S.M. le Roi reçoit plusieurs ambassadeurs étrangers - Le Matin
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Arts & culture<br />
www.<strong>le</strong>matin.ma sur notre site vous trouverez<br />
d’autres informations et toutes nos rubriques pratiques : TV, jeux, météo…<br />
Entretien avec Jean Zaganiaris, politologue, enseignant-chercheur au Ceram<br />
«Ce que communiquer veut dire»<br />
«L’objectif de ce<br />
livre est de par<strong>le</strong>r<br />
de communication.<br />
Non pas forcément<br />
d’un point de<br />
vue uniquement<br />
théorique, mais plutôt<br />
pour en montrer<br />
<strong>le</strong>s dimensions<br />
pratiques, <strong>le</strong>s aspects<br />
sociologiques, <strong>le</strong>s<br />
situations où el<strong>le</strong> est<br />
mise en œuvre. Car<br />
la communication<br />
est liée à la vie, à des<br />
phénomènes concrets,<br />
à des contextes<br />
sociaux.»<br />
<strong>Le</strong> <strong>Matin</strong> : Qu’est-ce que<br />
cela veut dire fina<strong>le</strong>ment,<br />
communiquer ?<br />
JEAN Zaganiaris : <strong>Le</strong> terme «communiquer»<br />
apparaît en Europe au XIIe<br />
sièc<strong>le</strong> et signifie «participer à quelque<br />
chose, être en rapport mutuel, en communion».<br />
D’emblée, il a des connotations<br />
religieuses et implique la mise<br />
en commun, <strong>le</strong> partage. Ensuite, avec<br />
<strong>le</strong> développement du commerce, la<br />
communication est liée à la circulation<br />
et à la transmission. Ce sont ces idées<br />
que l’on retrouve chez <strong>le</strong>s spécialistes<br />
de la communication tels que Dominique<br />
Wolton, Armand Mattelart, mais<br />
aussi chez Abdellatif Zaki ou Bouchra<br />
Boulouiz qui travail<strong>le</strong>nt sur ces questions.<br />
Pour ma part, j’ai voulu intégrer<br />
la dimension sociologique, notamment<br />
cel<strong>le</strong> empruntant de nombreuses idées<br />
Jean Zaganiaris, politologue,<br />
enseignant-chercheur au Ceram<br />
que <strong>le</strong>s médias, un peu partout<br />
dans <strong>le</strong> monde, servent<br />
à la mise en condition des<br />
opinions ?<br />
Il y a une partie importante de ce livre<br />
qui est consacrée aux travaux sur la réception.<br />
C’est un domaine des sciences<br />
humaines mal connu au Maroc. Il s’agit<br />
non pas de focaliser l’attention sur <strong>le</strong>s<br />
contenus des messages et de chercher<br />
la bonne interprétation d’un texte ou<br />
d’une image, mais plutôt d’étudier <strong>le</strong>s<br />
différents usages sociaux qui sont faits<br />
ontologiques que l’on construit artificiel<strong>le</strong>ment<br />
entre eux et qu’on veut<br />
<strong>le</strong>ur faire incorporer socia<strong>le</strong>ment.<br />
Lorsque je suis arrivé au Maroc, il<br />
y a huit ans, ce ne sont pas tant <strong>le</strong>s<br />
stéréotypes qui m’ont intéressé, type<br />
<strong>le</strong>s balades en chameau dans <strong>le</strong> désert<br />
ou bien la focalisation médiatique sur<br />
«l’islamisme». Je n’ai pas cherché l’exotisme,<br />
<strong>le</strong> dépaysement, <strong>le</strong>s clichés, mais<br />
et à l’Éco<strong>le</strong> de gouvernance. d’un message de communication et «<strong>Le</strong>s gens n’interprè-<br />
à Pierre Bourdieu. J’ai voulu penser la<br />
communication comme un ensemb<strong>le</strong><br />
de pratiques socia<strong>le</strong>s dont il s’agit de<br />
comprendre <strong>le</strong>s conditions de production,<br />
la contextualisation ainsi que <strong>le</strong>s<br />
usages sociaux. Communiquer, c’est<br />
participer à la construction socia<strong>le</strong> de<br />
la réalité au sein des espaces publics<br />
de communication. Cela peut avoir trait<br />
à la manipulation, mais cela s’inscrit<br />
dans des dénonciations publiques d’injustices,<br />
tel<strong>le</strong>s que la communication<br />
du 20 février, du «Journal hebdomadaire»<br />
ou bien de Lhaqed.<br />
Dans <strong>le</strong> chapitre portant<br />
sur la question des influences,<br />
vous évoquez <strong>le</strong>s<br />
thèses d’Ignacio Romanet et<br />
surtout de Noam Chomsky<br />
qui a travaillé sur <strong>le</strong>s modè<strong>le</strong>s<br />
de propagande aux<br />
États-Unis et a publié «la<br />
Fabrique de l’opinion publique».<br />
Ne pensez-vous pas<br />
d’en comprendre la nature. <strong>Le</strong>s gens<br />
n’interprètent peut-être pas un film<br />
en fonction de son contenu, mais en<br />
fonction de <strong>le</strong>ur âge, de <strong>le</strong>ur position<br />
socia<strong>le</strong>, de <strong>le</strong>urs capitaux culturels,<br />
etc. <strong>Le</strong>s thèses de Chomsky sont intéressantes<br />
lorsqu’el<strong>le</strong>s évoquent <strong>le</strong>s<br />
«victimes invisib<strong>le</strong>s» parce que non<br />
représentées par <strong>le</strong>s médias, mais el<strong>le</strong>s<br />
restent limitées, car el<strong>le</strong>s laissent de<br />
côté <strong>le</strong>s usages sociaux empiriques que<br />
<strong>le</strong>s gens font des messages de communication.<br />
Or, comme <strong>le</strong> disait Stuart<br />
Hall, à côté de ce que <strong>le</strong>s médias font<br />
aux gens, il y a ce que <strong>le</strong>s gens font<br />
des médias.<br />
La vie, dîtes-vous, est<br />
constituée de «diversité, de<br />
mixité, de pluralisme, de<br />
questionnements, de débats<br />
et d’immanence». Qu’avezvous<br />
appris de votre séjour<br />
au Maroc ?<br />
C’est que <strong>le</strong>s êtres humains sont tous<br />
<strong>le</strong>s mêmes, malgré <strong>le</strong>s différences<br />
Journée muséco<strong>le</strong><br />
L’art expliqué aux enfants<br />
● L’éco<strong>le</strong> Massignon,<br />
à Casablanca, a<br />
récemment organisé<br />
une manifestation<br />
origina<strong>le</strong> baptisée<br />
«Muséco<strong>le</strong>».<br />
● Il s’agit d’une<br />
journée consacrée<br />
à l’art à travers une<br />
exposition qui donne<br />
à voir <strong>le</strong>s œuvres<br />
de grands artistes,<br />
sur <strong>le</strong> thème : «La<br />
représentation du<br />
corps dans l’art».<br />
Comment par<strong>le</strong>r d’art aux<br />
enfants ? En voilà une<br />
question délicate qui appel<strong>le</strong><br />
une réponse tout aussi délicate.<br />
Cette interrogation, l’éco<strong>le</strong> Massignon,<br />
à Casablanca, se l’est posée<br />
et a trouvé <strong>le</strong> moyen d’y répondre,<br />
tout en art. Comment ? Tout simp<strong>le</strong>ment<br />
en imaginant une journée<br />
qu’el<strong>le</strong> a baptisée «Muséco<strong>le</strong>»,<br />
qui est, en fait, la contraction de<br />
deux mots, ou plutôt de deux lieux<br />
«musée» et «éco<strong>le</strong>» qui, a priori,<br />
n’ont pas grand-chose à voir l’un<br />
avec l’autre.<br />
C’est ainsi que <strong>le</strong> temps d’une journée<br />
exceptionnel<strong>le</strong>, cel<strong>le</strong> du jeudi 29<br />
DES ARTISTES ET DES ŒUVRES<br />
Ouvrir <strong>le</strong>s portes de l’éco<strong>le</strong><br />
Massignon pour inviter l’art au<br />
sein de l’établissement n’était pas<br />
son seul mérite. L’établissement a<br />
réussi à convaincre des artistes de<br />
renom de lui prêter <strong>le</strong>urs œuvres.<br />
Tous <strong>le</strong>s genres et tous <strong>le</strong>s sty<strong>le</strong>s<br />
avaient droit d’asi<strong>le</strong> à l’éco<strong>le</strong><br />
transformée en musée. Aussi,<br />
étaient de la partie des artistes<br />
tent peut-être pas<br />
un film en fonction<br />
de son contenu,<br />
mais en fonction<br />
de <strong>le</strong>ur âge, de <strong>le</strong>ur<br />
position socia<strong>le</strong>,<br />
de <strong>le</strong>urs capitaux<br />
culturels, etc.»<br />
plutôt à retrouver des habitudes qui<br />
étaient <strong>le</strong>s miennes. Dès mon arrivée,<br />
j’ai commencé à enseigner et à<br />
me rendre compte que mes étudiants<br />
n’étaient pas différents de ceux qui<br />
suivaient mes cours en France.<br />
J’ai commencé à lire <strong>le</strong>s essais et <strong>le</strong>s<br />
romans des intel<strong>le</strong>ctuels marocains<br />
et j’ai trouvé qu’il y avait un champ<br />
culturel digne d’intérêt au Maroc. Je<br />
me suis mis à suivre la Botola et à<br />
<strong>Le</strong>s élèves de l’éco<strong>le</strong> Massignon ont pu découvrir des œuvres de grands artistes d’ici et d’ail<strong>le</strong>urs.<br />
mars, <strong>le</strong>s élèves de l’éco<strong>le</strong> Massignon<br />
ont pu vivre une expérience singulière.<br />
<strong>Le</strong>ur éco<strong>le</strong>, transformée en<br />
musée, <strong>le</strong>ur a permis de découvrir<br />
des œuvres majeures des plus grands<br />
artistes de notre pays et d’ail<strong>le</strong>urs, et<br />
d’entrer en contact direct avec eux.<br />
Une chance que tout <strong>le</strong> monde n’a<br />
pas, mais qui a été rendue possib<strong>le</strong><br />
issus de différentes générations.<br />
Côté sculpture, il y avait Karim<br />
Alaoui, qui a appris à dompter<br />
<strong>le</strong> bronze et l’aluminium pour<br />
en faire de magnifiques objets<br />
d’art, ou encore Malika Agueznay,<br />
plasticienne accomplie, à la fois<br />
peintre, sculptrice et graveuse<br />
qui a toujours été animée par<br />
l’amour de l’art et <strong>le</strong> sens aigu du<br />
grâce à l’implication des responsab<strong>le</strong>s<br />
de l’éco<strong>le</strong>.<br />
Une fois <strong>le</strong> projet exposé aux uns et<br />
aux autres, artistes, col<strong>le</strong>ctionneurs<br />
et ga<strong>le</strong>ristes ont répondu présents<br />
en prêtant <strong>le</strong>urs œuvres : tab<strong>le</strong>aux,<br />
sculptures, photos, BD…<br />
<strong>Le</strong> point commun entre toutes<br />
<strong>le</strong>s œuvres exposées était <strong>le</strong> corps,<br />
travail bien fait. Une panoplie de<br />
tab<strong>le</strong>aux ont été exposés. Citons<br />
notamment Saâd Ben Cheffaj,<br />
Radia Bent Lhoucine, Mahi Binebine,<br />
Chaïbia, Zine El Abidine El<br />
Amine, Bouchta El Hayani, Moulay<br />
Youssef Elkahfai, Marine Faure…<br />
La photographie a été représentée<br />
par Fouad Maazouz. Tous ont<br />
travaillé sur <strong>le</strong> corps.<br />
puisque l’événement s’articulait<br />
autour de la thématique : «La représentation<br />
du corps dans l’art».<br />
À travers <strong>le</strong>s différents sty<strong>le</strong>s et<br />
courants représentés, <strong>le</strong>s jeunes<br />
ont eu droit à<br />
des moments<br />
d’émotion, voire<br />
d’émerveil<strong>le</strong>ment<br />
à la découverte<br />
des œuvres<br />
exposées. Des<br />
échanges ont<br />
eu lieu qui ont<br />
d on n é e n v i e<br />
aux élèves d’en savoir encore plus<br />
sur l’art et «de faire un pas supplémentaire<br />
vers la connaissance<br />
et la constitution d’un répertoire<br />
de références artistiques en relation<br />
avec <strong>le</strong> programme de l’histoire des<br />
arts», comme l’a précisé Bruno <strong>Le</strong><br />
supporter <strong>le</strong> FUS de Rabat au stade. J’ai<br />
aussi commencé à al<strong>le</strong>r voir <strong>le</strong>s films<br />
marocains ou hindous dans <strong>le</strong>s sal<strong>le</strong>s<br />
populaires de Casa ou de Marrakech.<br />
C’est de là qu’est venue l’idée d’écrire<br />
ce livre. Dans un contexte où l’on par<strong>le</strong><br />
de «lutte des civilisations» ou bien<br />
de «choc des cultures», il m’a semblé<br />
urgent de lancer un cri d’alarme devant<br />
tant de bêtises susceptib<strong>le</strong>s de produire<br />
de dangereux effets de réalités<br />
et de rappe<strong>le</strong>r que nous sommes avant<br />
tout des êtres humains. Je n’ai jamais<br />
considéré que <strong>le</strong>s Marocains étaient<br />
des gens différents de moi ! Ce sont<br />
<strong>le</strong>s colonisateurs qui pensaient cela.<br />
Ce sont eux qui ont fait incorporer aux<br />
Marocains qu’ils étaient différents des<br />
autres êtres humains, sous prétexte<br />
qu’ils étaient arabes ou musulmans. Si<br />
l’on veut décoloniser <strong>le</strong>s esprits,<br />
il faut en finir avec <strong>le</strong>s mythes de l’illusion<br />
identitaire, du retour à la tradition,<br />
de l’homogénéisation culturaliste<br />
et prendre conscience que <strong>le</strong>s ressemblances<br />
entre <strong>le</strong>s gens sont peut-être<br />
plus importantes que <strong>le</strong>urs différences.<br />
Nous sommes tous des êtres hybrides,<br />
métissés culturel<strong>le</strong>ment, et non pas des<br />
schizophrènes. La différence existe,<br />
mais el<strong>le</strong> est partout, y compris au sein<br />
d’un même pays, d’une même culture,<br />
d’une même religion. On n’est pas tous<br />
marocains de la même façon, mais par<br />
contre on est tous des êtres humains.<br />
<strong>Le</strong> pluralisme est <strong>le</strong> grand enjeu du<br />
XXIe sièc<strong>le</strong> et c’est de cela que ce livre<br />
veut par<strong>le</strong>r.n<br />
Propos recueillis par<br />
Farida Moha<br />
Morvan, directeur de l’établissement.<br />
Il a ajouté : «On voit à travers<br />
cette action, initiée par une enseignante<br />
de l’éco<strong>le</strong>, comment <strong>le</strong> partenariat<br />
se trouve au cœur du fonc-<br />
tionnement de<br />
l’établissement<br />
et comment la<br />
relation éducative<br />
reflète une<br />
responsabilité<br />
partagée de tous<br />
<strong>le</strong>s membres de<br />
la communauté<br />
scolaire et, en<br />
l’occurrence, même au-delà.» Après<br />
cette journée chargée en émotion<br />
et en connaissances, <strong>le</strong>s enfants de<br />
l’éco<strong>le</strong> Massignon ont certainement<br />
appris <strong>le</strong> langage de l’art ou du<br />
moins ont pris goût à son alphabet. n<br />
Kenza Alaoui<br />
Artistes, col<strong>le</strong>ctionneurs<br />
et ga<strong>le</strong>ristes ont<br />
répondu présents en<br />
prêtant <strong>le</strong>urs œuvres :<br />
tab<strong>le</strong>aux, sculptures,<br />
photos, BD…<br />
LE MATIN<br />
Mardi 3 avril 2012<br />
EXPRESS<br />
Exposition<br />
«Rites de passage» de<br />
Othman Zine à la ga<strong>le</strong>rie<br />
Shart<br />
La ga<strong>le</strong>rie Shart, à Casablanca présente<br />
actuel<strong>le</strong>ment une exposition<br />
de l’artiste photographe Othman<br />
Zine. Cet ensemb<strong>le</strong> photographique<br />
est <strong>le</strong> fruit d’un reportage réalisé en<br />
2011 dans un désert soudainement<br />
envahi par une communauté qui<br />
exprime son sens de la tolérance et<br />
de la liberté. <strong>Le</strong>s clichés, de grands<br />
formats, nous transportent au cœur<br />
d’un monde éphémère où «la transparence<br />
de ce ciel hypnotisant,<br />
nous ramène à qui nous sommes<br />
vraiment : des corps libres, uniques<br />
maîtres de notre liberté». L’exposition<br />
se poursuivra jusqu’au 21 avril.<br />
Musique classique<br />
<strong>Le</strong> Quatuor Girard en<br />
tournée au Maroc<br />
<strong>Le</strong> Quatuor<br />
G i r a r d e s t<br />
constitué de<br />
quatre frères<br />
et sœurs issus<br />
d’une famil<strong>le</strong><br />
originaire<br />
d’Avignon,<br />
tous diplômés des Conservatoires<br />
(CNSM) de Paris ou Lyon. Lauréat<br />
du Concours de Genève en novembre<br />
2011, <strong>le</strong> Quatuor Girard remporte en<br />
septembre 2010 <strong>le</strong> «Prix Académie<br />
Maurice Ravel» à Saint-Jean-de-Luz.<br />
La tournée du groupe l’emmènera à<br />
Marrakech, <strong>le</strong> 25 avril, à Essaouira, <strong>le</strong><br />
27 avril, à Agadir, <strong>le</strong> 28 avril, à Kénitra<br />
<strong>le</strong> 30 avril, à Rabat <strong>le</strong> 2 mai, à Meknès<br />
<strong>le</strong> 3 mai, à Tanger <strong>le</strong> 4 mai, à Tétouan<br />
<strong>le</strong> 5 mai et à Oujda <strong>le</strong> 8 mai.<br />
Rencontre<br />
Esca<strong>le</strong> littéraire au Sofitel<br />
Marrakech <strong>le</strong> 7 avril<br />
Marrakche<br />
accueil <strong>le</strong> 7<br />
avril l’écrivain<br />
Olivier<br />
Weber. Il est<br />
<strong>le</strong> 3e écrivain<br />
à joindre <strong>le</strong><br />
p r o j e t d e s<br />
« Esca<strong>le</strong>s littéraires<br />
» de Sofitel Marrakech<br />
Palais Imperial après Yassmina<br />
Khadra et Patrick Poivre d’Arvor.<br />
Olivier Weber qui vient de publier<br />
son roman « La Barbaresque » va<br />
présenter son roman, <strong>le</strong> 7 avril,<br />
qui par<strong>le</strong> du dialogue des civilisations<br />
en présence de Denis<br />
Labay<strong>le</strong>. L’institution hôtelière est<br />
partenaire depuis 2008 de différents<br />
événements littéraires, <strong>le</strong><br />
groupe a établi un lien authentique<br />
et légitime avec <strong>le</strong> monde de la littérature.<br />
Pour pérenniser ce lien,<br />
il souhaite inviter des écrivains<br />
ou journalistes confirmés pour la<br />
rédaction de Nouvel<strong>le</strong>s.<br />
Cinéma<br />
<strong>Le</strong>s coulisses d’Harry<br />
Potter s’ouvrent<br />
aux « Moldus »<br />
L’écrivain<br />
J. K Rowling<br />
a m i s u n<br />
point final<br />
à l a s a g a<br />
d’Harry<br />
Potter, films<br />
et jeux vidéos qui ont déjà généré<br />
des milliards de recettes, mais<br />
Warner Bros est bien décidé à<br />
continuer d’exploiter <strong>le</strong> filon en<br />
dévoilant aux fans du jeune sorcier<br />
<strong>le</strong>s coulisses du tournage. Pour sa<br />
nouvel<strong>le</strong> attraction « The making<br />
of Harry Potter » («La fabrication<br />
d’Harry Potter »), <strong>le</strong> géant américain,<br />
qui a produit <strong>le</strong>s huit films de<br />
la série, un des plus gros succès de<br />
l’histoire du cinéma et de l’édition,<br />
a fait <strong>le</strong>s choses en grand, près de<br />
Londres. 14.000 m2 carré de hangars,<br />
jouxtant <strong>le</strong>s anciens studios<br />
du tournage, abritent <strong>le</strong>s « décors,<br />
accessoires et costumes authentiques<br />
» et accueil<strong>le</strong>ront jusqu’à<br />
5.000 visiteurs par jour.