Acronyme du projet / IC Ouest IDEX 2010 1/1 Acronyme ... - L'UNAM

APPEL A PROJETSIDEXCALL FOR PROPOSALS2010Acronyme du projet / IC OuestDOCUMENT B / SUBMISSION FORM BLe volet STIC pour la médecine personnalisée du LABEX COMIN Labs propose le développement de nouveaux environnements, outils et stratégies pour le diagnostic précoce, le suivi et l’optimisation de l’action thérapeutique. Dans un contexte de disponibilité croissante de signaux et d’images multi-­‐échelle, les STIC jouent un rôle central dans le traitement et la gestion des informations complexes qui en sont issues et permettent, dans une approche « théranostique », des améliorations majeures pour la prise en charge des patients, la maîtrise des coûts de santé et la création d’activités économiques nouvelles. T2. Biomarqueurs (Labex Biomarqueurs) Il s’agit principalement de l’identification des biomarqueurs pour un traitement plus rapide, meilleur marché et plus efficace de différentes pathologies). Le Labex s'appuie sur des laboratoires possédant une reconnaissance internationale forte sur un certain nombre de maladies et une expertise dans des domaines différents comme la biologie, la chimie, la physique, la médecine et l'économie. Il s'agit d'un projet interdisciplinaire pour : (1) identifier les gènes responsables de certaines maladies ; (2) fournir des outils pour le pronostique et le diagnostic ; (3) identifier des outils pour caractériser les stades de la maladie ; (4) identifier des cibles ou des signatures pour guider les traitements 5) identifier des signatures de la réponse aux traitements. T3. Processus immunologiques et traitement des maladies gravissimes par la transplantation Ce projet réunit des groupes travaillant dans le domaine des greffes d'organes et des cellules souches hématopoïétiques mais aussi sur les nouvelles frontières : cellules souches ou xénogéniques ou gènes thérapeutiques. La transplantation d'organes, de cellules et de gènes ouvre de nouvelles frontières en médecine régénérative avec une interface unificatrice majeure (TSI – IHU). Ce projet d’IHU réunit des groupes travaillant dans le domaine des greffes d'organes et des cellules souches hématopoïétiques et sur les nouvelles frontières : cellules souches ou xénogéniques, ou gènes thérapeutiques. Un programme fondamental traite des mécanismes du rejet, de la GvH et de leur modulation utilisant des nouveaux incubées, font partie du projet. Basé sur les indicateurs d'une décennie et l'effet de levier attendu par la création d'un IHU, le groupe prévoit la création de 20 nouvelles entreprises et 800 emplois hautement qualifiés. Des partenariats clés sont développés l'industrie privée. La recherche bénéficiera de deux plates-­‐formes de primates et de grands animaux (chiens, porcs), du centre d'immuno-­‐monitorage Cimna, de deux laboratoires de productions GMP de gènes et de cellules, d'une cellule d'analyse biostatistique, d'un laboratoire de transgénèse chez le rat et d'un CIC, parmi d'autres plates-­‐formes « classiques ». Un nouveau centre AFM/Téléthon sur le site du TSI-­‐IHU et de nouveaux moyens dédiés à la production de cellules et gènes GMP, contribuent à l'ambition de notre projet. Le TSI-­‐IHU s'affirme comme un centre européen majeur intégrant le soin, la recherche (>3000 publications) et l'éducation (école européenne des sciences de la transplantation en partenariat avec Novartis/Imperial College Londres/Université de Barcelone), combinant tous les atouts pour développer des collaborations innovantes avec l'industrie, attirer les jeunes talents et structurer la chaîne de valeur et d'expertise pour l'innovation thérapeutique au bénéfice des malades. T4. Cancérologie Cette thématique sera développée en mettant en réseau les structures hospitalières de l’Ouest et le projet de Siric déposé par le centre Nantes/Angers. Le projet s'appuie sur plusieurs des points forts de la recherche en cancérologie, 1) une intégration régionale déjà initiée avec le Cancéropole Grand Ouest et la fusion récente des centres de Nantes et Angers, 2) le dépôt d’un projet de Siric auquel participent environ 85 chercheurs et un haut niveau d’expérience et d’excellence sur des activités de recherche spécifiques (en particulier le myélome et mélanome) pour lesquelles le travail de recherche a déjà été initié et est intégré du fondamental aux applications médicales avec des engagements significatifs dans de nombreux essais thérapeutiques ces 5 dernières années,3) des activités de recherche spécifiques innovantes sur le plan international : radio-­‐immunothérapie, recherche fondamentale, vaccinothérapie, etc… Les programmes de recherche intégrée s’appuieront sur de nombreux outils tels le Cyclotron Arronax ou les moyens d’ONIRIS pour le diagnostic et traitement des cancers animaux spontanés. Ils partageront également d’autres plateformes de recherche clinique (CHU), des tumorothèque (IRCNA), de génomique du cancer, de génétique, de pharmacologie et de protéomique. 26/26