PAïlTIE OFFICIELLE .
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MÉLANGES. 8-1<br />
Celte différenc e provient d e ce que donz e nouvelles éèolc s on t été récem -<br />
ment ouvertes. ]j e nombre de ce s e'tablissement s n'e'tait , i l y a un an, qu e d e<br />
soixante-deux. I l s'élève aujourd'iiui àsoixante^quatorze. Deu x départements<br />
n'ont pas encor e rempli les obligation s qu e leur impose la lo i relativemea t à<br />
l'entretien d'un e e'col e normal e : ce-son t le s Bouches du-Rhôn e e t l a Seine .<br />
Le conseil généra l du Doub s a voté le s fond s nécessaire s pou r l'entretien d e<br />
son école normale ^ mai s ell e n'est pas encore ouverte , parc e qu e des difficultés<br />
se sont élevées sur le cboix de la vill e dan s laquelle ell e serai t établie. L e<br />
conseil général sera appelé à émettre un nouvel avi s su r cet obje t dans sa prochaine<br />
session . Le s neu f autre s département s son t réuni s à u n départemen t<br />
voisin pour l'entretien d'une écol e normal e primaire .<br />
Le nombr e de s élèves de s écoles normales primaires , qu i n'étai t e n 183 4<br />
que de... 1,94 4<br />
s'élève e n 183 5 à. ^,56 7<br />
Différence en plus 62 3<br />
IL, Neuf cen t quatre-vingt-seiz e commune s on t reç u en 183 4 de s secours<br />
pour acquisition , constructio n e t réparatio n de maison s d'école . Ce s secours<br />
se sont élevés à 760,57T fr . 98 c . : terme moyen par commune , 764 fr .<br />
En 1833 , douz e cen t soixante-douz e commune s avaien t reç u pour l e<br />
même obje t des secours qui s'élevaient à 856,782 fr . : terme moyen, 67 4 fr.<br />
Ainsi la différence e n moins que présentent les allocation s d e 1834, com -<br />
parées à celles de i 833, est , pou r le nombr e de s commune s , d e deux cen t<br />
soixante-seize, et , pou r le montan t des subventions, d e 96,204 fr. 0 2 c .<br />
Cette différenc e est expliquée par l'obligation o ù l'o n s'es t trouv é de fournir<br />
aux communes , pou r le s dépense s ordinaire s d e leur s école s primaire s<br />
communales d e 1834, un e subvention de 183,588 fr. 34 c . Ains i qu'il a été<br />
dit ci-dessus , cett e dépens e n'existai t pas pou r le s année s antérieures . S i o n<br />
n'avait pas dû la faire , cett e somme aurait été consacré e au x secours pour acquisition<br />
, constructio n e t réparation de maisons d'école, qu i s e seraient alors<br />
trouvés de 87,384 fr. 32 c . plu s élevés qu'e n 1833 .<br />
D'après le s dernier s relevé s transmi s pa r le s préfets , l e nombr e de s<br />
maisons d'écol e appartenan t au x communes , qu i n'était ^ e n 1833 , qu e<br />
de...,c. 10,31 6<br />
s'est élevé, e n 1834, à. ' 11,27 9<br />
Différence e n plus. 96 3<br />
nombre à peu prè s e'ga l à celu i de s commune s qui on t reç u des secours pou r<br />
cet objet en 1834.<br />
III. Cent trente-une commune s ont reçu e n 1834 de s secours pou r frais de<br />
premier établissement , acquisitio n o u entretien d u mobilie r de s écoles . Ce s<br />
secours s e son t élevé s à 31,180fr. 5 0 c.term e moye n pa r commune ,<br />
238 francs .<br />
En 1833, trois cent (juarante-deux commune s avaient rey u pou r le m^mç