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tients. Cause iatrogène 4/4, 2 après ostéosynthèse de l‘EDR, un après cure de
Quervain et un après arthroplastie TM pour rhizarthrose. Symptômes: paresthésies
sur la face dorsale de la première commissure et hyperesthésie très marquée
4/4. Technique opératoire: Incision longitudinale longue. Mise en évidence du
nerf en amont et en aval de la lésion. Neurolyse sous grossissement optique. Prélèvement
d‘un long segment de veine superficielle. La veine est fendue sur toute
sa longueur. Enrobement du nerf neurolysé par la veine, puis suture microchirurgicale
au Nylon 9.0 complétée par une goutte de colle fibrine.
Résultat : Régression progressive des symptômes (4/4), complète (2/4) ou partielle
(2/4).
Cuénod P. (Genève)
FM 20: Anatomie des rameaux nerveux cutanés dans les voies d’abord pour chirurgie de la
rhizarthrose
Introduction : L‘articulation trapézo-métacarpienne(TM) est abordée soit par voie
antérieure, soit postéro-externe (Sirotakova, J Hand Surg 32A (2007)). De nombreux
rameaux nerveux proviennent du rameau superficiel du nerf radial (NRS),
du nerf cutané latéral de l‘avant-bras (NCLA) et du rameau cutané palmaire du
nerf médian (RCPNM). Leur section peut provoquer des névromes douloureux.
Méthode : Nous avons disséqué 25 avant-bras/mains de cadavres afin d‘identifier
ces rameaux et les situer par rapport aux repères suivants: Emergence du NRS, styloïde
radiale, articulation TM et articulation métacarpo-phalangienne (MP).Tous
les rameaux antérieurs du NRS s‘épuisent avant de rencontrer le RCPNM.
Résultats : Dans 24% des dissections, un entrecroisement des rameaux du NCLA
sur les rameaux du NRS a été constaté au-delà du processus styloïde.
En nous fiantaux repères osseux, nous n‘avons pas pu mettre en évidence une voie
d‘abord qui permette d‘épargner chirurgicalement les rameaux sensitifs nerveux de
manière sûre lors de la chirurgie trapézo-métacarpienne.
Kämpfen S., Hadj-Sadok D., Beaulieu J.Y., Chammas M. (Genève; Montpellier, FR)
FM 21: Distale Neurotisation bei hoher Ulnarisläsion: Resultate bei sieben Patienten
Einführung: Die hohe Läsion des Nervus ulnaris führt in aller Regel zu einem
schlechten funktionellen Resultat. Die kombiniert sensomotorische distale Neurotisation
wurde als mögliche Lösung vorgeschlagen.
Methode: Bei sieben Patienten mit hoher Ulnarisläsion wurde neben der Naht des
Nervenstamms eine distale Neurotisation durchgeführt. Als Vergleich wurde der
Verlauf bei neun mit Direktnaht und submuskulärer Vorverlagerung versorgten
Patienten evaluiert. In beiden Gruppen wurde das funktionelle Resultat klinisch
dokumentiert, elektroneurographisch erfasst und zusätzlich der DASH-Score erhoben.
Resultate: Nach distaler Neurotisation ist nur bei einem der sechs Patienten ein
günstiger Verlauf zu dokumentieren.
Schlussfolgerung: Für eine definitive Aussage hinsichtlich des Nutzens der distalen
Neurotisation ist unser Patientenkollektiv zu uneinheitlich und die Datenlage
noch zu bescheiden. Eine definitiv vorbehaltlose Unterstützung der Methode
scheint aber verfrüht.
Hess C., Guggenheim M., Tami I., Schiller A., Calcagni M.,
Giovanoli P. (Zürich)
FM 22: Regenerative Zellen zur peripheren Nervenregeneration
Hintergrund: Zur Schaffung eines artifiziellen Nervenersatzes ist es optimal, ein
Konduit aus resorbierbarem Material zu verwenden, welches mit axonstimulierenden
Zellen wie Schwann-Zellen oder modifizierbaren Stammzellen besiedelt
ist. Idealerweise beinhaltet die Beschichtung Fibrin und Zellen zur Aktivierung
der Axonsprossung. Wir verwenden verschiedene regenerative Zellen und zum
ersten Mal in der Literatur auch Stammzellen aus Fettgewebe (Adipose Stem
Cells=ASC). Diese Zellen haben eine besonders niedrige Donormorbidität und
können in vitro zu Schwann-Zell-Analoga differenziert werden.
Methode: Die vorliegende Arbeit zeigt eine neue Methode zur Analyse eines
Nervendefekts am Ischiadicus bei der Ratte.
Ergebnisse: Anhand von Quantifikationsmodell und Immunohistochemie wird gezeigt,
dass undifferenzierte (uMSC), differenzierte (dMSC) und (ASC) mesenchymale
Stammzellen (Schwann-Zell-Analoga) sowie Schwann-Zellen (SC) der Sprague-
Dawley © -Ratte die Nervenregenaration fördern.
di Summa P., Kingham P., Raffoul W., Wiberg M., Terenghi G.,
Egloff D., Kalbermatten D. (Lausanne; Manchester, UK; Umea, SE)
FM 23: Valeur de l’ENMG dans l’évaluation du risque de douleurs neurogènes après tunnel
carpien opéré
But : étude rétrospective de la valeur prédictive des paramètres électrodiagnostiques
(ENMG) préopératoires pour repérer la survenue de douleurs de
réinnervation (DR) après cure de tunnel carpien (TC) chez les patients de
plus de 75 ans.
Méthode : analyse par régression uni- et multivariée des caractéristiques cliniques
et ENMG de 330 cas (276 patients) consécutifs opérés électivement au CH8.
Résultats : l‘âge, le sexe, les douleurs préopératoires, la vitesse de conduction
sensitive (VCS) et la latence motrice distale (LDM) se sont avérées significativement
différentes entre le groupe avec DR (n=23) et le groupe sans (n=307).
Les seuils de discrimination maximale ont été calculés à des valeurs < à 15 m/s
pour la VCS et > à 6.2 ms pour la LDM (Likelihood Ratio). L‘analyse multivariée
a montré que la LDM (Odds Ratio: 2.41), la VCS (1.86) et l‘âge (1.12) de
manière proportionnelle au nombre d‘années étaient les facteurs prédictifs les
plus spécifiques de la survenue de DR.
Conclusions : Le patient âgé avec une VCS < 15 m/s et une LDM > 6.2 ms
doit être informé du risque augmenté de douleurs neurogènes postopératoires.
Dunand N. (Genève)
universimed.com
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