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rapport sur l´ evaluation de la situation des - Campaign to End Fistula

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2. Ressources HumainesTableau No 5 : Nombre <strong>to</strong>tal do Personne /Centre par catégorie <strong>de</strong> techniciens par provinceCatégorie <strong>de</strong> techniciens <strong>de</strong> SantéProvinceLuanda Bengue<strong>la</strong> Huambo Hui<strong>la</strong> TotalN N N N NGynécologue obstétricien 32 10 10 2 54Urologiste - 3 1 - 4Pédiatre 17 1 13 2 33Mé<strong>de</strong>cine Générale 48 6 4 1 59Sage-femme 128 58 29 27 242Infirmière 632 411 5 196 1.244Technicien <strong>de</strong> base en soins infirmiers 1.000 412 451 213 2.076Technicien moyen en soins infirmiers 510 238 236 33 1.017Anesthésiste 24 9 25 - 58Travailleur social Social/Conseiller 71 3 5 4 83spécialiste <strong>de</strong> Réhabilitation (pour ma<strong>la</strong><strong>de</strong>s <strong>de</strong>fistule)- 1 - - 1Hormis les qualifications <strong>de</strong> Mé<strong>de</strong>cin Généraliste, le titre <strong>de</strong> spécialiste estattribué par les enquêteurs aux mé<strong>de</strong>cins généralistes avec carrière spécifiqueen service e gynécologie obstétrique.L´analyse du tableau <strong>de</strong>s ressources humaines montre :Une insuffisance <strong>de</strong> personnel qui s ´occupe directement <strong>de</strong>s cas obstétricaux<strong>sur</strong><strong>to</strong>ut <strong>de</strong>s gynécologues obstétriciens proprement dits. Les chiffres ci-<strong>de</strong>ssussont estimés á <strong>la</strong> hausse, certains mé<strong>de</strong>cins généralistes ayant exercélongtemps en service d´obstétrique ont été enregistrés comme <strong>de</strong>s spécialistes.Les techniciens <strong>de</strong> base et moyen d´infirmerie sont en grand nombre <strong>de</strong>vant lessages-femmes.Ce manque <strong>de</strong> personnel spécialisé en Obstétrique explique que <strong>la</strong> majorité<strong>de</strong>s centres soient limités a effectuer <strong>de</strong>s accouchements normaux, sanscapacité exécuter une direction du travail dans <strong>la</strong> troisième phase, ni <strong>de</strong> mettreen œuvre <strong>de</strong>s fonctions <strong>de</strong> SOU <strong>de</strong> base. Les raisons évoquées étant <strong>la</strong> nonau<strong>to</strong>risation, suivi par le manque <strong>de</strong> personnel, enfin vient le manque <strong>de</strong>matériel.La non au<strong>to</strong>risation systématique est <strong>la</strong> raison évoquée par les centres qui nedisposent pas <strong>de</strong> personnel spécialisé (obstétricien, mé<strong>de</strong>cin ou sage- femme).Dans ces centres, <strong>to</strong>ute complication d´accouchement est systématiquementévacuée.3. DISPONIBILITÉ ET COUVERTURE DES STRUCTURES DE SOU3.1 Disponibilité <strong>de</strong>s structures <strong>de</strong> santé offrant <strong>de</strong>s services d´accouchementUn <strong>to</strong>tal <strong>de</strong> 124 unités ont été enquêté. Se répartissant comme suit :Province <strong>de</strong> Luanda : 2820

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