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Mai - Vho

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——————————————————————> Conseils de révisions / mai 2005<br />

TALES OF THE HOLOHOAX. After being further interviewed by West Yorkshire Police Sheppard was<br />

released, the renegade government's evident aim being to harass their political opponents and copy<br />

their hard drives. All titles except THE TYRANNY OF AMBIGUITY are currently unavailable. Your<br />

patience is requested while normal operations are restored.<br />

< http://heretical.com/ ><br />

PLAISE A LA COUR<br />

Le combat continue et continuera quoi qu'il se passe<br />

Voici une version corrigée et additionnée d'une explication en bas de texte au sujet de<br />

Nuremberg et de la "Nuit des longs couteaux", deux évènements similaires. C'est sur le site <<br />

http://aredam.net/religion-shoah-totalitarisme-inquisition.html ><br />

Compte rendu d'une audience en appel, pour condamnation pour négationnisme et<br />

antisémitisme, de la part de Michel Dakar.<br />

Il est dommage que si peu de personnes s'intéressent à ce qui les concerne au premier chef, et<br />

qui est fondamental.<br />

Aussi, en m'excusant de répéter ce que je n'ai cessé d'écrire, comme je me suis excusé auprès de<br />

la présidente de lui répéter au moins trois fois ce qu'elle n'avait visiblement pas l'envie et le plaisir<br />

d'entendre, en substance, que depuis le tribunal de Nuremberg, lequel a aboli le principe fondamental<br />

de légalité, soit ce qu'on nomme plus couramment celui de la non rétroactivité des lois, non<br />

rétroactivité inscrite dans l'article 2 du code civil (la loi dispose pour l'avenir, elle n'a pas d'effet<br />

rétroactif), et dans ce qu'on nomme le «Bloc de la constitutionnalité» de la Constitution de 1958 qui<br />

nous régit, bloc composé du préambule de la Constitution de 1946 (qui a un caractère social), et de la<br />

fameuse «Déclaration des droits de l'homme et du citoyen» de 1789, qui a son article 8 affirme que le<br />

délit ou le crime ne peuvent être punis que par une loi établie et promulguée antérieurement; la loi<br />

française dite Fabius-Gayssot étant dans la suite du tribunal de Nuremberg, il n'existe donc plus de<br />

principe de légalité, lequel fonde le principe de loi, de droit, d'appareil judiciaire, de magistrat, et donc,<br />

que je posais la question à la Cour , en les regardant bien droit dans les yeux, de bien vouloir me dire<br />

qui ils étaient, puisqu'il n'y avait depuis Nuremberg plus de droit, plus de Palais de Justice et plus de<br />

magistrats.<br />

Le trouble était manifeste, et la consternation visible et générale chez les soi disant juges, et le<br />

procureur présents, lequel a déclaré qu'il était consterné que j'utilise mon intelligence à une si<br />

mauvaise cause. Il a vaguement tenté sans paraître y croire, de ramener tout cela à une manifestation<br />

d'idées nazies, mot qu'il a déformé en «nari», comme l'un des conseillers a nommé néocide, le<br />

génocide des Juifs, et que le procureur a déclaré que «le judaïsme était dans la continuation du<br />

sionisme». C'était bien en effet la consternation générale, la confusion et le désarroi. C'est vrai<br />

qu'entendre quelqu'un vous dire que vous n'existez pas, et au fond être d'accord avec lui, est sans doute<br />

très éprouvant.<br />

La juge m'a demandé si je voulais la relaxe en ce qui concerne l'accusation de négation de crime<br />

contre l'humanité, au nom de la non constitutionnalité de la loi Fabius Gayssot. Je lui ai répondu que<br />

je demandais seulement à ceux que j'avais en face de moi qui ils étaient pour me poser des question,<br />

avant de réfléchir quoi y répondre.<br />

Elle a continué en me disant, qu'elle comprenait pour la contestation de crime contre<br />

l'humanité, mais qu'en ce qui concerne l'inculpation de diffamation raciale, là, il n'y avait pas de<br />

problème avec la non rétroactivité de la loi. Je lui ai dit que le principe de non rétroactivité étant par<br />

définition un principe, c'est à dire unique, une fois qu'il n'existe plus dans un domaine du droit, il<br />

disparaît de tous les autres domaines du droit, et donc que la loi sur la répression de la diffamation<br />

raciale n'était elle-même plus fondée.<br />

Je leur ai rappelé que le principe de légalité (de non rétroactivité de la loi) est un principe absolu<br />

et universel, c'est à dire qu'il dépasse le cadre français, et que le fait d'y avoir touché une seule fois<br />

suffit à le détruire totalement partout.<br />

Personne ne s'est énervé, car ils savent bien que ce que j'ai dit était vrai, et ils savent bien qu'ils<br />

n'ont plus que l'apparence de magistrats, d'autant que je n'ai pas dévié d'un pouce de la ligne de<br />

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