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Pierre sylvain Marcheix - desc orthopedie

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Figure 1 :A B CEn ce qui concerne les fractures à bascule antérieure : elles sont beaucoup plus raresque les fractures à bascule postérieure. Dans ce cas, les déplacements secondaires sontexceptionnels, la contention se fait soit en position, soit en légère hyperextension.I-II Les fractures décollement épiphysaireElles sont plus rares que les fractures précédentes (10 à 20% des fractures de l’avantbras).Le plus souvent, ce sont des fractures Salter II (Figure 2). L’ulna est la plus souventfracturé en position épiphysaire, traduisant systématiquement une lésion de l’articualtionradio-ulnaire distale.Dans les fractures décollement épiphysaire à bascule postérieure, la qualité du périostepostérieure fait que les hypercorrections n’existent pas. Par contre, les hypocorrections sontfréquentes. L’immobilisation se fera par un plâtre brachio-antébrachio-palmaire, coude à 90°.Le foyer de fracture est mis en flexion en se servant du périoste postérieur comme hauban.Alors que lorsque la bascule est antérieure, le foyer de fracture est mis en extension.Les fractures Salter III-IV sont théoriquement possibles, mais très rares.8

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