>nt un coup <strong>de</strong> pied précis et très fort. Les Toulousains, eux ont agréablc-ment sui'- a>ris te p-uWie. La jou est bon, et prometteur d'une beiio rparti« pour Ut îrnuta du Championnat da lénanee. Ce que nous remar
LES INFIRMITES i,E GUÉRISSENT i certains mala<strong>de</strong>s s'éternisent entre les makis méma in- Hi-mité qui guérit cirez un mala<strong>de</strong> résiste- telle, «liez d'autres, ri, tous tes .remè<strong>de</strong>s 'f Le l>Ù d-" font et contro tous, ta ewase d'une di- „'„i oui a ma.nitcsUin.nt violé le cahier ousld tra.nc-mnçonnerle loue un rôle, et un vilain rôle dans la politique, ceci n'a rien <strong>de</strong> mouvo.au ; niais qu'-efife» vienne se mêler au» questions artistiques, voilà qui est <strong>de</strong> trop cl qu'on ne saurait supporter. .„,.,„. la public toulousain tout entier est, S 1 h filt- re actuelle, indigné par ce qui se- passe au Capitole. Echos du Palais i* trilwmal 'avait à rendre son jugement dans te .procès allante aux héros <strong>de</strong> Vatfairo <strong>de</strong> détournement do mineure et <strong>de</strong>scroqueris qui défraya les chroniques du <strong>de</strong>nti-ninn<strong>de</strong>, à l'occasion '<strong>de</strong>s débats nies assises, l'été <strong>de</strong>rnier. ïriol-ig«w-soiil. tes suivants Vol d'outils au iardin «tes Plantes (fiant du 10 au 17 ianvier) V'.l étiez M. ' nuit). Vol obéi Mme Salles, ru» Friv.ac, 87 (nuit lu C an 7 mars), ilol olw M. luflloa, gicler, rue. Saint AU hWS DE Madame venve BERTAL née CA7.AJ. et 1er fami lies pASIË, CREMON et l'AV.YHE prient leurs amis et. connaissances dn leur faiw l'honneur d'assister à la messe ds BequUtr. qui sera oélébréo «anmyli 2*1 mars <strong>19</strong>09, h du heures et <strong>de</strong>mie précises du malin, dan* l'église paroissiale <strong>de</strong> l'JmmaOTrtoc-Gonoep tion, faubourg Bounéfoy, pour lo repos dt l'imc et ne-uvainc <strong>de</strong> Monsieur t'Abbs Henry CAZAL MHU* attrè Oe PUUO***l lllaule-GaronM). Ot. avis tl««dr« tien d'invitation. Ht Foires et Marc lUMicy, rue fier-rgf-r-Ptect (:r.Jtr>n>. JUAUCKÉ DE BdJtDEAtfX Du M mer* lés — On covi : par in» bifos, g-ires 6