III. BILDENDE KUNST - J.A. Stargardt

III. BILDENDE KUNST
„son buste en marbre des Pyrennees“
492 DAVID D’ANGERS, Pierre Jean, 1788 – 1856. E. Br. m. U. Paris 6.II.1841. 3 S. gr.-8 o .
Mit Adresse. Minimal fleckig. Kleine Montagereste am Oberrand der 2. Seite. (800.—)
Beileidsschreiben an „Monsieur Le Fauconnier“ in Tarbes, die Hinterlassenschaft seines Freundes, des
in Tarbes gebürtigen Politikers und Journalisten Bertrand Barère de Vieuzac betreffend, der am 13. Januar
gestorben war. – Barère de Vieuzac war das letzte noch lebende Mitglied des Wohlfahrtsausschusses
gewesen.
„... Quoique l’age avancé et l’etat maladif de Mr Barrère [sic] ayant depuis longtems donnés de graves
inquietudes à ses [?] amis cependant la nouvelle de sa mort nous a été bien penible et comme vous devez
la comprendre facilement ce coup a été profondement senti par moi qui lui avais voué une amitie et un
dévouement sans bornes et a qui il avait donné tant et si souvent des preuves de sa bienveillance ...
Actuellement il nous reste à accomplir un devoir sacré pour la mémoire de Mr Barrère, et l’on peut être
sur que vous vous en acquitterez dignement, de mon coté aussi vous pouvez être sur que je m’occupe activement
des moyens de réaliser ses volontés ...“
In einem Nachsatz heißt es: „... selon le voeu exprimé par Mr Barrère je donnerai son buste en marbre
des Pyrennees à la mairie de la ville de Tarbes, c’est un de ses desirs qu’il me sera agréable de realiser...“
493 DEGAS, Edgar, 1834 – 1917. E. Br. m. U. „Degas“. O.O.u.D. 1 2 ⁄3 S. 8 o . Rechts schwacher
Lichtrand. (1.200.—)
Wohl an den Bankier und Kunstsammler Charles E p h r u s s i , einen frühen Förderer des Impressionismus.
„... Je ne croyais pas que l’art attendait une réponse. – Il avait par votre aimable entremise fait connaitre
ses conditions et ses dispositions. – C’est vous que j’avais à remercier, pas lui – J’irai tout de même causer
un jour avec lui.
Merci pour le fauteuil. J’irai quoique je suis bien fatigué de mes damnés yeux ...“
In einem Nachsatz fügt er hinzu: „Nous avons dû reculer notre parution parceque Salmon“ (die Pariser
Druckerei A. Salmon) „... n’avait pas la plus petite presse pour nous.“
494* — E. Br. m. U. „Degas“. O.O. „Mercredi matin. 10 Jiullet“ o. J.1 2 ⁄3 S. 8 o . Tinte auf der
2. Seite leicht verblaßt. Schwach gebräunt. Kleine Randläsuren (Montagereste am rechter
Rand). (800.—)
Wohl an den Galeristen (Charles) Deschamps in London, in einer unklaren Zahlungsangelegenheit. –
Deschamps leitete in London die Galerie von Paul Durand-Ruel, der während des deutsch-französischen
Krieges von 1870/71 von Paris nach London geflohen war.
„... Je ne comprends pas non plus la valeur du chèque de Mr Galloway“ (Charles G., ein Ingenieur aus
Manchester und Kunstsammler). „Vous devez avoir un reçu de moi des 2000 frcs qu’il m’avait envoyés
d’avance et dans lequel il est mis que c’est un àcompte sur 150 livres sterling, c’est à dire 3750 frcs / c’était
donc 1750 frcs qu’il restait mon devoir.
Je ne reçois que 1604. 80 c. Dites lui qu’il s’est trompé, mais faites lui aussi tous mes remerciements ...“
Siehe die Abbildung auf Seite 271.
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