21 Janvier 1908 - Bibliothèque de Toulouse
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*»f, la guirison 6 "*» e , st con!<br />
jggplête et Af ^" ^ bientôt<br />
^^3^ '^«ula santé.<br />
|§|É<br />
4EtZLldLseZ>'tlQ:'ULOfll<br />
IS5iîfi ÉVITES* ou pour GUÉRIR, Einiaes, Jfoox <strong>de</strong> to^o, Laryngites récentes ou invétérées. Rhumes <strong>de</strong> Cerveau,<br />
Bronchites aiguës ou chroniques, Catarrhes, Grippes, Inûuenza, Asthme, Emphysème, Pneumonies,<br />
et toutes les 2^Eo,lo,dLio^ cl.es voies respiratoires<br />
proclament chaque jour S<br />
Ecoutez les millions et les millions <strong>de</strong> mala<strong>de</strong>s guéris et reconnaissants qui le<br />
ive|<br />
0 Feuilleton du <strong>21</strong> janvier <strong>1908</strong><br />
PAR<br />
Georges PilADEL<br />
PREMIERE PARTI13<br />
. flfosS IB\ WViOg^.V^v-^VU-<br />
'Ployé vos riP,- a Fho 3cviensvou^<br />
LES<br />
bieufaIsant^T.s,<br />
en tro<br />
«Gr ement g<br />
,csdau®<br />
nis, ; ^ 5W^ V0^fo^<br />
&<br />
,.aes, quelques.,,<br />
vos<br />
(Cro ye? , Mous ^ guérie. ï<br />
•"^"ae^tofi,<br />
r SPu}s ^^4^^/e<br />
tsa, Folle c3Le 3SLoK t 53a.oi»<br />
IV,<br />
L'OUBUETÏB<br />
Lo docteur accepta une cigarotte, <strong>de</strong>s<br />
sandwichs <strong>de</strong> caviar, <strong>de</strong> l'eau-<strong>de</strong>-vie<br />
blanche, et s'étendant dans un exquis<br />
lauteuil, attendit la communication du<br />
comte Paloutine.<br />
Celui-ci prit sur le petit plateau d'or<br />
niellé un petit portefeuille en galuchat,<br />
tout préparé à l'avance, et l'offrant à<br />
ïcharnoski : . t ri ,<br />
— Docteur, dit-il d'une voix pénétrée,<br />
J'ai tenu tout d'abord à vous remercier<br />
A excellents soina quo vous avez bien<br />
voulu donner a mon malheureux pa-<br />
*c,,il le rlir-i' do noir» famillo. Vous trOU-<br />
7erêa *ins cette petite poche, u«e photo-<br />
', iiie du prince Dénuitrh» et vos hoaraires.<br />
Je vous prie <strong>de</strong> les comjiUr.<br />
à BERNARD,<br />
Grenoble (ï:s.)l<br />
{»orts0tieo<br />
dés Véffita<br />
Plia<br />
<strong>de</strong>vant moi. Si vous les jugez insuffisants...<br />
Le docteur étendit la main. Il venait<br />
<strong>de</strong> voir dans le petit portefeuille une<br />
liasse <strong>de</strong> billets <strong>de</strong> banque. . C'était<br />
une petite fortune pour lui que ces<br />
dix mille francs, aussi était-il <strong>de</strong>venu<br />
subitement rouge <strong>de</strong> plaisir.<br />
— Oh ! Excellence, crut-il <strong>de</strong>voir balbutier,<br />
c'est trop, beaucoup trop.<br />
— Je suis le chef <strong>de</strong> la famille, répliqua<br />
Wladimir, c'était à moi <strong>de</strong> juger <strong>de</strong><br />
quelle façon il fallait reconnaître votre<br />
admirable dévouement.<br />
De plus en plus touché, ce fut profondément<br />
que le docteur Tcharnoski s'inclina.<br />
Le comte Paloutine reprit :<br />
— Ce n'est pas tout docteur, je ne<br />
vous ai pas seulement fait venir pour<br />
vous remettre ces honoraires. J'ai un<br />
grand service à vous <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r.<br />
Naturellement la rénonse du docteur<br />
fut ce qu'elle <strong>de</strong>vait être ; corps et âme<br />
il était dévoué au comte Wladimir Paloutine.<br />
— Mon cher docteur, reprit celui-ci,<br />
j'ai tout lieu <strong>de</strong> croire que la comtesse<br />
se trouve dans uno position intéressante.<br />
Tchairnoski'sourit bêtement :<br />
— C'est dans l'ordre naturel <strong>de</strong>s cho<br />
ses, répondit-il, et je ne puis que féliciter<br />
très vivement Votre Excellence I<br />
Mme la comtesse est charmante, et vous<br />
<strong>de</strong>vez être bien heureux.<br />
Parfaitement, répliqua Wladimir,<br />
mais maintenant voici où lo bât mo bles-<br />
se Docteur, êtes-vous marié ? Connaissez-vous<br />
cette créature insupportable entre<br />
toutes qui se nanimo uno bollc-nièro ?<br />
4%<br />
^ r*<br />
S-<br />
Depuis un mois Jo souffrais<br />
<strong>de</strong><br />
la oorae, je sentais <strong>de</strong>s picotemerd^y'étais<br />
fortement enrouée.<br />
Ayant lu dans «"4î "'^<br />
l'annonce <strong>de</strong> vos PAi.ilI.Lfej<br />
VALOA l'en achetai une boite.<br />
Ms les premières pastilles je<br />
fe E^ulàgée ; à la secon<strong>de</strong> boite<br />
jetais gulrie.mais Je dois youf<br />
avouer vouer que , J continue à ea<br />
prendre.<br />
par eourmandise.<br />
L<br />
1 VALDA et l'adresse<br />
îles Pastille<br />
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