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Historique du Texte Recu Grec.

Deux sources de textes grecs existent desquelles nous avons le Nouveau Testament en langue française. La première source est le Texte Reçu d’Érasme de Rotterdam (1516, 1519, 1522, 1527, 1535), et la deuxième est le Texte Critique de Westcott et Hort (1881, 1904, 1965). Le Texte Reçu est connu aussi comme le Texte Majoritaire, le Texte Traditionnel, le Texte Authentique, le Texte Pur, le Texte des Réformateurs, le Texte Protestant. Tandis que le Texte Critique est connu comme Le Texte Minoritaire, le Texte Alexandrin, le Texte Néologique, le Texte Pollué, le Texte Catholique. Le Texte Reçu est nommé le Texte Majoritaire, car sa compilation représente la lecture contenue dans la vaste majorité des manuscrits grecs du Nouveau Testament qui sont présentement au-dessus de six mille. Cette majorité se nomme la famille des manuscrits Byzantins. Dernièrement une nouvelle source fut compilée de cette même famille qui se nomme le Texte Byzantin. A cause que cette nouvelle source est utilisée par les érudits pour s’opposer au Texte Reçu, nous n’utiliserons point cette désignation pour décrire le Texte Reçu dans ce document. Il faut préciser que le Texte Reçu n’est pas le Texte Majoritaire, Byzantin ou Traditionnel, mais que son contenu s’accorde avec la majorité des manuscrits, fragments, parchemins, citations des Pères, et Lexiques. Le Texte Byzantin moderne de M.A. Robinson est une nouvelle entreprise pour tenter de discréditer le Texte Reçu.

Deux sources de textes grecs existent desquelles nous avons le Nouveau Testament en langue française. La première source est le Texte Reçu d’Érasme de Rotterdam (1516, 1519, 1522, 1527, 1535), et la deuxième est le Texte Critique de Westcott et Hort (1881, 1904, 1965). Le Texte Reçu est connu aussi comme le Texte Majoritaire, le Texte Traditionnel, le Texte Authentique, le Texte Pur, le Texte des Réformateurs, le Texte Protestant. Tandis que le Texte Critique est connu comme Le Texte Minoritaire, le Texte Alexandrin, le Texte Néologique, le Texte Pollué, le Texte Catholique.



Le Texte Reçu est nommé le Texte Majoritaire, car sa compilation représente la lecture contenue dans la vaste majorité des manuscrits grecs du Nouveau Testament qui sont présentement au-dessus de six mille. Cette majorité se nomme la famille des manuscrits Byzantins. Dernièrement une nouvelle source fut compilée de cette même famille qui se nomme le Texte Byzantin. A cause que cette nouvelle source est utilisée par les érudits pour s’opposer au Texte Reçu, nous n’utiliserons point cette désignation pour décrire le Texte Reçu dans ce document. Il faut préciser que le Texte Reçu n’est pas le Texte Majoritaire, Byzantin ou Traditionnel, mais que son contenu s’accorde avec la majorité des manuscrits, fragments, parchemins, citations des Pères, et Lexiques. Le Texte Byzantin moderne de M.A. Robinson est une nouvelle entreprise pour tenter de discréditer le Texte Reçu.

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L’Esprit de Christ habite dans les lettres qui forment des mots,<br />

dans des mots qui forment des concepts, et dans des concepts<br />

qui forment des doctrines. La Bible est le Temple de Dieu, un<br />

temple construit de mots en lequel habite l’Esprit de sa Sainte-<br />

Présence. Ceux qui refusent de reconnaître l’inspiration d’une<br />

tra<strong>du</strong>ction ou qui disent qu’aucune tra<strong>du</strong>ction est parfaite, n’ont<br />

aucune notion de l’inspiration ni de la perfection ou manquent<br />

d’en comprendre la profondeur de la signification. Selon eux rien<br />

n’est parfait en ce monde et ainsi la Bible même serait imparfaite,<br />

et de cela Christ lui-même serait imparfait. Ils négligent que Dieu<br />

n’est pas limité par les défauts <strong>du</strong> langage humain ni par les<br />

faiblesses d’un tra<strong>du</strong>cteur, et que sa Parole demeure inspirée ou<br />

vivante dans les différentes expressions utilisées pour l’exprimer.<br />

Le mot «perfection» n’implique pas nécessairement un état d’être<br />

d’une pureté et sainteté sublime et inaccessible en ce monde, car<br />

il porte la notion aussi de «ce qui est complet ou intégral»,<br />

comme dit le Dictionnaire Larousse: «de ce qui représente toutes<br />

les caractéristiques propres à sa catégorie, à son espèce». Il ne<br />

faut pas oublier que dans la tra<strong>du</strong>ction il existe toujours deux<br />

facteurs, divin et humain, et qu’un tra<strong>du</strong>cteur est dirigé dans la<br />

sélection des termes appropriés selon son arrière plan<br />

théologique et social, selon le contexte historique, et selon la<br />

flexibilité <strong>du</strong> langage. Ces choses n’enlèvent rien à l’inspiration et<br />

à la perfection des Saintes-Écritures, plutôt elles affirment que la<br />

Parole de Dieu est vivante et qu’elle s’adapte au langage humain<br />

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