Morsi veut impliquer l'armée P.9 - Liberté

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22 L’Algérie profonde BRÈVES de l’Est JIJEL Les robinets de la cité des 400-Logements à sec Les habitants de la cité des 400-Logements dans le quartier du camp Chevalier au centreville de Jijel souffrent depuis déjà trois jours d’un manque d’eau potable. Les habitants de cette cité nous ont fait part de leur mécontentement quant à cette situation qui les a poussées à acheter de l’eau des camionsciternes aux prix de 800 DA, selon les déclarations des habitants. “Je pense que les responsables pouvaient nous avertir à l’avance de cette coupure inexpliquée pour qu’on puisse prendre nos précautions”, dira un habitant de la cité. “J’habite au 4e étage, je n’ai pas de réservoir et je suis incapable de ramener un camion-citerne chez moi à ce prix-là”, ajoutera-t-il. Selon les habitants, les propriétaires des camions-citernes se sont frotté les mains dès qu’ils ont appris la pénurie d’eau. En attendant l’intervention des services compétents, les robinets restent à sec et les résidants de cette cité continuent à payer le prix. MOULOUD SAOU KHENCHELA Plus de 4000 artisans recensés Dans sa dernière opération de recensement arrêtée au 30 novembre 2012, la Chambre de l'artisanat traditionnel et des métiers de Khenchela, fait état d'un effectif de plus de 4000 artisans, activant à travers le territoire de la wilaya. Ce dernier recensement dégage un énorme accroissement, soit près de 3 fois de plus par rapport à l’objectif. Avec la redynamisation de l'activité de la Chambre de l'artisanat traditionnel et des métiers, de nombreux artisans affiliés à la Chambre furent soutenus à participer aux différentes manifestations économiques, commerciales, ou culturelles, organisées en 2011 et 2012, à l'échelle du territoire national et se rapportant à l'action de la promotion de l'artisanat traditionnel national. La participation de Khenchela, a-t-on rappelé, à Saint-Johanne en Autriche où les artisans ont eu l’opportunité d’exposer leurs produits, notamment le tapis de Babar et le miel de Chechar durant 5 jours. M. Z. BORDJ BOU-ARRÉRIDJ Mandat de dépôt pour un Malien Pour immigration clandestine et faux et usage de faux, le magistrat instructeur près le tribunal de Bordj Bou-Arréridj a placé, en fin de semaine dernière, sous mandat de dépôt un immigrant subsaharien de nationalité malienne, répondant aux initiales M. K., âgé de 34 ans, avons-nous appris de source proche de l’enquête. Introduit clandestinement en territoire national avec de faux papiers des services du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR). CHABANE BOUARISSA Le RND préside l’APC C’est M. Salim Aribi, un élu RND, qui a été élu, hier, par les membres de l’Assemblée populaire communale de Bordj Bou-Arreridj, comme président de l’assemblée pour les cinq années à venir. Ce qui est une surprise puisque son parti n’avait que 7 sièges, mais l’alliance avec les autres partis a joué pour lui. Il a obtenu 14 voix. Le candidat du FLN pourtant majoritaire avec 8 sièges n’a récolté que 9 voix. Pour rappel, l’APC de Bordj Bou Arréridj compte cette fois-ci 33 sièges : FLN 8, RND 7, PT 5, El- Karama 5, l’Alliance verte 4 et FNJS 4. CHABANE BOUARISSA APW DE BATNA Le RND aux commandes Après une première assemblée infrestueuse qui a eu lieu le 8 décembre 2012, pour désigner le président de l’Assemblée populaire de la wilaya de Batna, la journée du 9 décembre 2012 a connu un tournant inattendu au détriment du FLN qui était à deux doigts de la présidence. En effet grâce à des alliances, des fois contre nature, le groupe du Regroupement nationale de la démocratie a su profiter de certaines fissures que connaît l'ancien parti unique tout désigné pour le présidence. C'est à la différence de certains membres du FLN, pour des raisons et rancunes personnelles envers le candidat de leur parti que le l'ancien ministre de l'Energie, Amar Mekhloufi, tête de liste du RND, s'est vu installé après un vote houleux et des jeux de coulisses interminables. HAMATOU RACHID Mardi 11 décembre 2012 CONSTANTINE Un entrepreneur à la tête de l’APW LIBERTE À la place de l’enseignant d’université Cheriat tête de liste, c’est Abdelghani Yaïche, entrepreneur âgé de 48 ans, qui a été désigné. Une nomination inattendue qui n’a d’ailleurs pas été du goût des élus des autres formations. avant-hier du nouveau P/APW de Constantine au siège de la wilaya Souidani-Boudjemâa, simple formalité pour certains, a failli échapper au FLN. Ce dernier L’installation conserve la présidence de l’assemblée à l’issue d’un vote qui a tenu toutes ses promesses. Le FLN qui a remporté une petite victoire lors des élections – 16 sièges, suivi du RND 12, FFS 6, PT 5 et le FNL 4 – a retenu à la surprise générale un autre candidat pour se présenter à la présidence de l’APW : à la place de l’enseignant d’université Cheriat, tête de liste, c’est Abdelghani Yaïche, entrepreneur âgé de 48 ans qui a été désigné. Une nomination inattendue qui n’a d’ailleurs pas été du goût des élus des autres formations et qui l’ont fait savoir lors du vote pour l’élection de Yaïche, et ce, en rejetant cette candidature, 24 élus ont voté contre et 18 pour. Cette stratégie du FLN s’explique selon l’entourage du parti par rapport à l’approche des sénatoriales. M. Cheriat et son second sur la liste seraient les candidats idéals pour l’investiture du Sénat. Mais qu’importe, le FLN a tremblé et beaucoup de cadres et d’élus des autres partis semblaient ne pas vouloir appuyer un entrepreneur. Il fallait alors procéder à un deuxième vote avec la participation d’autres candidats en plus de celui du FLN. Seul le RND avec ses 12 sièges a postulé, son candidat Bouchoucha pouvait alors renverser la situation et prétendre à la présidence de l’APW. Chacun y allait de ses pronostics, et logiquement le renversement des alliances donnait le RND gagnant. Pourtant, beaucoup de choses se sont passées apparemment lors de la demi-heure de pause entre les deux tours. Dans le hall de l’APW, on murmurait que le FLN n’a pas encore dit son dernier mot. C’est un vote à suspense qui s’en est suivi, la tension était palpable entre les deux camps, et nous avons même assisté à une véritable guerre des nerfs que se sont livrés les secrétaires généraux des deux partis, assis l’un près de l’autre. Lors du dépouillement et alors qu’il ne restait qu’un bulletin, les deux partis étaient à égalité de 21 voix, le dernier bulletin dépouillé est revenu finalement au FLN. Mais d’ores et déjà, on peut tirer un premier enseignement : ce vote risque de renverser des alliances, en dépit de l’assurance du secrétaire de wilaya du RND, Saïd Redouane, qui était certes déçu mais qui nous a déclaré : “Nous sommes liés par un accord avec le FLN que nous devons respecter.” D’autres cadres Quand le mouhafedh s’érige en censeur ! Lors du vote qui opposait le FLN et le RND pour l’investiture de l’APW de Constantine, Driss Maghraoui, mouhafedh du FLN à Constantine, craignant sans doute une trahison de la part de ses 16 élus, n’a pas trouvé mieux que de se poster à deux mètres des urnes pour vérifier que tous ses membres ont bel et bien voté FLN. Chaque élu devait ainsi remettre le deuxième bulletin au mouhafedh qui se tenait discrètement derrière la porte de la salle de délibération de l’APW. Selon nos informations, seul un élu FLN a fait de la résistance et n’a pas voulu remettre le deuxième bulletin à Maghraoui. Cette manœuvre n’a pas plu au secrétaire de wilaya du RND, Saïd Redouane, qui était hors de lui et qui, à son tour, s’est positionné devant les urnes afin de veiller à ce que les autres élus ne soient pas intimidés. Le Drag, le wali et bien d’autres responsables de l’administration étaient en face et ont sans doute remarqué tout ce manège, sans pour autant agir. La nomination du nouveau président de l’APW n’a pas été du goût des élus. DRISS B. du RND que nous avons rencontrés nous ont expliqué que “naturellement, beaucoup de choses vont être revues, à commencer par les alliances avec le FLN dans les APC”. Jeudi aura lieu l’installation tant attendue au niveau des APC d’El- Khroub et de Constantine, nul doute que le FLN, qui aurait, dit-on, consolidé ses alliances avec des partis politiques dont le RND, sera en danger à El-Khroub face au FFS, dont les élus à l’APW ont soutenu la candidature RND. DRISS B. APRÈS 28 ANS DE RÈGNE Le FLN perd la présidence de l’APW de Souk-Ahras Les élections du P/APW de Souk-Ahras ont connu un retard en raison d'un différend sur le mode de scrutin. Les uns voulaient que les noms des candidats soient portés sur la même feuille alors que les autres préconisaient des feuilles séparées. Finalement après un débat houleux, un terrain d'entente a été trouvé. Le FLN a présenté Mohamed Messaâdia, exdéputé et actuel mouhafedh du FLN, alors que l'alliance RND-HMS a proposé Meraïssia Kaddour, un jeune universitaire de 33 ans (2e année universitaire informatique et gestion). Ce dernier remporte le vote avec 21 voix contre 17 pour le représentant du FLN qui vient de perdre la présidence de l'APW après 28 ans de règne. Quant à l'APC du chef-lieu elle est revenue au FLN avec 17 voix contre 16 pour le représentant de la coalition FLN-RND. Il est à noter que le grand gagnant de ces élections locales est le RND alors que le FLN qui comptait 12 APC en 2007 n'a pu pour le moment décrocher que 6 communes sur les 26 que compte la wilaya. FARROUKI HOCINE D. R.
LIBERTE Mardi 11 décembre 2012 ORAN Vote houleux et “front” anti-FLN Nouredine Boukhatem s’est prévalu du soutien de Belkhadem par un document officiel le désignant comme candidat officiel du parti. Dimanche après-midi, deux lieux hautement symboliques du pouvoir administratif à Oran, le siège de l’APW et l’hôtel de ville, ont été le théâtre de scènes et d’échanges houleux entre élus de différents partis s’expliquant dans un langage plutôt rude. Et pour cause, il s’agissait de voter pour la désignation du P/APW et du P/APC d’Oran, en présence du wali, intervenant pour rappeler la loi à des élus qui n’en démordaient pas. Pour l’APC, alors que depuis plusieurs jours l’on évoquait au sein du FLN, avec en tête de liste un ancien maire, Nouredine Boukhatem, en son temps écarté du poste de P/APC, les sourdes batailles opposant les colistiers se sont révélées au grand jour. Des ambitions internes au FLN, fort de ses 14 sièges obtenus, qui ont perturbé le vote, puisque ce ne sont pas moins de trois candidats issus de cette même liste FLN qui ont voulu briguer le poste. Après moult débats, Nouredine Boukhatem s’est prévalu du soutien de Belkhadem par un document officiel le désignant comme candidat officiel du parti. Son colistier Tayeb Hassan, étrangement et contre toute attente, exhibera “une procuration” lui attribuant les voix du MPA, ce parti ayant obtenu six sièges pour postuler au poste de P/APC. Cela jettera la consternation parmi les nouveaux élus de Amara Benyounès. En même temps, le second sur la liste FLN, qui doit dans les mois à venir faire face à des affaires en justice, estimera que l’intervention de Belkhadem en faveur de l’un d’entre eux n’était pas démocratique, obligeant le représentant de la wilaya à rappeler que c’étaient là des considérations internes à leur parti, n’ayant pas leur place dans le vote pour le P/APC. Un imbroglio indescriptible s’ensuivra pendant des heures et montrera au final les ambitions personnelles des uns et des autres et, surtout, le peu de connaissance de la loi dont ont fait preuve les élus pour ces opérations de vote à bulletins secrets. Et c’est très tard, après avoir neutralisé ses camarades opposants, que le FLN s’adjugera le poste de P/APC à une très large majorité, soit 30 voix contre 11 pour le représentant du PT, ce qui signifie que des voix d’autres partis se sont bien reportées sur le candidat FLN. Si à la mairie ce fut une opposition et une fronde entre FLNistes, en revanche, à l’APW, l’on assistera cette fois à un front de tous les autres partis contre le candidat FLN. Là aussi, grande confusion et bagarre, puisque selon la loi seul le candidat FLN pouvait briguer le poste de P/APW, car son parti avait La présidence de l’APW d’Oran échappe au FLN. atteint 35%. Ce qui ne fut pas du goût de tous les autres partis comme le RND (14 sièges), le PT (9 sièges), le MJD (8 sièges). Le vote sera marqué par un boycott amenant un deuxième tour, faute de quorum. Et ce n’est qu’en début de soirée que le deuxième tour concrétisera ce front anti-FLN portant à la tête de l’APW le candidat RND Abdelhak Kazi-Tani, ancien chargé de communication d’aval Sonatrach et actuel directeur du CCO. Ainsi, et depuis fort longtemps, la présidence de l’APW d’Oran échappe au FLN, même si ce dernier conserve la mairie, c’est un revers certain. Il n’y avait qu’à constater la réaction des députés et sénateurs du FLN pour en mesurer la signification au niveau local. Dans tout cela, les rumeurs de marchandages financiers autour des voix ont été occultées par des élus, sans pour autant convaincre la rue oranaise totalement étrangère à ces sourdes batailles de pouvoir et de postes qui creusent le fossé entre citoyens et les affaires de la cité. APW DE AÏN TÉMOUCHENT Le ministère de l’Intérieur tranche en faveur du RND Le très attendu second tour du vote, qui devait désigner le président de l’APW de Aïn Témouchent, prévu dimanche à 14h, n’a pas eu lieu. Et pour cause, le bureau de wilaya du RND vient d’introduire un recours auprès de Mme le wali avec copie pour information au ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales, à la suite des derniers résultats ayant sanctionné le vote qui s’est déroulé vendredi dernier, dans la mesure où les candidats du FLN et du RND, en l’occurrence Ahmed Khenafou et Sid- Ahmed Belgherras, n’ont pu obtenir la majorité absolue des voix, comme le stipule l’article 80 de la loi organique 12-01 du 12 janvier 2012 relative au régime électoral. S’estimant lésé, le RND, fort du vide juridique et des lacunes que comporte cette loi en sus de l’instruction adressée par le ministre, <strong>veut</strong> faire entendre sa voix pour récupérer le poste de la présidence de l’APW. Qu’entendons-nous par “majorité absolue ?”, s’est interrogé un élu du RND. Belgherras a obtenu 20 voix contre 19 voix pour son adversaire du jour. Face à cette situation, le ministère de l’Intérieur, qui aurait trouvé certainement toutes les peines du monde pour statuer sur ce cas, a tout simplement adressé un message à M me le wali que celle-ci a lu devant l’assistance lui demandant de surseoir au déroulement du second tour du vote, en attendant la décision à prendre en faveur de l’une ou de l’autre formation politique. Jusque-là, on pensait que l’APW allait être bloquée pendant un certain temps. Mais l’affaire a connu un rebondisse- D. LOUKIL ment rapide en début dimanche dès 19h. Le message en question est tombé sur le bureau de M me le wali. Le département de Daho Ould Kablia a tout simplement tranché en faveur Belgherras Sid Ahmed, candidat du RND et ex-député intronisé à la tête de la toute nouvelle APW. Une tache d’huile qui ne va pas sans se répercuter sur les opérations de vote des P/APC entamées lundi. L’Algérie profonde M. LARADJ Louiza/<strong>Liberté</strong> BRÈVES de l’Ouest MOSTAGANEM Noreddine Belmiloud,30 e P/APC 23 ■ Cautionné par 25 pairs parmi les 33 membres siégeant à la nouvelle Assemblée communale issue des élections locales du 29 novembre passé, il a été déclaré président de l’APC avant d’être installé en cette qualité par le wali, en présence du Drag (directeur de la règlementation et des affaires générales) de la wilaya, du chef de daïra de Mostaganem, du chef de l’exécutif communal sortant, et de certains responsables de partis et d’associations. Norreddine Belmiloud, entrepreneur de son état, qui avait conduit la liste FLN consacrée majoritaire par les urnes avec 17 sièges, était l’unique candidat ayant prétendu au poste de premier magistrat de la ville. Depuis dimanche dernier, il est désormais le 30e édile ayant présidé, en qualités de délégué spécial ou président d’APC, aux destinées de la commune de Mostaganem depuis l’indépendance de l’Algérie. À majorité FLN avec 17 membres, trois autres formations politiques, le RND, le PNA et le PST en l’occurrence, siègent à l’Assemblée populaire communale de Mostaganem, désormais élargie à 33 membres. Inaugurant le bal des cérémonies d’installation des nouvelles assemblées, l’APW de Mostaganem, passée de 39 à 43 membres, est présidée depuis samedi dernier par l’élu FLN Ketrouci Bouras. Il a été consacré haut la main, avec 32 voix, face à son rival Amor Mehdi du RND, cautionné, quant à lui, par les 11 autres voix restantes. FLN, RND, PT, MPA, Fadjr Djadid et FNA, six formations politiques composent, au titre de la mandature qui commence, la nouvelle assemblée populaire de wilaya de Mostaganem. M. O. T. AÏN TÉMOUCHENT Arrestation d’un responsable de la DUC pour corruption ■ Les éléments de la police judiciaire relevant de la Sûreté de la wilaya d’Aïn Témouchent ont arrêté, avant-hier, un chef de service par intérim de la direction de l’urbanisme et de la construction (DUC) de la wilaya. Selon des sources policières, il s’agit du nommé B. A, 48 ans, soupçonné d’avoir touché un potde-vin d’une valeur de 50.000 DA d’un entrepreneur chargé de la réalisation de locaux à usage commercial dans la commune de Aïn Kihal. C’est à la suite d’une plainte déposée par ce dernier auprès du procureur de la République près le tribunal de Aïn Témouchent à l’encontre du mis en cause qui aurait exigé la somme citée plus haut, et ce, en contrepartie de la régularisation de sa situation financière qu’une souricière fut tendue en utilisant les photocopies des billets que l’entrepreneur s’apprêtait à remettre au responsable. Munis d’un mandat de perquisition délivré par le procureur de la République, les enquêteurs de la police judiciaire ont pris la main dans le sac du chef de service après la découverte de la somme en question dans son bureau. Présenté devant le procureur de la République près le tribunal de Aïn Témouchent, le mis en cause a été placé en détention provisoire. M. LARADJ
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