Pour finir, sont votés les montants <strong>de</strong>s agréments d’épreuves calculés en fonction du montant <strong>de</strong> la grille <strong>de</strong> prix <strong>de</strong> celles-ci, <strong>de</strong>s tarifs d’inscriptions aux épreuves plafonnées, pour éviter la démesure <strong>de</strong> certains organisateurs, ainsi que les tarifs <strong>de</strong>s licences 1995. En fin d’assemblée générale, Monique SPIRE et Philippe FATTORI (sur le collège Haut Niveau en remplacement d’Anne-Marie ROUCHON) sont élus au Comité Directeur.
2 - La Mise en Place <strong>de</strong>s Grands Projets E n février 1994, Bernard PAGES lance l’opération Tri Jeune. Elle a <strong>de</strong>ux aspects. L’un est qualitatif en distinguant, par un label, les clubs possédant un accueil spécifique <strong>de</strong> la population jeune : le label Club Formateur. Les critères d’obtention <strong>de</strong> ce label ne sont pas excessifs. Le strict minimum est <strong>de</strong>mandé : quelques jeunes et une séance <strong>de</strong> natation encadrée. Si les moyens <strong>de</strong> contrôle sont prévus, ils sont totalement inapplicables sur le terrain faute <strong>de</strong> relais régionaux opérationnels. Finalement, peu importe, car l’essentiel rési<strong>de</strong> dans l’appropriation du principe par les clubs. L’autre est quantitatif. Chaque club reconnu formateur, disposant d’au moins cinq jeunes, se voit attribuer une participation financière par la fédération, visant à l’ai<strong>de</strong>r dans cette structuration. Du coup, les clubs enregistrent comme licenciés <strong>de</strong>s adolescents qui sont parfois <strong>de</strong>puis très longtemps dans l’association, mais qui n’avaient jusqu’alors aucune reconnaissance fédérale. Malgré l’importance <strong>de</strong> la ligne budgétaire affectée, les sommes versées ressemblent plus à du saupoudrage qu’à une véritable subvention. Peu importe, finalement, car l’essentiel rési<strong>de</strong> dans l’augmentation <strong>de</strong>s effectifs locaux, donc nationaux. Les 5 et 6 mars 1994, ce <strong>de</strong>vait être la fête pour le triathlon Indoor <strong>de</strong> Paris Bercy. Il est vrai que le conflit opposant la fédération et les athlètes français a déjà saboté l’ambiance, mais le plateau est <strong>de</strong> bonne qualité, ce qui remonte le moral <strong>de</strong>s instances. Les télévisions ont déployé <strong>de</strong> gros moyens. Que le spectacle commence ! L’opération est bien pensée. Elle corrige le gros défaut <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, l’année précé<strong>de</strong>nte, en imposant durant la partie cycliste, tous les trois tours <strong>de</strong> piste, une décélération, un <strong>de</strong>mi-tour et une relance. Didier LEHÉNAFF, le directeur technique <strong>de</strong> la soirée, appelle cela : le tour sélectif. L’athlète est prévenu <strong>de</strong> sa réalisation par un système informatique retranscrit sur un tableau électronique. Si la première course se passe bien, dans la secon<strong>de</strong>, le panneau tombe en panne. Á partir <strong>de</strong> là, on nage en pleine cocasserie : pas <strong>de</strong> résultats fiables, <strong>de</strong>s repêchages injustifiés, <strong>de</strong>s éliminations abusives. La soirée est gâchée. Au final du week-end, et même si la secon<strong>de</strong> journée se déroule à peu près correctement, cet inci<strong>de</strong>nt condamne ce type <strong>de</strong> spectacle. Deux jours plus tard, le 8 mars 1994, la F.F.TRI. se réconforte en recevant l’officialisation <strong>de</strong> la délégation du duathlon (datée du 1 er mars 1994). Autre motif <strong>de</strong> consolation, en attendant le grand ren<strong>de</strong>z-vous niçois, la fédération voit le projet <strong>de</strong> rapprochement aboutir avec EDF. L’entreprise nationale soutient une soixantaine
- Page 1 and 2: La Fin de l’Orage 9 Janvier 1993
- Page 3 and 4: 1 - La Dernière Averse E n ce déb
- Page 5: Dans la continuité, Bernard PAGES
- Page 9 and 10: transforment ce qui doit être hist
- Page 11 and 12: Dans ce contexte tendu, la position
- Page 13 and 14: 4 - Les Conséquences de l’Olympi
- Page 15 and 16: Bernard PAGES soulève le problème
- Page 17 and 18: Commission de l’Enseignement du m
- Page 19 and 20: 7 - Le Conseil Fédéral de Duathlo
- Page 21 and 22: votes, d’une part sur les princip
- Page 23 and 24: Michel SAINT-BONNET - Vice-Préside
- Page 25 and 26: 9.1 - L’Administration Le Siège
- Page 27 and 28: Clubs 500 450 400 350 356 407 416 4
- Page 29 and 30: La pratique Compétition évolue el
- Page 31 and 32: salariales de deux fois ce 13 ème
- Page 33 and 34: Devant l’impossibilité de recond
- Page 35 and 36: Triathlète Magazine sous format r
- Page 37 and 38: Février 1996, après le Congrès I
- Page 39 and 40: les déplacements des arbitres. Dè
- Page 41 and 42: 10 - Les Saisons Sportives 1993 à
- Page 43 and 44: 10.2 - Les Saisons Sportives 1993
- Page 45 and 46: quatre demi-finales hommes et femme
- Page 47 and 48: Le Championnat de France de Triathl
- Page 49 and 50: MOUTHON, on attend Béatrice après
- Page 51 and 52: d’autant plus convoité que le Ch
- Page 53 and 54: comprend les deux titres Élite, on
- Page 55 and 56: tire avec quelques points de suture
- Page 57 and 58:
Podium Individuel Homme Podium Indi
- Page 59 and 60:
sûr, on regrette le coup de pied q
- Page 61 and 62:
pied. Lydie REUZÉ, en tête depuis
- Page 63 and 64:
Par club : Podium Club Homme Podium
- Page 65 and 66:
Par club : Podium Club Homme Podium
- Page 67 and 68:
Triathlon de Paris 1996 Le 16 juin
- Page 69 and 70:
de l’équipe féminine junior. El
- Page 71 and 72:
AUBRY. Christine CHARLE en V1 fémi
- Page 73 and 74:
Si Joël ROUX-DIDIER voit son avanc
- Page 75 and 76:
CRÉTIN-MAITENAZ. Didier BOEGLIN fa
- Page 77 and 78:
Chez les féminines, Catherine BERT
- Page 79 and 80:
Podium Club Homme Podium Club Femme
- Page 81 and 82:
au départ, représentant trente-hu
- Page 83 and 84:
La fraîcheur de l’eau me caresse