EDITO Chères lectrices,
EDITO Chères lectrices, chers lecteurs, Lorsque l’on parle d’innovation, on pense surtout aux innovations technologiques. Et elles sont nombreuses en médecine. Notre hôpital dispose par exemple d’un robot Da Vinci qui est utilisé aujourd’hui surtout pour la chirurgie de la prostate. Les chirurgiens orthopédistes bénéficient eux aussi de l’assistance d’un robot. Et la pharmacie en utilise un pour la distribution des médicaments. Mais l’innovation va encore bien au-delà de cela. Elle a atteint sa vitesse de croisière dans des domaines comme le diagnostic moléculaire et l’intelligence artificielle en radiologie. Et elle est en train de changer la façon dont les patients circulent dans l’hôpital. L’innovation se situe aussi au niveau de la coopération modernisée entre l’hôpital, les médecins hospitaliers, les médecins généralistes et les patients. Le patient a accès à son dossier via Mynexuzhealth et le médecin généraliste peut également consulter le dossier de l’hôpital. Le fil rouge dans toutes ces évolutions ? Nous n’innovons pas pour le plaisir d’innover. C’est pour que les soins prodigués à nos patients soient encore meilleurs, plus sûrs et plus efficaces. La technologie, les machines et les ordinateurs doivent toujours être au service de l’humain. L’avenir n’a pas seulement l’air beau, il l’est vraiment. Dr. Jan Capoen, président du Conseil médical
contenu 06 Chirurgie thyroïdienne 09 La COVID-19 en chiffres 10 Nouveaux médecins 13 Conseils nutritionnels 14 Fièvre du voyage Le nouveau robot pharmaceutique mémorise le code-barres unique figurant sur chaque emballage de médicament et le compare aux numéros de série contenus dans une base de données européenne. De cette manière, l’hôpital se conforme automatiquement à la législation sur les médicaments falsifiés imposant à tout pharmacien l’obligation de vérifier l’authenticité des médicaments. Lisez tous les numéros d’Y-mail 3
