1SIDA, UN GLOSSAIRE - Act Up-Paris
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D<br />
➜ DIDANOSINE (ddi)<br />
ANTIRÉTROVIRAL, ANALOGUE NUCLÉOSIDIQUE, INHIBITEUR DE TRANSCRIPTASE INVERSE du VIH. Il est<br />
commercialisé sous le nom de VIDEX ® . Voir le tableau en fin de glossaire.<br />
➜ DMI-2<br />
Dossier épidémiologique Médical et économique de l’IMM<strong>UN</strong>ODÉFICIENCE humaine dans sa<br />
version 2. Voir BHFVIH et FHDH.<br />
➜ DO<br />
Déclaration Obligatoire. Anciennement Déclaration obligatoire de SIDA (DOS), cette déclaration<br />
concerne certaines maladies listées par décret, par exemple : la séropositivité au VIH. C’est sur<br />
cette déclaration qu’est fondé le système de surveillance épidémiologique actuel. Auparavant,<br />
seul le SIDA avéré faisait l’objet d’une déclaration obligatoire, aujourd’hui elle concerne toutes<br />
les découvertes de contamination par le VIH. La DO est en vigueur depuis 2003.<br />
➜ DOPA<br />
PRÉCURSEUR des mélanines et de la DOPAMINE. La L-DOPA est utilisée dans la maladie de<br />
Parkinson.<br />
➜ DOPAMINE<br />
Métabolite de la DOPA, elle-même PRÉCURSEUR de la NORADRÉNALINE et de l’adrénaline. Par voie<br />
intraveineuse (IV), elle sert à traiter les états de choc, elle augmente le débit cardiaque et le<br />
fonctionnement rénal. Les NEUROLEPTIQUES agissent en bloquant les RÉCEPTEURS<br />
dopaminergiques.<br />
➜ DOPPLER<br />
Examen utilisant les ultrasons, qui permet l’étude de la circulation sanguine (veineuse et<br />
artérielle).<br />
➜ DOSAGE PLASMATIQUE<br />
Examen par lequel on évalue la concentration d’un médicament présent dans le sang. Un dosage<br />
peut être pratiqué afin de corriger une trop faible ou trop forte concentration du produit, en cas<br />
d’intolérance, de toxicité, et également pour contrôler la régularité des prises. Le dosage<br />
plasmatique trouve sa place chaque fois que des INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES sont possibles,<br />
lors de l’initiation d’un traitement, ainsi qu’en cas d’ÉCHEC THÉRAPEUTIQUE. À la demande des<br />
associations, ce type d’examen est pris en charge par la Sécurité sociale depuis 2004.