Comment un promoteur immobilier peut-il être différent ? - Nexity

Vivre ensemble dans les villes
« Mélanger les genres et les gens, peut-être que ça améliorerait
les choses, le dialogue, il faut faire connaissance, les accueillir, il faut
pas avoir de préjugés sur eux non plus, accepter l’autre comme
il est, être tolérant, ça apporte moins d’a priori, un peu de nouveauté.
[…] Ça apporte des choses nouvelles, la culture des autres. »
Jeunes, âgés de 15 à 22 ans, habitant dans les quartiers sensibles
de Seine-Saint-Denis
« La priorité, c’est le silence, la tranquillité : on vit dans le stress,
on cavale, donc, le soir, on veut moins de bruit. […] Il faut démolir
les tours mal isolées et reconstruire quelque chose où
on a l’impression d’être chez soi et pas chez les voisins. »
Adultes, âgés de 35 à 55 ans, habitant dans les quartiers sensibles
de Seine-Saint-Denis
« C’est vétuste : en quarante ans, ils ne sont pas aux normes,
c’est humide, les factures électriques sont très chères en hiver :
il n’y a pas d’isolation. »
Adultes, âgés de 35 à 55 ans, habitant dans les quartiers sensibles
du nord de Marseille
Un Institut pour réfléchir,
débattre et informer
Élargir le débat au-delà des discours de spécialistes,
c’est toute l’ambition de l’Institut et de son Comité d’orientation.
L’Institut vise à faire évoluer les comportements, les législations,
les réglementations et les pratiques pour favoriser la mobilisation
des acteurs publics et privés. C’est dans ce cadre qu’une première
étude sur le vivre ensemble dans les villes a été menée pour mieux
identifier les obstacles à la mise en œuvre de la diversité.
Des groupes d’âges, de catégories sociales et de villes différents
ont été interrogés. Voici quelques extraits.
(L’intégralité de La Revue enjeux logement est téléchargeable
sur le site www.nexity.fr.)
« Quatre étages, c’est moins de voisins, donc moins de passages,
donc mieux pour l’hygiène. […] On se sent plus chez soi,
on peut demander des services aux voisins, on se connaît tous. […]
Ça dégage du ciel. »
Jeunes, âgés de 15 à 22 ans, résidant dans les quartiers sensibles
du Grand Lyon
« Sans travail et sans revenu, on a peur de manquer. […]
Quand on a tout fait pour réussir, c’est quand même dur.
La vie est comme une marche arrière. »
Adultes, âgés de 45 à 65 ans, résidant dans les quartiers sensibles
du Grand Lyon
« Pour favoriser la mixité, on peut toujours rêver, il faudrait
faire un lavage de cerveau de préjugés, on ne peut pas inventer
le remède miracle. »
Jeunes, âgés de 15 à 22 ans, habitant dans les quartiers réputés
« calmes » de Lyon
Pour la deuxième année consécutive, Nexity soutient
La Fondation Abbé Pierre. En 2006, 287850 euros ont été versés
pour cofinancer la production de logements très sociaux.
Nexity – Rapport d’activité 2006
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