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Le pilote Dominique<br />
Pihan en mode « eauld »<br />
school : on lui avait<br />
promis du sable, c’est<br />
finalement avec<br />
l’élément liquide qu’il<br />
doit lutter.<br />
FLAVIEN DUHAMEL/RED BULL CONTENT POOL, MAINDRU<br />
La météo : fatale ou géniale<br />
Il ne faut pas s’attendre à faire bronzette lors d’un week-end d’Enduro. La<br />
manifestation se déroule au creux de l’hiver et la météo est une source d’inquiétude<br />
pour tous les acteurs. En cas d’intempéries, une baisse de fréquentation du public est<br />
redoutée par les professionnels du tourisme et les commerçants. D’un point de vue<br />
sportif, le froid, la pluie et le vent malmènent les organismes et les mécaniques, ce qui<br />
influe inévitablement sur le résultat final. Surtout, la sécurité des pilotes est en jeu.<br />
L’acte 2012 en est une parfaite illustration. Ce 5 février, Le Touquet s’est réveillée sous<br />
un épais manteau neigeux. Malgré la démonstration de force des services municipaux,<br />
l’Enduropale s’est déroulé dans des conditions extrêmes devant un public clairsemé.<br />
Par crainte de blessures, les forfaits de dernière minute et les abandons précoces<br />
furent nombreux… Un an plus tard, en raison de vents violents, la marée a envahi le<br />
parcours et provoqué un arrêt forcé de la course comme en 1989 et 2007. A contrario,<br />
un air d’été planait sur l’édition 2019. Allez comprendre…<br />
THE RED BULLETIN 71