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Rôle des parties prenantes
Performances opérationnelles
des parties prenantes
Responsabilités partagées
L’Etat et la région sont les premiers responsables du développement de
la région. Le contexte les oblige néanmoins à collaborer avec tous les
acteurs de développement afin d’atteindre cet objectif.
Dans le document de politique Notre approche de l’entreprise, Rio Tinto
reconnaît qu’il incombe à ses entreprises minières de s’assurer que
leurs pratiques apportent à la région qui les accueille un progrès
durable sur les plans économiques, social et environnemental. QMM ne
peut cependant avoir les impacts escomptés que si les actions qu’elle
entreprend s’insèrent dans des initiatives, des dynamiques ou des
programmes régionaux intégrés de développement.
Des échanges entre les parties prenantes ont débouchés sur un certain
nombre de décisions et de propositions pour une synergie des actions et
des impacts palpables au niveau de la région.
Structures de concertation
Outre les structures gouvernementales régionales, la région Anosy a
déjà son Comité Régional pour le Développement (CRD) qui a élaboré le
schéma et le plan de développement régional. Il s’agit aujourd’hui de le
redynamiser pour que les acteurs de développement puissent disposer
d’une plateforme de concertation et de coordination des actions de
développement. QMM pourrait ainsi travailler étroitement avec cette
structure pour apporter un appui effectif aux efforts de développement.
Structure de dialogue
Afin d’assurer pleinement son rôle légal, la région souhaite plus de
dialogue avec ses principaux partenaires. QMM a répondu favorablement
à cette sollicitation en participant à la création des structures de liaison
avec les parties prenantes. Un dialogue constructif serait, en effet,
bénéfiques pour le développement de la région. Ces échanges devraient
cependant être basés sur la transparence et une volonté commune de
considérer les intérêts publics.
Il faudrait ainsi que les structures d’échanges actuelles et futures soient
renforcées de telle sorte que :
• les membres qui les composent soient réellement représentatifs de la
communauté dans son ensemble et que
• les membres soient professionnels dans leur respect des opinions des
entités qu’ils représentent et dans le rapport qu’ils font auprès de ces
dernières.
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