Le vieil avion gris s'éleva en douceur dans le ciel ... - Lobsang Rampa
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questions personnel<strong>le</strong>s. Ils veul<strong>en</strong>t, par exemp<strong>le</strong>, connaître<br />
mon âge, ce qui ne regarde personne. On me<br />
demande parfois si j'ai une p<strong>en</strong>sion-<strong>vieil</strong><strong>le</strong>sse et je suis<br />
<strong>en</strong> mesure de répondre que je n'ai pas pu l'obt<strong>en</strong>ir pour<br />
une raison curieuse. l'ai passé un certain temps <strong>en</strong><br />
Amérique du Sud et. n'ayant pas remis <strong>le</strong>s pieds au<br />
Canada p<strong>en</strong>dant dix ans, on ne m'a pas accordé ma<br />
p<strong>en</strong>sion. Aussi, <strong>le</strong>s citoy<strong>en</strong>s âgés aimeront peut-être<br />
savoir que, <strong>en</strong> vertu des lois canadi<strong>en</strong>nes, il faut avoir<br />
résidé sans interruption au Canada p<strong>en</strong>dant dix années<br />
- même si l'oh est naturalisé - pour bénéficier de la<br />
retraite-<strong>vieil</strong><strong>le</strong>sse. En 1975, j'aurais mes dix ans p<strong>le</strong>ins de<br />
sorte que, si je suis <strong>en</strong>core <strong>en</strong> vie, je devrai signer une<br />
procuration grâce à laquel<strong>le</strong> quelqu'un d'autre pourra<br />
toucher ma p<strong>en</strong>sion à ma place puisque je suis incapab<strong>le</strong><br />
de me déplacer pour ce faire.<br />
On m'a demandé aussi si Mme <strong>Rampa</strong> vivait toujours<br />
avec moi. J'étais sur <strong>le</strong> point de répondre : « Evidemm<strong>en</strong>t<br />
!» mais <strong>en</strong> une époque comme la nôtre où l'on<br />
divorce pour un Qui ou pour un non, ce n'est pas<br />
tel<strong>le</strong>m<strong>en</strong>t évid<strong>en</strong>t, n'est-il pas vrai ? Je réponds donc :<br />
Mme <strong>Rampa</strong> vit avec moi de même que Bouton d'Or,<br />
Mme S.M. Rouse, qui est véritab<strong>le</strong>m<strong>en</strong>t un membre, et<br />
un membre très important, de la famil<strong>le</strong>.<br />
Il m'arrive de recevoir d'Australie des <strong>le</strong>ttres injurieuses.<br />
Un certain Samuels m'a un jour écrit de là-bas pour<br />
me dire sur un ton fort déplaisant que Mme <strong>Rampa</strong><br />
n'ouvre pas la bouche et que si je n'étais pas un<br />
charlatan, pourquoi ne <strong>le</strong> disait-el<strong>le</strong> pas ?<br />
En fait, el<strong>le</strong> l'a dit, et bi<strong>en</strong> des fois. Mais voici ce que<br />
je me propose de faire : je vais laisser Mme <strong>Rampa</strong><br />
comm<strong>en</strong>cer <strong>le</strong> prochain chapitre. Ainsi pourra-t-el<strong>le</strong> dire<br />
ce qu'il \ui plaira sans que je lui souff<strong>le</strong> quoi que ce soit<br />
ou que je guide sa main. Monsieur l'Editeur, voudriezvous<br />
donc, je vous prie, mettre un peu de musique douce<br />
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