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Co-destinée Communication (Électroniques ? Face à face ?) Réputation Culture de partenariat Déterminants des mécanismes comportementaux Confiance hâtive Mécanismes comportementaux de contrôle FONCTIONNEMENT GÉNÉRAL DE L’ORGANISATION VIRTUELLE Zone de contrôle Contrat (électronique ?) Gouvernance trilatérale Planification Feedback préplanifié (électronique ?) Mécanismes instrumentaux de contrôle Figure 2. Cadre conceptuel du contrôle de l’organisation virtuelle Législation Infrastructure technologique Déterminants des mécanismes instrumentaux
Pour constituer notre population d’experts, nous avons procédé à des recherches sur la base de données STRATEGIS, sur Internet et auprès de personnes ressources (professeurs chercheurs et gens d’affaires) dans notre entourage immédiat. Il faut dire, à ce niveau, que ce sont les deux premiers moyens qui ont été les plus généreux en matière de résultats. Le questionnement de la base de données STRATEGIS nous a permis de récupérer les coordonnées des entreprises canadiennes impliquées dans des alliances. Au total 252 entreprises ont été repérées. Sur ce nombre, 61 entreprises ont été éliminées à cause, soit de la disparition de l’entreprise, soit que ses coordonnées n’étaient pas actualisées sur STRATEGIS. Nous avons ainsi contacté, par courriel, les dirigeants des 191 entreprises restantes pour leur demander s’ils ont déjà utilisé le modèle de l’organisation virtuelle et dans l’affirmative s’ils acceptent de participer à notre étude. À chaque courriel étaient jointes deux lettres, une en français et une en anglais, qui expliquent sommairement le contexte de la recherche avant de solliciter la collaboration de l’entreprise. Sur les 191 entreprises contactées, seulement 12 ont répondu à notre appel (taux de réponse d’environ 6%), dont 7 de façon favorable et 5 de façon défavorable (soit que l’entreprise n’a jamais été membre d’un réseau temporaire, soit que les dirigeants n’ont pas le temps nécessaire pour participer à notre recherche). Par rapport au second moyen utilisé pour constituer notre population cible (Internet), nous avons contacté les membres du comité de rédaction de la revue Virtual Organization Net (VoNet) ; une revue électronique sur l’organisation virtuelle publiée en ligne à l’adresse URL : www.virtual-organization.net. Nous avons également lancé un message sur les forums Networks of SMEs et Research Opportunities offerts sur son site Internet. Notre objectif était de recueillir des suggestions par rapport à des entreprises virtuelles que les membres de la revue connaissent ou à propos desquelles ils ont déjà eu un écho. Parallèlement à ces actions, nous avons entrepris pendant une semaine des recherches intensives sur Internet afin de repérer des réseaux virtuels. Cette démarche a été très fructueuse. En effet, suite aux suggestions recueillies et aux recherches sur le Web, nous avons pu repérer plus de 200 projets virtuels internationaux et ce, à cic.vtt.fi/links/euproj et www.vive-ig.net/default_resprj.htm notamment. Quant au troisième moyen de recherche (i.e. contact de personnes ressources), aucune entreprise ne s’en est issue. Ainsi, notre population de départ est composée aussi bien d’experts praticiens que d’experts chercheurs. Les premiers sont les gestionnaires des entreprises repérées dans STRATEGIS et de celles membres des projets virtuels saisies sur Internet. Ces experts proviennent notamment de l’Europe, de l’Amérique du Nord et de l’Asie. Les seconds sont les membres du comité de rédaction de la revue VoNet (ils ont tous plusieurs publications sur l’organisation virtuelle) et d’autres auteurs identifiés à partir de la littérature existante. Sur les 907 personnes contactées, 159 ont été éliminées à cause d’adresse de courriel invalide et 25 experts ont été par la suite ajoutés suivant les suggestions recueillies auprès des experts initialement retenus. Sur les 773 experts qui ont été définitivement approchés et sollicités pour participer à notre étude, seulement 94 ont répondu à l’appel, ce qui donne un taux de réponse de 12.2 %. Parmi ces 94 réponses
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