PREMIERE

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Notes:
(1) Francois Toussaint: Histoire du Japon. Fayard, Paris, 1969. p. 319.
(2) Sugi Toshio: Cent ans d'etudes francaises au Japon. Publications de la Maison Franco-Japonaise, Presses
Universitaires de France, Paris, 1973.
(3) Tanaka Sadao: Bakumatsu Ishin-ki ni okeru Furansu-gakusha no kenkyu; Etudes sur les hommes verses
dans la connaissance du francais, a l'epoque de la fin du regime shogunal des Tokugawa et au debut de
l'epoque de Meiji. Bulletin de l'Universite Soka (No. 1), Tokyo, 1977.
Cela signifie "Memoires de Bansui". "Bansui" est un nom d'emprunt de Yamamoto. Dans le Japon
d'autrefois c'etait une coutume de changer son prenom. Ce document est la propriete de M. Yamamoto
Haruo, son petit-fils.
Tanaka Sadao: La vie de Yamamoto Matsujiro. Bulletin de l'Universite Soka (No. 3), Tokyo, 1979.
(4) Nous avons recu de M. Yamamoto Haruo les details suivants sur 4 de ces enfants, en plus de Matsujiro.
— Kinu , une fille, mourut 2 ou 3 mois apres sa naissance.
— Seijiro , un garcon (1828-1876), devint fils adoptif de son oncle Takeuchi.
-Sen , une fille (1831-1876), se maria avec un samoural de Nagasaki qui s'appelait Ikebe. Plus tard, elle
divorga a cause d'une grave maladie.
-Kanjiro
, un garcon (1835), mourut a l'age de 3 ans.
(5) Bernard-Thaddee Petitjean (1829-1884), etait membre de la Societe des Missions Etrangeres de Paris. Il
arriva a Nagasaki en aout 1863. C'est lui qui allait etre le temoin emu de la survivance de plusieurs milliers
d'anciens chretiens, echappes aux persecutions.
En janvier 1865, deux mois avant la decouverte des vieux chretiens, it fut sollicite par le gouverneur de
la vale d'accepter -une chaire de professeur de francais a cette ecole, recemment ouverte. Petitjean commenca
ses cours, le 6 janvier de cette annee.
Pour plus amples renseignements, cf. Annexe: Monseigneur Petitjean.
(6) Kisho s'appelait aussi Gijuro. II naquit a Nagasaki en 1839. Il fut d'abord interprete du gouvernement du
Bakufu. Apres la restauration de Meiji, it devint fonctionnaire dans le nouveau gouvernement. Plus tard
enfin, it fut nomme Consul aux Etats-Unis. Il mourut en 1896.
(7) Tanaka Sadao: Essai sur l'etude de la langue francaise vers la fin du regime de Tokugawa. Bulletin de l'Universite
Soka (No. 2), Tokyo, 1978.
(8) Ibid.
(9) Ibid.
(10) Guido Fridolin Verbeck etait un Americain d'origine hollandaise. Il arriva a Nagasaki, en 1859, comme
missionnaire, mais comme it ne put pas exercer son ministere, it devint professeur d'anglais et de francais
dans plusieurs ecoles de Nagasaki.
(11) Leon Dury a beaucoup enseigne le francais au Japon, voila pourquoi nous lui consacrons un court paragraphe
a d, et pour plus de details, cf. Annexe: Leon Dury.
(12) Le titre donne par Yamamoto est en realite different. Le voici: "Le cadre de les themes francais". Or,
comme l'auteur demande a son correcteur des themes de corriger s'il y a lieu et que ce dernier l'a fait, nous
agissons selon la pensee de Yamamoto en adoptant le titre corrige, a savoir: "Collection de themes francais".
(13) Francois Bonne appartenait a la Societe des Missions Etrangeres de Paris. I1 arriva au Japon, le 23 janvier
1880. Apres quelques mois d'etude de la langue japonaise, it fut envoye dans l'ile d'Amakusa. Au debut
de 1882, it fut appele a Nagasaki pour la direction du Seminaire japonais. I1 y resta 29 ans. C'etait ainsi que
Yamamoto le rencontra et entra en relation avec lui. Bonne devint le correcteur de ses themes. Bonne fut
nomme en 1911 Archeveque de Tokyo ou it mourut peu apres, en 1912. Pour plus amples details, voir Annexe:
Monseigneur Bonne.
(14) En lisant ces exercices de Yamamoto, nous avons l'impression que le copiste — qui n'etait pas Francais —
a commis des erreurs de copie en retranscrivant le texte de l'auteur. Car it est impensable que Yamamoto ne
soit pas capable d'ecrire le meme mot de la meme facon d'une ligne a l'autre. Voyez, par exemple: "Cornbien
de jours restrons-nous ... ? "Nous y resterons huit jours."
(15) Francisque Mamas: La Religion de Jesus ressuscitee au Japon. Seminaire des Mission Etrangeres, Paris,
1931. Tome 1, pp. 371-372.
(16) Ibid. Tome 1, p. 519, etc.