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les 18 hits de l’automne<br />
Le mode Zombies sera de la partie<br />
et permettra de massacrer les pires<br />
d’entres eux : les nazis-zombies.<br />
Le sens de la camaraderie et la solidarité entre<br />
soldats seront au cœur de la campagne solo.<br />
Call of Duty WWII<br />
Aux origines de Call of<br />
Mise en danger par des épisodes « militaro-futuristes » qui n’ont pas connu le succès escompté, la licence Call of Duty revient<br />
à ses origines et s’intéresse à nouveau au conflit le plus meurtrier du XX e siècle. Une bonne nouvelle ? 3 novembre 20<strong>17</strong><br />
Il est loin le temps des Black Ops et<br />
autres Modern Warfare qui se vendaient<br />
à des millions d’exemplaires en<br />
quelques semaines. Même si Call of Duty<br />
reste une licence majeure pour Activision,<br />
elle a besoin de trouver un second souffle.<br />
Pour ce faire, elle remonte à ses débuts, à<br />
une époque où les FPS label « Seconde<br />
Guerre mondiale » étaient presque la<br />
norme. Car au début des années 2000,<br />
Medal of Honor, Call of Duty 1, 2, 3, et World<br />
at War, ou encore Brothers in Arms,<br />
prenaient tous place durant la période<br />
39-45, jusqu’à ce qu’un ras-le-bol général<br />
des joueurs pousse les développeurs à<br />
moderniser les combats, peut-être un peu<br />
trop. Ainsi, après un Battlefield 1 chez le<br />
concurrent Electronic Arts qui s’autorisait<br />
l’an dernier une excursion durant la<br />
Première Guerre mondiale, Call of s’y met<br />
aussi, mais à sa façon. WWII semble ainsi<br />
conserver ce qui fait la force de la licence<br />
WWII souhaite nous faire ressentir<br />
l’état d’esprit des soldats qui ont<br />
débarqué sur les côtes européennes.<br />
(mise en scène explosive, rythme rapide,<br />
nerveux, peu de réalisme dans les<br />
combats), mais tente d’insuffler plus<br />
d’humanité dans son solo et souhaite avant<br />
tout nous faire ressentir l’état d’esprit des<br />
soldats qui ont débarqué sur les côtes<br />
européennes en 1944. Pour y parvenir, il<br />
met en scène un bidasse lambda, loin du<br />
héros surpuissant, et mise sur la relation<br />
entre membres d’une même escouade.<br />
Cela se traduira par des cinématiques<br />
que l’on espère poignantes, mais aussi par<br />
quelques bonnes idées de game design :<br />
le Medic pourra nous envoyer des trousses<br />
de soins en cas de coup dur, le Scout a la<br />
capacité de mettre en surbrillance certains<br />
adversaires. Côté multi, en revanche,<br />
le contenu s’annonce plus classique, en<br />
dehors de la possibilité de créer son propre<br />
avatar. Bref, Call of Duty fait du neuf avec<br />
du vieux, marie d’anciens gimmicks avec<br />
une réalisation « 20<strong>17</strong> ». La recette est-elle<br />
la bonne ? Nous le saurons très vite.<br />
INFOGAMER<br />
Ce retour à la Seconde Guerre mondiale,<br />
à quelque chose de plus historiquement<br />
réaliste, nous fait plaisir. CoD WWII<br />
pourrait bien être l’épisode du<br />
renouveau, d’autant plus que le studio<br />
Sledgehammer travaille dessus depuis<br />
près de trois ans. Nous sommes<br />
impatients d’enfiler nos Rangers.<br />
Genre : FPS<br />
Nb de joueurs : 1-18 (en ligne)<br />
Développeur : Sledgehammer<br />
Techniquement, le jeu est très convaincant et tourne sur<br />
une version améliorée du moteur d’Advanced Warfare.<br />
32 • <strong>PC</strong> <strong>Gamer</strong> • Septembre-octobre 20<strong>17</strong>
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