Le vieil avion gris s'éleva en douceur dans le ciel ... - Lobsang Rampa
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au maximum. En vérité, cela détraque votre psyché. Si<br />
donc vous vou<strong>le</strong>z faire des progrès spirituels, écoutez<br />
plutôt <strong>le</strong>s vieux maîtres, <strong>le</strong>s classiques, cette musique<br />
que la jeune génération n'écoute pas et n'a peut-être<br />
jamab écoutée parce que <strong>le</strong>s jeunes p<strong>en</strong>s<strong>en</strong>t que tout ce<br />
qui touche de près ou de loin à 1'« establishm<strong>en</strong>t » est<br />
contraire à <strong>le</strong>ur intérêts.<br />
Il se passe à peu près la même chose avec la radio d'à<br />
prés<strong>en</strong>t. On essaye d'écouter un bon programme de<br />
musique et une voix vous interrompt soudain (sur <strong>le</strong><br />
contin<strong>en</strong>t nord-américain, tout au moins) pour vous<br />
faire savoir sur un ton hystérique que <strong>le</strong>s pilu<strong>le</strong>s Machin<br />
guériss<strong>en</strong>t tout depuis la constipation jusqu'aux cors aux<br />
pieds. Or, c'est très mauvais - pas la constipation ni <strong>le</strong>s<br />
cors aux pieds - mais ces publicités hystériques et<br />
tonitruantes car el<strong>le</strong>s détruis<strong>en</strong>t <strong>en</strong>tièrem<strong>en</strong>t <strong>le</strong>s vibrations<br />
apaisantes que produit la bonne musique. Aussi, si<br />
vous vou<strong>le</strong>z écouter de la bonne musique, écoutez-la<br />
<strong>en</strong>registrée sur disques ou sur bandes magnétiques pour<br />
éviter qu'un jeune homme hystérique vi<strong>en</strong>ne vous corner<br />
aux oreil<strong>le</strong>s <strong>le</strong> chant d'amour d'un produit pharmaceutique.<br />
« Docteur <strong>Rampa</strong>, me dit cette <strong>le</strong>ttre, vous avez écrit<br />
quatorze livres jusqu'à prés<strong>en</strong>t. Al<strong>le</strong>z-vous continuer<br />
d'écrire ? Je p<strong>en</strong>se que vous devriez continuer, je p<strong>en</strong>se<br />
que vous devriez continuer jusqu'à la fin. »<br />
Vous par<strong>le</strong>z de quatorze livres, Madame. Celui-ci,<br />
Crépuscu<strong>le</strong>, est <strong>le</strong> quinzième. Et pourquoi n'<strong>en</strong> écrirais-je<br />
pas d'autres <strong>en</strong>core comme vous <strong>le</strong> suggérez ?<br />
Après tout, je pourrais peut-être al<strong>le</strong>r jusqu'à «minuit ».<br />
Qui sait ? Cela dép<strong>en</strong>d de la demande du public car un<br />
éditeur ne publie que s'il eiste une demande et ri<strong>en</strong> ne<br />
garantit à un auteur que son œuvre sera acceptée. Un<br />
écrivain est comme un aveug<strong>le</strong> : il doit tâtonner. Aussi,<br />
si vous vou<strong>le</strong>z d'autres livres, pourquoi ne <strong>le</strong> demandez-<br />
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