20 juillet 1910 - Bibliothèque de Toulouse

MERCREDI 20 JUILLET m0
APÉRITSF TONIQUE
VIN GÉNÉREUX ET QUINQUINA
Mélangé d'eau ordinaire ou d'eau-cîe-selt
il rafraîchit sans débiliter.
Avoines. — Courant, 19 -46; praonain, 19; juillet-
août, 18 15; 4 derniers, 18 90; tendance, came.
Lin. — DisporoWe en cwes à nu, 89 50; courant,
89 50; prochain, 88; juillet-août, 86; 4 derniers, 81;
tendance, ferme.
Colza. — Diîponiijle en cuvée à nu, 60; courant,
6»; prociiain, 60 26; juillet-août, 61 25; 4 derniers,
68 76; tendance, ferme.
Aâcools. — DiSpaniMLe, 61 76; courant, 62; pro-
ciiain, GB 75; juillet-août, 56 25; 4 derniers, 49 50;
3< d'octobre, 47 50; tendance, ferme ; stock, 35 375;
etreullatlon, 550. *_
Sucres — Disponible, 46 875; courant, 46 25; pro-
chain 32 375; Juillet-août, 35 875; 4 d'octobre, 35;
tendance, ferme; roux cuites, 40 50; autres jets,
43 25; raffinés, 76 50.
MARCHE DE XA VHXJÏTTE
, Du 20 juillet.
Veaux. — Amenés, 136; vendus, 136.
Viande nette ; Ire qualité, 2 10; S". 1 90; 3M1 70.
Prix extrêmes : 1 Ste 2 , 20 - „ . ... n „
Poids vif : ire qualité, 1 30; 2", 1 14; 3', 0 97.
Prix extrêmes : 0 82 à 1 36.
Vente facile.
MARCHE DE BORDEAUX
Du 20 juillet.
Blés — 20 25 a. 20 50 l'hecto .pour les blés du ipaye.
Farines. — Fleurs à cylindre, 35 50 à 36 fr.; Cen-
lice 3a à 32 75 les ÎOO kilos.
Sons et repasses. — FaiMles. Sons gros, 15 75; or-
dinaire 14 fr.; Plata, 12 25; repasses fines, 16 fr. ;
oedinaire, 14 Ir. ; Plata, 12 fr. logées. .
Ï$B3S, — Roux Plata, 17 50; logés; Cinquantml,
20 50 en magasin.
Avoines. — Grises Poitou. 19 25 a 19 50; noires,
18' 25; Bretagne grises, 18 50; noires 18 75.
Seigles. — 18 francs.
Orges. _ 16 fr. les 100 kilos.
HAUTE- GARONNE
SaintSulpiccsuT-Lèze.
Foire de juillet. — Bladettes et blés sujpérieurs,
de 20 a. "0 26; blé, bonne qualité, 19 50; biés ordl-
îSires lè fr le tout les 80 kilos; avoine, de 10 a.
«Pfr 'les 60 kilos; haricots, de 26 à 28 lr.; mais, de
14. 50 à 15 50, le tout l'hectolitre.
Marché à la volaille. — Poules, de 5 50 a 6 lr.;
oouHawles, de 4 à 4 50; poulets, de 3 à 5 50; pinta-
des dé 5 à 6 fr.; canards, de 4 à 5 fr.; canetons, de
l 50 à 1 60- oisons, de 2 75 à 4 50; dindonneaux, de 8
à, 12 fr.; oies pour égorger, de 8 à 12 50; pigeons,
de 1 S0 à 2 20; le t-nt la paire; œufs, 0 85 à 6 90
la. douzaine. • ,J-'
Marché aux cochons. — Les porcelets de deux a
trais mois se sont vendus de 15 à 25 fr.; ceux de
quatre à cinq mois, de 28 à 35 fr., le tout la.,,piece.
Boirait aux bestiaux. — Bœufs de travail, de 1,100
à 1,450 fr. ; vaches de 0 70 à 0 75; agneaux, 1 fr.;
porcs de Charcuterie, de 0 S0 i l 10; moutons, i 05;
veaux de boucherie, de 0 90 à 1 tr., le tout le kilo,
pokto vif.
Iffiarehé aux brebis. — les brebis et moutons de
•trouipeau se sont vendus de 28 à 35 fr. et les mou-
tons de reproduction, de 38 a. 44 fr., le tout l'unité.
Comestibies. — Lard, de 1 50 à 1 60; jambon,
2> fr.; saindoux, 1 50; saucisson, 5 lr., le tout le
kilo.
Folrail aux chewaux. — Les chevaux de boucherie,
se sont vendus rie 105 à 250 fr. ; les ânes, de 40 à
s» fr.; le tout l'unité.
A cette foire tous les marchés ont été bien appro-
visionmis; beaucoup de monde. De nombreuses tran-
sactions ont été traitées.
HAUTES PYRENEES
Castelnau-Magnoac.
Marché du 16 juillet. — Voici les cours prati-
qués-:
Elé, 20 fr. ; avoine, U 50; orge, 12 fr. ; fèves, 10 50,
le tout l'hectolitre.
Fautes, 5 fr.; poulets, 4 50; canards, 6 fr. ; pin-
tades, 5 25; pigeons, l 65, le tout la paire.
CKn-Xs, 0 90 la douzaine.
QHS cochons se vendent toujours à de bas prix.
Transactions nombreuses à la place des betes à cor-
ne-^
TARN-ET GARONNE
Molières.
Poire du 16 juillet. — Les cultivateurs étant occu-
pés aux travaux de la moisson, cette foire n'a pas
eu. l'importance habituelle. Voici les cours prati-
qué* :
Halle aux grains. — Blé, de 19 à. 19 50 les 80 kilos;
fèves et maïs, 16 50; seigle, 15 50; orge, 14 50; sor-
gim, 13 lr. ; avoine, 11 fr.; vescets, 25 fr. ; haricots,
39 fr. ; le tout S'heetolltr©; son, 7 25; repasses, 8 50
te 50 kilos
Mii'olié aux bestiaux, très peu garni; porcelets,
de, 15 à. 30 fr. l'un.
Place à la voEaille. — Bien garnie et hausse sen-
siS>!e; pintades, l 40; poulets, 1 20; poules et canards
(H78-; dindons, 0 70, le tout lo demi-kilo; lapins, di
dgS$ àrS fr. l'un; oisons, de 5 à s fr. ; pigeons, de
1 fr. à i 50 la paire ; œufs, 0 95 la douzaine.
Beauimoji.t,
Sfarcttié da 16 juillet. — Cours pratiqués :
Blé. 19 50; aivolne, 10 à 10 50; mate, 16 à 17 fr. ; le
tout l'hectolitre.
Koui-tts, -i a G 50; poules, 5 4 7 fr.; canards, 4 à
5 50; pigeons, 14 15% dindonneaux, 12 à 13 fr., la
tiaire. Œufs. 0 80 lia douzaine.
GERS
Valence-sur-Baïse.
Foire de juillet. — Très peu de monde à notre foi
re, vente à peu près nulle. Voici les cours prati-
qué-.! :
Foi rai* aux bœufs. — Bœufs de travail, de 1,100
à 1,200 fr.; breaux, de 6C0 à SCO fr.; varihes 'e tia-
vai.1, de 6Ô0 à 900 fr. ; génisses, de 3C0 4 500 i
Véauic de quatre à cinq mois, de 350 à tOO fr.
Foiraii des veaux. — Veaux de boucherie, de 7 95
à. l fr. Je kilo, poids vif.
Foiraii des moutons. — Moutons, de 25 à 30 fr
Droois, de 28 4 35 fr.; agneaux, de 18 à 2* fr., le
tout la pièce.
Foiraii des cochons. — Cochons gras, de 47 à 50
fr. les 50 iuios poids vif; cochons de lait, de 15 à
25 fr., le tout la pièce.
.Marché de ia volaille. — Poules grasses, de 5 a
6 fr. ; poulardes, de 4 à 5 tT. ; poulets, de 3 75 à 4 50;
pintades, de 5 a 6 fr. ; dindons, de 12 4 15 fr
pigeons, do 1 50 à 1 75; canards, de 5 à 6 fr. ; le
tout la paire; canetons et oisillons, de 1 4 1 50 la
pièce; lapins domestiques, de 1 50 à 1 75; œufs, 0 75
la douzaine.
Lectoure
Mânetoé de vendredi. — Peu de monde au marché
de vendredi. Cours pratiques :
Poule-, de 5 à 5 50; poulets, de 4 4 4 50; dindon-
neaux, de 9 à 10 fr. ; dindes, de 10 à 12 fr.; canards,
5 à 6 fr. ; pintad«6, 7 fr.; pigeons, 2 fr., le
tout la paire.
Lajsdnô, de 2 à 2 50 pièce.
Œufs, 0 S0 la douzaine.
Blé. 20 fr. ; avoine, de 9 50 4 10 fr.; maïs, 16 fr.
lèves, 12 fr. ; haricots, 18 fr., le tout l'hectolitre.
Plaisance.
Marché du 14 juiliiet. — Notre marché n'a -pas
eu l'taportance (habituelle. Voici les principaux
tours :
\o.aiile. — Poules, de 5 à 6 fr. ; poulets, de 4 à
i 50; dindons, de 114 15 fr.; dindes, de 8 à 12 f r. ;
tahard-s, de -i 50 4 5 fr., le tout la paire; lapins do-
mestiques, de l 60 4 l 75 la pièce;, œufs, o 75 la
douzaine.
Marché aux grains. — 'BQé, de 19 50 à 20 fr. ;
avoine, de 11 50 à 12 fr. ; maïs, de 16 50 à 17 fr.;
pommes de terre vieilles, do 6 à 7 fr. le tout l'hec-
tolitre.
LOT-ET-GARONNE
Vilieneuve-sur-Lot.
Marché du 16 juillet. — Cours pratiqués :
ArtiMhauts, l 4 1 50; chicorée, 0 '50; romaane,
0 60; carottes, 0 50; radis, 0 50; oignons, 1 50, le
tout la douzaine. •
Asperges, 0 60 la -botte; pommes de terre, U tr,,
amandes vertes, 40 fr. ; haricots Ans, 50 fr.; moyens,
30 fr. ; guins, 60 f r. ; albrrcote, 70 fr. ; poires Saint-
Jean, 20 fr.; pêches grosses, 160 fr.; moyennes, 120
Ir. ; le tout les 100 kilos.
Baé, les 80 kilos, 19 50 4 90 fr. ; maïs, tes 75 ki-
los 16 a. 17 fr. ; seigle, les 76 kilos 12 50 à 13 fr.;
avoine, le9 50 kilos, 9 50 à 10 fr.
Nérac.
Mareliê .du 16 juillet. — Cours pratiqués :
tBJé, de 20 a 91 ir. (les cours sont restés les mê-
mes qu'au marché précédent); avoine, 11 50; maïs,
18 fr., le tout l'hectolitre.
Pommes de terre, 4 fr. les 50 kilos.
Œufs, de 0 75 à 0 80 la douzaine.
Taxe officielle du pain : Pain cô, 0 30 ie kilo.
MARCHE AUX FRUITS
Nicole.
Voici le cours du marché du 17 juillet :
Abricots communs : Apports, 4,000 kilos, vendus
de 40 4 48 francs les 50 kilos.
Pêches : apports, 100 kilos ; vendues, de 65 à 68
francs les 50 kilos.
Le tout net suivant grosseur et qualité.
Vente toujours active.
BIBLÏÔGRHP5IE
frappe et qu'on brise, mais bien uno partie de nous-
mêmes et de notre vie.
La seconde partie, .1 l'Ombre du Cœur, évoque
les souivenirs, les joies et les douleurs d'une en-
fance, d'une jeunesse et d'une vie où chacun peut
se retrouver, dans ce que l'âme et le cœur ont de
plus exquis.
Editions de la « Revue Française », 17, rue Cas-
sette, Paris. 3 fr. 50.
1.15
Feuilleton du 20 juillet 1190
0
iLj U I.
FAE
Georfi-es PIIADEL
DEUXIÈME PARTIE
ROMAN D'UNE MINE D'OR
I
— Mes amis sont .peut-être perdus,
stinsi que vous l'aifinnez, mais ce que
j'affirme aussi, de mon côté, c'est que
vous êtes le dernier des misérables... Un
bandit ne méritant pas la corde pour le
pendre... Entendez-vous ?
Othon Moiflay eut un imperceptible
mouvement d'épaules, comme pour dire
qu'il se souciait peu des pires injures,
et qu'elles ne pouvaient rien changer
la situation.
— Allez-vous-en !... Partez vite !
reprenait M. d'Ataieyra d'une voix' où
traniMart une exasipération sans bornes.
— Vous oubliez que nous avons passé
un marché, — fit tranquillement Othon
Mwlay, — et que je vous ai acheté un
lot de juments.
— Jamais, au grand jamais, — alors
qu'il s'agirait de n'imiporte quel béné-
fice.
— Vous oubliez que j'ai votre parole,
Et saluant correctement, oomrme s'il
u« se fût rie» passé entre le duo et lui
Sommaire du, numéro de LA REVUE HEBDOMA-
DAIRE du 16 juillet. Envoi, sur demande, S, rue
Garaocière, Paris, d'un numéro spécimen et du
catalogue des primes de librairie (26 francs de
livres par an).
Partie Littéraire
Gabriel Hanotaux, de l'Académie Française :
Psychologie politique.
André Beaunier : Les Petites Baudoche.
Emile Ripert : nouvelle ; Marseille, porte de
l'Orient (II), lin.
Henry Coc-hio, député : Les Symboles d'Albert
Besnard.
Général Cuny : Souvenirs d'un Cavalier (1870-
1871) (IV), fin.
Paul Arbeliét : La Rome nouvelle (II), fln.
Les ifaits et les idées au jour le jour, Revue des
revues étrangères, la vie mondaine et familiale, la
vie musicale, la vie pratique et médicale, chroni-
ques sportive et financière.
Partie illustrée
En Espagne : S. M. Alphonse XIII discutant avec
le premier ministre, M. Canalcjas, les affaires reli
gieuses d'Eftpagne.
Souvenirs d'un Cavalier : La Commune : la co-
lonne Vendôme après sa chute, le 17 mai 1871; la
Commune : Fusillade de ,1a rue de la Paix, 22 mars
La Commune : La rue de Rivoli, mai 1871; Vue gé
nérale du Palais des Tutoies, après l'incendie,
d'après une photographie.
La Rome Nouvelle : Le château Saint-Ange, le
pont romain et Saint-Pierre, vue ancienne; vue ac-
tuelle du cihâteau Saint-Ange; le monument a Vie
tor-Emmanuel, l'état des travaux; le monument a
Vietor-EïMnaiiue!, tel qu'il sera.
Le Symbolisme d'Albert Besnard : « La Matière
Etude originale d'Aitoert Besnard pour l'une des
, 813 », çilâ peut être lu par tout le monde, est le
gros succès du jour.
En vente partout : 3 fr. 50. — Pierre Lafitte et
Cie, Editeurs.
#**
LES HEURES ELLUSTiRBES, revue des lectures
bi-mensuelie. — Paris, 4, rue Honoré-Chevalier (6'
arrondissemen t .
Sommaire du n" 56 :
Deux romans et une pièce in-extenso, voilà l'orne-
ment du dernier soammaire des Heures.
D'aboHd, l'Expiation, un pathétique récit de la
célèbre romancière Ouida, récemment décédée.
Puis, le Beau Couchant, une très pénétrante étndej
sentimentale de G. Deiiaquizs, qui pourrait porter
en sous-titre, Amours d'Autonine.
Un mystère, qui agra.ve réloignement, corse en-
core l'intérêt de cette œuvre charmante et déliicate.
Enfin, la Conversion d'Ailceste, toujours au .ré-
pertoire de la Coméelle-Française, où Contienne pasr
ticha si heureusement la langue poétique du grand
siècle. La suite si empoignante de Prisonnière Maro-
cains, de Hugues Le Roux. Le Ruban Rouge, chroni'
que de Jules Olarétie. Eergère et Raimoneur, de An-
dersen. Prix de vers latins, de J. Richepin. Légeuda
Hollandaise, par Adam, et des poèmes. signés Bour-
get, Loti, Haraucourt, complètent cette livraison.
BOURSE DE PâfSi
Du 20 juillet (par dépêche télégraphique)
FONDS D'ÉTAT
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Consolidés anglais -WJ
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Autriche 4 % or (10 flor.)
Lots du Congo
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Espagnole exitér
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Hongrois 4 %
Italien 5 %
Italien 5 %
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Portugal 3 %
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OBLIGATIONS
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tte eau hémostatique, d'un gûùt agréable,
arrête promptement les Perte3,
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intestinales, Dyssenieris, etc.
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Banque de France
Banque de France
Baraque Paris
Compta* d'Kscoma>te
Crédit Foncier
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Crédit Lyonnais tme
Société Générale
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Paris-Lyon-Méditerranée cpt
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Ouest-Algérien
Autrichien
LomPiarris
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Nord-Espagne taie
Porsugals
Saragosso cpt
Sa ragessô ' tme
Compagnie Transafflantlque
Messageries maritimes
Mé.tretpolitav.n tmo
Suez (Sanaii marit.) tme
Thomson-lîoaiBton
Société d'électri'Cité de Paris
Rio Ti.r/.o tme
Ctiarm. Setanoiwiee cpt
Charifc Sosr.ow.iee tme
Carmaux
BOURSE DE LONDRES
Conso'.idê ang'lals 82 .1(16 Suez
3 % français 97.. T.. Italien. ....
Baniq. ottomane.. 17 ,3f4. Egypte ....
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Ville do Paris J 865 4 %
_ 1869 3 %
_ 1871 3 %
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_ 1876 i %
_ 1802 2 1/2 %
_ 1801-1890 2 1/2 %
—. 1S94-96 2 1/2 % quart
— 1898 2 % quart
— 1899 2 %
— 1904 2 1/2 %
— 1905 2 3/4 %
Communales 1879
Foncières 1879
Communales 1880
Foncières 1883
— 1885
Communales 1891
— 1892
Foncières 1S95
Communales 1S99
Foncières 1903
Communales 1,906
Bône-Guéîma
Est-Algérien
Est 3 % ancienne
Midi 3 % ancienne
Nord 3 % ancienne
Orléans 3 % ancienne
Ouest 3 % ancienne
Ouest-Aligérien
P.-L.-M. 3 % (fusion ancienne)
Autrichien 3 % V hypothèque
Lombarde ancienne
Nord-Espagne
Portugais ,
Saragosse
Panama lots libères
Suez 3 %
MARCHÉ EN BANQUE
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500 .
403 .. 403 . .
544 .. 545 75
541 .. 545 50
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410 50
449 50
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486 .. 485 25
502 .. 502 ..
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469 .. 473 ..
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502 .. 502 . .
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428 75
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428 50 428 50
425 .. 42(1 ..
427 75 427 50
415 50 415 ..
274 ..
373 50 372
345 .. 342 ..
373 ..
136 . .
595 50 598 !.'
452 ..
330 ..
150 50
452 ..
438 .. 435 '.'
63 ..
49 .. 48 25
30 25 30 ..
135 50 133 50
40 50 39 25
134.. 133 50
GoHûeidS 154 .. 152 50
May , 33 25 33 50
223 50 221 ..
266 .. 266 ..
APRES BOURSE
3 %
De Beers
East Rand—
Haïul Moites.,.
GotldiieUds
97 60
438 ..
134 . .
223 50
154 ..
97 50
435
133 50
221
152 50
CHANGE
Londres
Aâfernasnie
Espagne (court)
Espagne (long)
Buenos-A3-res («r)
25 18 .1)2.
123 . H 16
463 ..(.
468
127 27.1
COURS DES PRIMES
3 % dont 50
3 % dont 10
Baaiq. ottom, d. 5
Rio dont 20
Rio dont 10
1647
.. dont 25
65 Esté*, dont 50...
dont 2 fr. SO....
«Bon* 5......
••••
1631 ..
103
215 lr2
100 3(4
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3 % 1903-1£C6 91 40.
Emprunts des colonies. — CKbllgations, Indo-Chi
ne 3 1/2 % 1889-1905 461.
Empruns do villes (ville de Paris). — AMI„
1805, 4 % 547; 1876, 4 % 544; 1892, quarts 'K ^s
quarts 110 25, 19M, cinquièmes 94 25. • 1SQ 8,
Valeurs françaises. — Banque de France classe .< 231 fr. 276 fr. 306 fr.
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— Mais vous, â'Auriamriee
vez pas d'e-nn eimis ?
— Je ne crois pas. .. Je n'ai jamais domi-
né à personne le droit de me haïr ; urne
seule personne, peuit-ôtre. .. et eroconô !...
Mais non... c'est de l'histoire ancienne...
Et je ne crois pas que la haine à laquelle
je fais allusion vienne jamais se mett>re
>n travers de ma route... En tout cas, je
ne puis m'expliquer la conduite de ce
miséraibile.
— Enfin, — fit le due, — nous sommes
cernés... Il me l'a affirmé du moins.. J IL
nous faut prendre un parti...
— Celui de déjeuner d'abord ; quant
au reste, mou cher ami, le parti pris,
bien pris, ot cette fois de façon irrévo-
cable.
— Lequel ? — demanda M. d'Almeyra,
les mains eraspées, en proie à une
anxiété violente.
— Pas d'enfanti'Mage ! mott cher due...
d'Aireiiripe est entièrement de mon
arvis... Vous pisoisez bien que nous avons
regardé frtquemanent ensemble cette dé^
saigiéablo éventualité... N est-ce pas...-
nous sommes pris, bien pris cette fois....
H n'y a pas à y revenir.
Vous vO'tvdrez nous défendre, refuser
de: nous livrer... armer vos cowboys, qui
ne demanderaient pas mieux, j'en, sws
sûr, paav-ei que ce sont de braves garçons,
et que vous avez réussi à nous faire ai-
mer d'eux... Tout cela serait parfaite-
ment vain... Vous vous perdriez inutile
ment, en .piune porte vous ruineriez tes
énormes intérêts que vous représentez,
tout cela pour rien, absolument pour
rien !... Donc, je vous prie de conclura
vou£;-même.
Tout celai était rigoureusement exact
et présenté avec ce sang-froid placide qui
était l'une des qualités maîtresses du
r^'w^x 1 ^ 1 "3'' cependant, ne pouvaii
meyra, marquis de Persac... à cette ban-
de de Yankees, pour qu'iis vous pen-
dent !
— D'accord !... ils ne nous pendront
pas... C'est moi qui vous l'affirme. Moi !
le marquis Guy d'Auriannes... Ensuite,
ce n'est pas vous qui nous livrerez...
Vous n'y êtes absolument pour rien.
— Mais...
^— Il n'y a pas de mais... Quand noua
allons avoir fini de déjeuner, car ce
quartier d'antilope est tout ce qu'il y a
de plus succulent. .. vous nous donnerez
des chevaux... Un pour Alexis, l'autre
pour moi... Nous avens nos winches-
ters, nos revolvers. Nous vous embrasse-
rons de toute notre âme, vous remerciant
de tout cœur de ce que vu& avez fait
pour nous... Et nous sortirons... Ensuite
à Dieu vat !... comme disent les marins..'
Si on nous tombe dessus... nous nous dé-
fendrons, vous pouvez le croire... nous
tuerons de cette canaille le plus que nous
pourrons, soyez-en sûr. Ensuite... dame,
on ne peut rien savoir. Ce que je puis
vous assurer, c'est que nous ne tombe'-
rons pas vivants dans les mains de ces
gredins... et que s'ils nous pendent... ce
ne sera qu'après notre mort !...
Le duc avait les larmes aux yeux, dés
larmes de rage et à la fois de douleur !...
— Et vous croyez que je vais assister
à cet épouvantable drame les bras croi-
|-sés>, sans vous tendre la main... sans
vous porter secours !...
— Je pense, — répliqua froidement
Guy d'Auriannes, — que vous ne nous
forcerez pas, à cette heure suprême, d'en
arriver à regretter d'avoir eu recours à
votre si notre hospitalité. Je suis certain
qu'Alexis m'a compris, et qu'il devine
très bien le seul moyen qui reste à notre
portée de vous débarrasser sur l'heure de
notre funeste présence.
_ - Parfaitement, -— fit Alexis d'Al- i
reimpe avec un. calme an tous points
semblable à celui do son ami, — dans le
cas où vous ne voudriez pas entendre
raison, mon cher duc, vous nous met-
triez dans la fâcheuse nécessité de nous
faire, sauter la tête devant vous... De
teille façon qu'en arrivant ici, les shérifs
et leur aimable séquelle n'auraient plus
à mettre la main que sur nos cadavres.
— Quels enragés ! — grommela le duc,
• c'est qu'ils le feraient tout comme ils
disent.
— Vous pouvez y compter, — fit Alexis
qui avait très bien -entendu, la phrase du
gentilbcrame bien qu'eue eût été pro-
noncée à voix basse, — donc terminons
vite notre déjeuner, et... en route.
bi c'est pour le grand et dernier voya-
ge, nous le saurons avant peu !... Après-
tout on ne meurt qu'une fois
— Bien ! Aietxis ! — appuya d'Aurian-
nes, — voila la vraie bravoure
nS^iSSZ sée, ool