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Nos obligations légales
Port d’Ehoala
Les obligations légales du Port d’Ehoala sont
consignées dans la convention de concession
signée en 2006 :
• permettre l’acheminement de nos produits
vers leurs destinations finales
• assurer une mission de service public auprès
des opérateurs économiques pour leurs
activités d’importation et d’exportation.
Les statistiques 2010 du Port dépassent
largement les objectifs en matière de trafic
maritime. 120 navires de toute catégorie ont
accosté au port alors que les prévisions étaient
de 80. Ces escales se repartissent comme suit :
• 10 escales de navire ilménite
• 41 escales de navires porte-containers
• 44 escales de navires de pêche
• 6 escales de navires tankers
• 2 escales de navires de croisières (1550
passagers)
• 17 escales de navires divers
En 2010, nous avons également manutentionné
5178 containers dont, entre autres :
• 992 conteneurs de riz et d’aide humanitaire
à l’importation
• 850 conteneurs de sisal et mica à
l’exportation
• 521 conteneurs pour QMM (Zirsill et
équipement)
• 252 conteneurs de ciment à l’importation
Nous améliorons constamment nos prestations
grâce au système de feedback qui a été
instauré : chaque escale nous donne ainsi
matière à parfaire la suivante. C’est dans ce
cadre que nous avons, par exemple, renforcé
l’éclairage au port afin de disposer d’un service
de manutention de nuit pour les navires portecontainers,
comme cela est déjà pratiqué avec
l’ilmenite.
D’autre part, nous disposons actuellement
d’un mode de calcul tarifaire simple, rapide et
transparent. L’APMF, notre organisme de tutelle
a félicité Port d’Ehoala au cours de sa validation
au niveau du Conseil d’administration. Ce
mode de calcul moderne s’inspire de celui des
grands ports et utilise, entre autres, une assiette
de taxation appelé GRT ou Gross tonnage. Il
va servir de modèle pour les autres ports de
Madagascar.
Le schéma directeur des 400 ha de la zone
économique attenante au port a été finalisé
et déposé pour validation auprès de l’Agence
Portuaire Maritime et Fluvial (APMF) en juillet
2010. Ce schéma directeur suggère l’importance
d’un statut de port franc pour maximiser les
retombées de la zone économique.
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