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Haiti Liberte 27 Decembre 2023

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les Cubains résidant dans d’autres pays.<br />

Chers compatriotes,<br />

Avant de conclure, je vous demande d’applaudir<br />

chaleureusement pour féliciter et saluer les<br />

éducateurs cubains en cette journée qui leur est<br />

dédiée (Applaudissements prolongés). Pour ceux<br />

qui sont ici, qui ne sont pas peu nombreux, et<br />

pour tous ceux qui ont exercé ou exercent la belle<br />

profession d’enseignant, conscients qu’ils ont entre<br />

les mains l’œuvre la plus transcendante et la<br />

plus importante de la société : la formation des<br />

générations futures (Applaudissements).<br />

Tout d’abord, que ces félicitations pour la<br />

Journée de l’Éducateur aillent aux alphabétiseurs<br />

(applaudissements), et avec eux, les applaudissements<br />

reconnaissants à ceux qui ont résisté, de<br />

pied ferme, aux difficultés, aux pénuries et même<br />

aux insensibilités de ceux qui oublient qu’être<br />

enseignant, c’est être créateur. Un grand merci<br />

à vous qui soutenez par votre travail et votre<br />

dévouement l’un des piliers fondamentaux de<br />

l’œuvre de la Révolution ! (Applaudissements)<br />

C’est cela la Révolution ! Lorsque nous prononçons<br />

cette phrase, qui résume 65 ans de création<br />

héroïque, nous pensons d’abord à la Santé et<br />

à l’Éducation. Ce sont les deux bras de l’œuvre<br />

immense, fondamentale, de base, sur laquelle<br />

nous construisons, contre vents et marées, l’idéal<br />

d’une nation qui place l’être humain au centre de<br />

ses préoccupations et de ses inquiétudes. Et ce<br />

sera ainsi pour toujours, parce que la Révolution<br />

existera toujours, parce qu’elle est faite pour cela<br />

! (Applaudissements).<br />

Parce que la nation admire et reconnaît<br />

le rôle et la place des travailleurs de la Santé et<br />

de l’Éducation pour leur présent et leur avenir,<br />

ce seront les premiers à bénéficier de paiements<br />

supplémentaires, comme le Premier ministre l’a<br />

annoncé dans son discours (applaudissements).<br />

À la veille d’une commémoration transcendante<br />

: la célébration du 65e anniversaire du triomphe<br />

de la Révolution, Cuba fera ses adieux à<br />

l’année avec la joie que ni les pires tempêtes de la<br />

nature ni l’empire n’ont pu nous enlever.<br />

Nous allons célébrer notre volonté de<br />

changer ce qui doit être changé pour maintenir et<br />

dépasser les conquêtes sociales que la Révolution<br />

a transformées en droits du peuple ! Nous allons<br />

célébrer notre indépendance, notre souveraineté<br />

et notre liberté ! (Applaudissements)<br />

C’est cela la Révolution de Fidel, de Raul, de<br />

Ramiro, de Guillermo, de Machado, de la Génération<br />

héroïque du Centenaire de la naissance de<br />

l’Apôtre, dont les idées continuent de nous inspirer,<br />

et c’est la Révolution de nous tous qui sommes<br />

dans cette salle pour faire respecter la volonté du<br />

peuple héroïque, digne et rebelle que nous avons<br />

l’honneur de représenter (Applaudissements prolongés).<br />

Il y a quelques jours, en relisant un discours<br />

du commandant en chef aux étudiants, à propos<br />

de l’approche de l’anniversaire de la FEU, j’ai<br />

trouvé quelques mots qui pourraient expliquer le<br />

mystère de cette Révolution qui a survécu 65 ans<br />

à des sièges et à des menaces de toutes sortes,<br />

sans perdre les rêves et les espoirs d’un monde<br />

meilleur possible.<br />

Fidel a déclaré le 20 décembre 1982 : «<br />

On a toujours accusé les révolutionnaires de<br />

vouloir des choses impossibles, de vouloir des<br />

choses utopiques. Un jour, on a reproché à Marti<br />

d’être un rêveur, et Marti a répondu que les<br />

rêves d’aujourd’hui seront les lois de l’avenir. On<br />

a généralement dit que ces tâches étaient irréalisables,<br />

qu’elles étaient impossibles ; mais moi,<br />

dans ma vie de révolutionnaire, je peux dire que<br />

ce que l’on atteint dépasse souvent les rêves. »<br />

Alors, ensemble, rendons possible le rêve<br />

de vaincre la politique de traque et d’encerclement<br />

de Cuba, rendons possible l’idéal de prospérité<br />

pour le peuple, qui a animé les révolutionnaires<br />

cubains de toutes les époques. Rendons possibles<br />

les rêves et même l’impossible ! (Applaudissements)<br />

Merci, Général d’armée, d’être là et de toujours<br />

nous encourager à conquérir le prochain<br />

objectif. Vous qui, il y a 65 ans, êtes entré dans<br />

la caserne de la Moncada et avez fait en sorte<br />

que ses soldats se rendent sans un seul coup de<br />

feu, avec la force morale invaincue de la nouvelle<br />

Armée rebelle, vous nous avez enseigné à<br />

maintes reprises que oui, c’est possible si nous<br />

avançons unis ! Et c’est ce que nous ferons ! (Applaudissements<br />

prolongés).<br />

C’est cela la Révolution, l’idée inébranlable<br />

que tous les rêves sont réalisables ! C’est cela la<br />

Révolution, celle de son digne peuple cubain !<br />

C’est alors que s’imposent la volonté de travailler,<br />

le désir de progresser, la disposition à se perfectionner<br />

et la conviction profonde que nous allons<br />

vaincre !<br />

La Patrie ou la mort ! Nous vaincrons ! (Exclamations<br />

« Nous vaincrons ! » et « Vive la révolution<br />

cubaine ! ») (Applaudissements.)<br />

Granma 26 décembre <strong>2023</strong><br />

Suite de la page (9)<br />

French intellectual Régis Debray argued that<br />

France only had a moral obligation to <strong>Haiti</strong>.<br />

due not to the Double-Debt, but to “[b]ad governance<br />

[and] the degradation of security.”<br />

By October 2003, de Villepin created a committee<br />

on Franco-<strong>Haiti</strong>an relations: the Comité Indépendent<br />

de Réflexion et de Propositions sur les<br />

Relations Franco-Haïtiennes. Véronique Albanel,<br />

a professor, philosopher, and sister of de Villepin,<br />

was made a special envoy and sent to <strong>Haiti</strong> from<br />

France. Régis Debray, a famed French philosopher<br />

and progressive author, was also sent to <strong>Haiti</strong> as<br />

the head of the committee to discuss the matter<br />

with the government of <strong>Haiti</strong> in December 2003.<br />

Debray and Albanel, anchors of the French delegation,<br />

were instructed not to discuss or even acknowledge<br />

restitution, but instead to say France<br />

only had a moral obligation to <strong>Haiti</strong> and that<br />

France should cooperate with <strong>Haiti</strong> in health and<br />

education development. For example, I attended<br />

a meeting where, in the face of the restitution<br />

claim for billions of dollars, Debray countered and<br />

suggested that France could establish French language<br />

schools for <strong>Haiti</strong>ans.<br />

President Aristide Initiates <strong>Haiti</strong>’s Legal<br />

Claim for Restitution<br />

Ira Kurzban was<br />

in 2003 Aristide’s<br />

lawyer and the lead<br />

attorney in the effort<br />

to win restitution<br />

from France<br />

Beyond the legal aspects<br />

of the restitution<br />

claim, the team and I<br />

looked at the political<br />

context. At one point,<br />

we even contacted people<br />

who managed the<br />

“debt clock” in Times<br />

Square, in New York<br />

City, to set up a similar<br />

debt clock for <strong>Haiti</strong>’s<br />

debt.<br />

By June 2003,<br />

the government of<br />

<strong>Haiti</strong> had established<br />

a Restitution Commission<br />

and began holding<br />

meetings in <strong>Haiti</strong> on<br />

how to proceed. The<br />

Restitution Commission<br />

decided to work with Günther Handl and the Bichot<br />

& Associés law firm in France. Handl was<br />

the principal author of the legal theories that <strong>Haiti</strong><br />

can still rely on today. He wrote a detailed memorandum<br />

of law on Nov. 7, 2003, addressing the<br />

issues of restitution. That month, the commission<br />

established a legal theory which was the principal<br />

basis for impugning the validity of the 1825<br />

Agreement between France and <strong>Haiti</strong>, in which<br />

<strong>Haiti</strong>ans were required to pay their former slaveholders.<br />

The theory was one for contractual restitution<br />

and not simply reparations. The restitution<br />

claim was grounded in the international illegality<br />

of the conditions under which the 1825 Agreement<br />

concluded the threat of re-enslavement.<br />

At first, the major obstacles to instituting<br />

the legal claim were identifying who the plaintiffs<br />

might be and a forum in which to bring such a<br />

suit. The commission debated whether it could<br />

bring suit on behalf of families of former enslaved<br />

persons, as well as whether the <strong>Haiti</strong>an government<br />

could initiate claims against French banks or<br />

against the decedents of French citizens who received<br />

the sanctions paid by <strong>Haiti</strong>ans. Regarding a<br />

forum, the Bichot firm indicated that the Republic<br />

of <strong>Haiti</strong> might be able to file a claim for restitution<br />

in a French court against the Republic of France.<br />

But after extensive research, the firm decided<br />

that the <strong>Haiti</strong>an state could not bring the suit in<br />

a domestic French court. Thus, the main question<br />

became whether there was a viable international<br />

forum. The International Court of Justice was not<br />

available because France was not a signatory. The<br />

commission members then discussed the potential<br />

of using the Cotonou Agreement to create a partnership<br />

agreement between <strong>Haiti</strong> and France.<br />

By January 2004, the commission had<br />

drafted a complaint, but was still trying to determine<br />

where to bring the action. By February<br />

2004, the commission offered to retain the Bichot<br />

firm in France. However, at the same time, the political<br />

efforts to destabilize and ultimately destroy<br />

the democratically elected government were rapidly<br />

escalating.<br />

Coup to Quiet the Restitution Claim<br />

As part of the disinformation and destabilization<br />

campaign launched against President Aristide,<br />

the so-called intellectuals and business leaders in<br />

<strong>Haiti</strong> attacked and dismissed the idea of restitution,<br />

calling it a joke and without any basis. The<br />

French Committee, led by Debray, wrote a report<br />

characterizing the debt demand as “hallucinatory<br />

accounting;” that noone in the democratic opposition<br />

in <strong>Haiti</strong> takes the matter seriously and that<br />

the desirable consequence would be for Aristide to<br />

step down. French president Chirac’s ambassador,<br />

Yves Gaudeul, warned of the “imminent political<br />

storm,’” stating “ even if the sky seems blue<br />

. . . Hang on tight.” Likewise, both Albanel and<br />

Debray acknowledged that at various times, they<br />

delivered threats to President Aristide and told him<br />

that he would be removed unless he dropped the<br />

restitution claim.<br />

On Feb. 5, 2004, a military force led by<br />

Louis Jodel Chamblain, the former head of FRAPH,<br />

a right-wing paramilitary death squad in <strong>Haiti</strong>,<br />

equipped by the United States and trained in<br />

the Dominican Republic, began an insurgency in<br />

Gonaïves, <strong>Haiti</strong>. By Feb. 29, 2004, the coup was<br />

complete, and President Aristide was forcefully removed<br />

to the Central African Republic. The draft<br />

complaint for restitution disappeared.<br />

In March 2004, Gérard Latortue, a <strong>Haiti</strong>an<br />

exile living in Boca Raton, Florida, was quickly<br />

appointed the new Prime Minister of <strong>Haiti</strong>.<br />

Latortue’s perceived strength was courtship of<br />

neo-conservatives in Washington, including those<br />

in the Pentagon. He had never previously been<br />

elected to any public office in <strong>Haiti</strong>. After the coup<br />

against President Aristide, one of Latortue’s first<br />

acts was to announce to the French government<br />

in mid-April 2004 that <strong>Haiti</strong>’s pursuit of the restitution<br />

claim “is closed” and had been “illegal, ridiculous<br />

and was made only for political reasons.”<br />

Just four months earlier, Latortue told the Miami<br />

Herald that restitution to <strong>Haiti</strong> was “the moral and<br />

politically responsible thing to do.”<br />

Today, <strong>Haiti</strong> still suffers from the impoverishment<br />

brought by the Double-Debt and France’s<br />

unlawful conduct in 1825. However, the legal<br />

claim for restitution remains valid and viable.<br />

* This December <strong>2023</strong> article is reprinted<br />

from the University of Miami Inter-American<br />

Law Review. The footnotes have been removed<br />

with some replaced by hyperlinks in Haïti Liberté’s<br />

online version. Ira Kurzban is the founder<br />

of Kurzban, Kurzban, Tetzeli & Pratt P.A. in<br />

Coral Gables, Florida. He acted as <strong>Haiti</strong>’s counsel<br />

between 1991 and 2004, representing the country<br />

during the governments of former presidents<br />

Jean-Bertrand Aristide and René Préval. In 2003,<br />

then-President Aristide directed Kurzban to explore<br />

and initiate litigation on behalf of the <strong>Haiti</strong><br />

to seek restitution against the French government<br />

for the Double-Debt. Much of the information<br />

in this article is first hand knowledge from<br />

Kurzban’s service as counsel to <strong>Haiti</strong>.<br />

PAR CES MOTIFS<br />

Le Tribunal, après examen sur les conclusions du Ministère public maintient le défaut<br />

octroyé contre son épouse à l'audience précitée pour le profit déclaré fondée ladite<br />

action. Admet en conséquence le divorce de Mr.Sorel DORELUS, d'avec son épouse née<br />

Edeline JEUNE, pour cause injures graves et publiques; aux torts de lʼépouse: Prononce<br />

en conséquence la dissolution des liens matrimoniaux, ayant existé entre lesdits époux:<br />

Ordonne à l'officier de l'état civil de la commune d'Aquin, de transcrire sur les registres<br />

à ce destinés le dispositif du présent jugement, dont un extrait sera inséré dans l'un des<br />

quotidiens s'éditant à la Capitale sous peine de dommages-intérêts envers les tiers s'il y<br />

échet; Commet l'huissier susdits, pour la signification de ce siège. Compense les dépens.-<br />

Ainsi juge et Prononcé par nous, Me.JEAN EMMANUEL ZEPHIR, Juge en audience civile et<br />

publique en date du quinze Mars deux mille vingt- deux, en présence de Me. LITHAN<br />

ISAAC, av, Substitut Commissaire du Gouvernement de ce ressort, avec l'assistance du<br />

Greffier Jean Claude NOVEMBRE.-<br />

Il est ordonné .....ETC.....<br />

En foi de quoi .....ETC.....<br />

Me. MASNER MERCURE<br />

PAR CES MOTIFS<br />

AFFAIRE DU SIEUR RAPHAEL THEARD<br />

CONTRE LES DAMES MAMOUNE LOUIS JUSTE,<br />

REMY KETTELIE MARCUS CEAC<br />

Le Tribunal après en avoir délibéré conformément à la loi, maintient le défaut requis et<br />

octroyé contre les citées qui n'ont pas comparu à l'audience ni personne pour elles; pour<br />

le profit, dit et déclare que c'est illégalement que les citées, les dames Mamoune Louis<br />

Juste, Rémy Kettelie et Marcus Céac occupent la maison du requérant. En conséquence,<br />

ordonne leur expulsions des lieux; condamne les citées solidairement l'une pour l'autre<br />

à dix mille gourdes de dommages-intérêts et honoraires des avocats poursuivants aux<br />

termes des articles 1168-1169 du Code Civil; Commet l'huissier Monétoile DELUSCA pour<br />

la signification de ladite sentence par défaut avec commandement.<br />

Ainsi Jugé et prononcé par nous, Me. Michel FORGEAS, S/ Juge de paix de la Commune<br />

de Carrefour, en audience civile et publique du mardi dix-septième jour du mois de<br />

Décembre deux mille dix-neuf, An 216e de l'Indépendance, avec l'assistance du Greffier<br />

du siège, le sieur<br />

Frantz BAZELAIS.-<br />

Il est ordonné etc... En foi de quoi etc...<br />

Me. Smith POLICIER AVOCAT<br />

PAR CES MOTIFS<br />

AFFAIRE DU SIEUR RAPHAEL THEARD CONTRE<br />

LES SIEURS MARIUS GAMA, MICKERLANGE<br />

PIERRE ET BELAMOUR JEAN<br />

Le Tribunal après en avoir délibéré conformément à la loi, maintient le défaut requis et<br />

octroyé contre les cités qui n’ont pas comparu à l'audience ni personne pour eux; pour le<br />

profit, dit et déclare que c'est illégalement que les cités Marius Gama, Mickerlange PIERRE<br />

et Bélamour JEAN ont déposé trois abris provisoires sur la propriété du requérant. Fait<br />

injonction à ces derniers d'enlever leurs trois abris sur ladite propriété. En conséquence,<br />

ordonne purement et simplement leurs expulsions des lieux. Condamne solidairement les<br />

cités l'un pour l'autre à vingt mille gourdes de dommages-intérêts et honoraires des<br />

avocats poursuivants aux termes des articles 1168-1169 du Code Civil; les condamne enfin<br />

aux frais et dépens. Commet l'huissier Monétoile DELUSCA pour la signification dudit<br />

jugement avec commandement. Ainsi jugé et prononcé par nous, Me. Michel FORGEAS, S/<br />

Juge de Paix de la Commune de Carrefour, en audience civile et publique du mar di<br />

dix-septième jour du mois de Décembre deux mille dix-neuf. An 216e de l'Indépendance,<br />

avec l'assistance du sieur Fantz BAZELAIS, le Greffier du siège<br />

Il est ordonné... etc... En foi de quoi ...etc...<br />

Me. Smith POLICIER AVOCAT<br />

PAR CES MOTIFS<br />

le Tribunal déclaré les époux Pierre André Simon et Lucienne Pierre Charles Simon ayant<br />

pour mandataire Monsieur Roky Fadoul propriétaires de la propriété située sur l'habitation<br />

Duplan, section-murale de Bellevue la montagne, commune de Pétion-ville d'une superficie<br />

de sept mille huit cent vingt-trois mètres carrés quarante neufs décimètres carrés<br />

cinquante centimètres ou soixante centièmes soixante-trois millièmes de carreaux de terre,<br />

borné au nord par les héritiers Pierre Philippeau au sud par qui de droit et Madame<br />

Polynice; à l'est par Paul Vericain et à l'ouest par Meristil Saintime et les héritiers Pierre<br />

Phillipeau; ordonne l'expulsion des défendeurs et la démolition des construction s’y<br />

érigées; condamne les défendeurs à verser au demandeur la somme de quatre cents mille<br />

gourdes de dommages-intérêts; accorde l'exécution provisoire sans caution: condamne les<br />

défendeurs aux entiers dépen: Commet l'huissier Jean Gary Joseph pour la signification.<br />

Donné de nous, Maudelair Barthelus, juge en audience publique et ordinaire du jeudi<br />

neuvième jour du mois de novembre de l'année deux mille vingt-trois, An 2020èm de<br />

l'indépendance, en présence de Me Romain Orange Remy Valon, Substitut Commissaire du<br />

Gouvernement près de ce ressort, représentant du ministère Public assisté de Pierre Oussel<br />

Beauport, greffier en siège, ministère de Garry Joseph, huissier immatriculé au greffe du<br />

Tribunal<br />

Il est ordonné....etc....<br />

En foi de quos.... etc...<br />

Pour le Cabinet:<br />

Me Moise ELIUS, Av<br />

Me Marc-Henry PIERRE-LOUIS, Av<br />

PAR CES MOTIFS<br />

Après l'examen le Ministère public maintient le défaut octroyé<br />

contre le défendeur à l'audience précipitée pour le profit déclare<br />

fondée la dite action. Admet en conséquence le divorce de la dame<br />

Patricia DEROSIER d'avec son époux Ody JEAN pour injures graves et<br />

publiques aux torts de l'époux, Prononce la dissolution des liens<br />

matrimoniaux ayant existé entre lesdits époux. Ordonne à l'officier<br />

de l'état civil de la Commune d'Aquin de transcrire sur les registres<br />

à ce destinés le dispositif du présent jugement dont un extrait sera<br />

inséré dans l'un des quotidiens s'éditant à la Capitale sous peine de<br />

dommages in envers les s'il y echet commet huissier Jean Inais<br />

Octave, pour le signification de ce jugement.<br />

Ainsi jugé et prononcé par nous, Me. Osmond CASTOR, Juge en<br />

audience civile et publique, en audience du neuf février deux mille<br />

vingt et un en présence de Me Holiha JACQUET, Substitut Commissaire<br />

du Gouvernement de ce ressort avec l'assistance du Greffier<br />

Jean Claude NOVEMBRE , Greffier<br />

PAR CES MOTIFS<br />

Après examen et sur les conclusions conformes du Ministère Public, le Tribunal au vœu de<br />

la loi, maintien le défaut requis et octroyé à l'audience contre le défendeur pour faute de<br />

comparaitre; pour le profit accueille l'action de la demanderesse, la dame Juanito<br />

THEBAUD, femme née Bethune DESINOR vu que cette demande est juste et fondée; admet<br />

le divorce des époux Juanito THEBEAUD, femme née Bethune DESININOR pour injures<br />

graves et publiques et aux torts exclusifs de l'époux prononce Ia dissolution des liens<br />

matrimoniaux ayant existés entre eux: Ordonne à l'officier de l'Etat Civil de Petit-Goâve,<br />

section Nord de transcrire sur les registres à ce destinés le dispositif du présent jugement:<br />

dit qu'un extrait sera publié dans l'une des colonnes d'un quotidien s'éditant à la capitale<br />

sous peine de dommages-intérêts envers les tiers s'il y échet; Commet le sieur Jean<br />

Fruisner MONICE, huissier de notre Tribunal pour la signification du présent jugement;<br />

Compense les dépens, vu la qualité des parties<br />

Rendu par nous, Me Fritzner DUCLAIR, Doyen du Tribunal de Première Instance de<br />

Petit-Goâve en audience publique civile de divorce ce jourd'hui treize Février deux mille<br />

vingt- trois (13 Février <strong>2023</strong>), en présence de Me Jean Fritz Patterson DORVAL Substitut<br />

Commissaire du Gouvernement de ce ressort, assisté du sieur Christophe BONBON, Greffier<br />

du siège.-<br />

Il est ordonné ...ETC....<br />

En foi de quoi....ETC....<br />

Jean Dulsone NONCENT<br />

PAR CES MOTIFS<br />

Le Tribunal, après examen sur les conclusions du Ministère Public entendu<br />

maintient le défaut octroyé contre la défenderesse à l'audience précitée,<br />

pour le profit, déclare fondée la dite action, admet en conséquence le<br />

divorce du sieur Fritz DORCÉUS, d'avec son épouse Kenferle METELLUS,<br />

pour injures graves et publiques, aux torts exclusifs de l'épouse; prononce<br />

la dissolution des liens matrimoniaux existant entre lesdits époux ; Ordonne<br />

à l'Officier de l'Etat Civil de la commune de Thomazeau de transcrire dans<br />

ses registres à ce destinés, le dispositif du présent jugement dont un extrait<br />

sera inséré dans l'un des quotidiens s'éditant à la Capitale sous peine de<br />

dommages intérêts envers les tiers s'il y échet; Commet l'huissier Jacob<br />

MÉDÉ, de ce Tribunal pour la signification de ce jugement.<br />

Ainsi jugé et prononcé par nous, Magistrat Pluviose SILIEN, Juge en<br />

audience civile ordinaire du treize octobre deux mille vingt-et-un, en<br />

présence de Me. Roger SIMPLICE, Substitut Commissaire du Gouvernement<br />

de ce ressort, avec l'assistance de Me. Adrien Daniel,<br />

Greffier du siège<br />

Il est ordonné ....ETC...<br />

En foi de quoi ....ETC....<br />

PAR CES MOTIFS<br />

Le Tribunal après examen, le Ministère Public entendu, maintient le défaut<br />

octroyé contre le défendeur à l'audience précitée, pour le profit, déclare<br />

fondée la dite action. ADMET en conséquence, le divorce du sieur Fritzner<br />

JOSEPH d'avec son épouse née Daphnée LOUVERTURE pour injures graves<br />

et publiques aux torts de l'époux. Prononce la dissolution des liens matrimoniaux<br />

ayant existé entre lesdits époux; ordonne à l'Officier de l'Etat Civil<br />

de la Section Sud de Port-au-Prince de transcrire sur les registre à ce<br />

destinés le dispositif du présent jugement dont un extrait sera inséré dans<br />

l'un des quotidiens s'éditant à la capitale sous peine de dommages et<br />

intérêts envers les tiers s'il y échet. Commet l'huissier Vilneret GABRIEL de<br />

ce siège pour la signification de ce jugement. Compense les dépens.<br />

Ainsi jugé et prononcé par nous, Nelson CILIUS, Juge en audience civile,<br />

ordinaire et publique du jeudi vingt-cinq Mars deux mille vingt et un, en<br />

présence de Me. Jean Rolex MEROVÉ, Substitut Commissaire du Gouvernement<br />

de ce ressort et avec l'assistance du sieur Mozart TASSY, Greffier.-<br />

Il est ordonné ... ETC...<br />

En foi de quoi ... ETC…<br />

Vol 17 # 26 • Du <strong>27</strong> Décembre <strong>2023</strong> au 2 Janvier 2024<br />

<strong>Haiti</strong> Liberté/<strong>Haiti</strong>an Times<br />

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