Halal : enquête au cÅur d'un incroyable business - IPM
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12 VIVRE MIEUX<br />
Magique, ce gloss<br />
BEAUTÉ<br />
Ce nouve<strong>au</strong> stick signé Talika<br />
est un soin volumateur<br />
pour les lèvres doublé d’un<br />
soin blancheur pour les dents !<br />
BRUXELLES Après son sérum booster<br />
de seins, lancé en mai dernier, la marque<br />
française Talika, experte en soins<br />
spécifiques pour les yeux, le visage et le<br />
corps, se démarque avec un tout nouve<strong>au</strong><br />
stick baptisé Smile&Kiss.<br />
Le secret de ce nouve<strong>au</strong> stylo à double<br />
embout-mousse dit “révolutionnaire” ? Il<br />
s’agit d’un soin volumateur et antirides<br />
pour les lèvres doublé d’un soin blancheur<br />
immédiat pour les dents. Il garantit<br />
“des résultats spectaculaires”, promettent<br />
les laboratoires Talika. “Le volume<br />
des lèvres <strong>au</strong>gmente de 20 %, l’hydratation<br />
des lèvres <strong>au</strong>gmente de 50 % et l’effet blanchissant<br />
sur les dents atteint cinq teintes<br />
de blancheur en plus.”<br />
L’EMBOUT VOLUMATEUR et antirides<br />
pour les lèvres est composé d’extraits<br />
végét<strong>au</strong>x, d’huiles essentielles, de collagène<br />
marin et de peptides. “Ce gloss frais<br />
agit en continu tout en déposant un film<br />
TALIKA<br />
Le stylo Smile&Kiss ne quittera plus votre<br />
sac à main.<br />
brillant d’une extrême finesse.” Quant <strong>au</strong><br />
soin blancheur, il se présente sous<br />
forme de gel, riche en peroxyde d’hydrogène<br />
(utilisé en soins dentaires), qui<br />
procure une immédiate sensation de<br />
fraîcheur grâce à l’association d’huiles<br />
essentielles de menthe et de citron.<br />
Ludivine Nolf<br />
EN SAVOIR PLUS<br />
Smile&Kiss de Talika Disponible en pharmacie<br />
et parapharmacie dès ce mois d’août.<br />
Prix : 27,50 €.<br />
Des papys pour<br />
garder vos toutous<br />
VACANCES<br />
Quand les départs sont<br />
inenvisageables avec<br />
les anim<strong>au</strong>x de compagnie,<br />
on peut les laisser en<br />
pension chez des retraités<br />
BRUXELLES Aller en vacances est une<br />
chose qui devient possible même lorsqu’on<br />
a un toutou et qu’on ne veut pas<br />
l’abandonner.<br />
Holidays-sitters est une organisation<br />
belge de (pré) pensionnés qui propose<br />
<strong>au</strong>x propriétaires d’anim<strong>au</strong>x domestiques<br />
de garder leurs chiens ou chats à<br />
la maison et de s’en occuper pendant<br />
leurs absences. Une idée très intéressante<br />
pour les personnes qui ne savent<br />
plus quoi faire.<br />
LES HOME-SITTERS sont un privilège<br />
<strong>au</strong>ssi bien <strong>au</strong> nive<strong>au</strong> du service que des<br />
prix. Il f<strong>au</strong>t savoir qu’ils peuvent garder<br />
votre chien pour 72 euros le week-end<br />
avec un maximum de 300 euros et ça<br />
que vous partiez un mois, deux et<br />
même plus.<br />
De véritables vacances pour anim<strong>au</strong>x.<br />
Pour ceux qui veulent faire profiter<br />
leurs chiens de séjours <strong>au</strong> grand<br />
air et les faire voyager loin de la maison,<br />
il existe des centres de détente<br />
pour tous les toutous poilus, petits ou<br />
grands.<br />
E Waltou, un centre de toilettage et un<br />
hôtel pour chiens à Bruxelles, vous propose<br />
plusieurs activités supplémentaires<br />
en plus d’héberger votre animal à<br />
partir de 40 euros par jour.<br />
E Dogland, quant à lui, est un centre<br />
d’éducation et de pension canine à<br />
Sombreffe, dans la région namuroise.<br />
Ses tarifs sont affichés selon le poids du<br />
chien et diverses gâteries vous sont<br />
proposées en supplément.<br />
Voilà, les vacances deviennent possibles,<br />
même avec son compagnon à quatre<br />
pattes. Il ne reste plus qu’à en profiter<br />
vous <strong>au</strong>ssi.<br />
Kahina Benyacoub<br />
Le camion Xperilab déambule<br />
SCIENCES<br />
Présentation du camion<br />
Xperilab pour apprendre<br />
en s’amusant<br />
BRUXELLES Le lancement de la<br />
présidence belge de l’Europe<br />
présage be<strong>au</strong>coup de présentations<br />
de projets.<br />
À la suite du Conseil Compétitivité<br />
de l’Union européenne, le<br />
ministre Benoît Cerexhe (CDH)<br />
et la commissaire européenne<br />
de la Recherche Máire Geoghegan-Quinn<br />
ont présenté le projet<br />
de sensibilisation des jeunes<br />
envers les métiers scientifiques.<br />
Xperilab est un projet qui<br />
DR<br />
unit la Fondation Entreprise –<br />
Institut, le muséum des Sciences<br />
naturelles et Solvay. Robert<br />
Van Geyts, chargé de mission<br />
pour Solvay, relève que : “Ce projet<br />
a pour but de montrer <strong>au</strong>x jeunes<br />
de 10 à 14 ans que les sciences<br />
ne sont pas <strong>au</strong>ssi <strong>au</strong>stères qu’on<br />
ne le croit. Qu’il y a moyen d’apprendre<br />
en s’amusant et de faire<br />
des expériences étonnantes.”<br />
UN CAMION DÉPLIABLE qui<br />
sillonnera toute la Belgique à<br />
partir de septembre pour faire<br />
découvrir à une centaine de<br />
classes une dizaine d’expériences<br />
scientifiques <strong>au</strong>ssi bien biologiques,<br />
chimiques que physiques.<br />
“Cet outil pédagogique servira<br />
à sensibiliser les jeunes de fin primaire,<br />
début secondaire <strong>au</strong>x sciences”,<br />
annonce le ministre. “Durant<br />
ces huit dernières années, la<br />
Belgique a constaté une diminution<br />
de 8 % de jeunes qui se lancent<br />
dans les études scientifiques.”<br />
Xperilab peut accueillir jusqu’à<br />
27 élèves. Ces enfants seront<br />
partagés en trois groupes<br />
de trois, ce qui leur permettra<br />
de mieux profiter des expériences<br />
et de mieux comprendre les<br />
problèmes posés par les animateurs<br />
et le personnage animé<br />
qui guide les enfants.<br />
L’ambition est d’ouvrir les jeunes<br />
<strong>au</strong>x sciences mal définies.<br />
Kahina Benyacoub<br />
L’intérieur du camion se divise en plusieurs petits laboratoires avec diverses expériences scientifiques.<br />
Le mariage mixte interpelle<br />
certains pratiquants juifs<br />
NOCES<br />
L’union de Chelsea<br />
Clinton fait be<strong>au</strong>coup<br />
parler d’elle chez les<br />
traditionalistes juifs<br />
BRUXELLES “Ce mariage<br />
n’<strong>au</strong>rait pas pu avoir lieu en Belgique,<br />
à part si l’union est scellée<br />
par un rabbin libéral”, nous explique<br />
Meir, pratiquant traditionaliste<br />
juif qui va bientôt<br />
marier sa propre fille à la fin<br />
du mois. Ici, on parle bien du<br />
mariage religieux et non civil.<br />
Par “libéral”, Meir veut désigner<br />
“les tendances réformistes<br />
juives qui viennent des États-<br />
Unis”, qui, selon lui, sont plus<br />
laxistes par rapport <strong>au</strong>x lois<br />
ancestrales juives. Chez les<br />
juifs, “il y a des lois qui persistent<br />
depuis cinq mille ans et qui<br />
ont permis à notre commun<strong>au</strong>té<br />
de traverser les âges. Certaines<br />
évoluent avec le temps, mais les<br />
bases doivent rester inamovibles…”.<br />
Comme nous l’avions<br />
expliqué dans la DH de ce<br />
mardi 3 août, l’un des époux<br />
non juif dans un mariage<br />
mixte doit se convertir <strong>au</strong> judaïsme<br />
pour que l’union soit<br />
reconnue par Israël.<br />
LA RELIGION CATHOLIQUE, elle,<br />
a fait be<strong>au</strong>coup de remaniements,<br />
“et regardez maintenant<br />
où elle en est…”, explique Meir.<br />
Le pratiquant reconnaît malgré<br />
tout que les synagogues se<br />
vident comme les églises catholiques,<br />
du moins quand il<br />
n’y a pas de fêtes particulières…<br />
D’où l’importance de<br />
faire revivre la religion, de la<br />
garder fervente, et cela, en respectant<br />
les lois.<br />
PARMI CES TENDANCES réformistes,<br />
qui selon Meir “éloignent<br />
les fidèles de la commun<strong>au</strong>té<br />
juive”, on peut énoncer<br />
les mariages mixtes, la non-séparation<br />
des femmes et des<br />
hommes à la synagogue, les<br />
femmes rabbins, etc.<br />
Le problème avec les mariages<br />
mixtes, c’est l’éducation à<br />
donner <strong>au</strong>x enfants, qui se<br />
sentiront perdus face <strong>au</strong>x confessions<br />
différentes des parents.<br />
Les enfants du couple<br />
Clinton-Mezvinski seront-ils<br />
juifs ou méthodistes ? “Les rabbins<br />
veulent éviter cela”, et prônent<br />
les mariages entre juifs…<br />
Meir ne fait pas partie de ce<br />
mouvement réformiste qui est<br />
très étendu <strong>au</strong>x États-Unis. Il<br />
n’empêche, il a peut-être permis<br />
à l’amour de triompher<br />
sur les différences de religion<br />
entre Chelsea et son époux.<br />
Meir reconnaît néanmoins<br />
que, même chez les juifs, il y a<br />
des divorces.<br />
F. Sc<br />
www.dhPbe I MERCREDI 4 AOÛT 2010 I LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS<br />
© S.A. <strong>IPM</strong> 2010. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans <strong>au</strong>torisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.
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